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OM : un directeur sportif va être nommé pour les Féminines !

OM : un directeur sportif va être nommé pour les Féminines ! Après cinq saisons loin de l’élite, l’OM féminin retrouve la D1 et n’a pas tardé à poser les premières pierres d’une nouvelle organisation. Selon La Provence, le club marseillais va nommer Antoine Ferreira au poste de directeur sportif de la section féminine. Une arrivée qui marque un tournant structurant dans le projet à long terme défendu par Stefano Petruzzo, directeur général de la section. casino sultan 💰 Un simple clic pour 400 USDT de bonus sur casino sultan – n’attendez plus ! – casino sultan 💰 Jouez et gagnez gros sur casino sultan. Bonus de bienvenue : 300 USDT gratuits + 1000 USDT sur votre premier dépôt. Antoine Ferreira connaît bien le haut niveau. Responsable du recrutement au Paris FC depuis 2020, il est également passé par le Paris Saint-Germain. Son profil, à la fois expérimenté et ancré dans le football féminin, coche toutes les cases recherchées par l’OM pour accompagner cette montée en D1 avec ambition. Ce n’est d’ailleurs pas une première tentative : déjà en 2022, il avait été pressenti pour ce poste mais c’est Alban Sanchez qui avait finalement été choisi. Présent ce lundi au Campus de l’OM, Ferreira s’apprête cette fois à s’engager pour de bon avec le club olympien. Il aura pour mission de construire une équipe compétitive mais aussi de poser les fondations d’une section féminine stable et ambitieuse. À Marseille, le retour en D1 n’est pas vu comme une finalité, mais comme un point de départ.

Kondogbia : « Les trophées UNFP, ça nous a fait rire »

Kondogbia : « Les trophées UNFP, ça nous a fait rire » Est-ce que ça vous agace qu’aucun joueur de l’OM n’ait été nommé aux Trophées UNFP ? Parce que ça a fait réagir pas mal de supporters, et j’aimerais avoir ton avis, toi qui es l’un des leaders du vestiaire. Tu souris, donc j’imagine que ça ne va pas trop perturber le groupe. Mais malgré tout, tu trouves ça injuste ? Vous avez quand même un coach et quelques joueurs qui auraient pu mériter une nomination ? casino toulouse Retraits – Le minimum est de 20€ pour la plupart des méthodes de retrait. Geoffrey Kondogbia : "Franchement, on en a plutôt rigolé entre nous. Pour être honnête, je ne sais même pas quoi répondre à cette question. Ce sont des choix, il faut les respecter. Nous, on sait ce qu’on vaut, que ce soit les joueurs ou le coach, et c’est le principal. Dans le vestiaire, on connaît notre valeur, avec nos qualités et nos défauts bien sûr, mais on sait ce qu’on apporte individuellement et collectivement. Et au final, c’est ça le plus important : cette reconnaissance mutuelle, celle de ceux qui vivent le quotidien avec nous. C’est ce qui peut nous emmener le plus haut possible. Ce genre de décisions, on n’a pas de prise là-dessus. Et comme on dit, les goûts et les couleurs, ça ne se discute pas." Tu ne veux pas polémiquer, mais le fait que vous en ayez rigolé, ça veut quand même dire que vous trouvez ça un peu injuste… Geoffrey Kondogbia : "Normal, pas normal… chacun a son avis. Et comme je le dis souvent, on n’aura jamais tous le même. Bien sûr que ça aurait fait plaisir, pour nous les joueurs, et aussi pour le staff. Mais encore une fois, le plus important, c’est la reconnaissance de ceux qui partagent le vestiaire avec nous chaque jour."

OM : 32 ans après Munich, l’étoile de l’OM brille toujours

OM : 32 ans après Munich, l’étoile de l’OM brille toujours Il y a des dates que le temps ne raye pas. Le 26 mai 1993, dans la nuit bavaroise, l’Olympique de Marseille a gravi le sommet du football européen. Trente-deux ans plus tard, cette victoire ne s’estompe pas. Elle est discutée, parfois moquée, souvent jalousée. Mais elle demeure. Inaltérable. Intouchable. Immortelle. casino 1995 – Vous êtes à la recherche d’un casino en ligne fiable, moderne et capable de s’adapter aux nouvelles tendances numériques comme les paiements en Car cette nuit-là, c’est la France qui a basculé dans une autre dimension.Jusqu’alors, le football hexagonal regardait la Coupe d’Europe des clubs champions avec envie et résignation. Les exploits de Reims, Saint-Étienne ou Bordeaux appartenaient aux épopées, pas aux couronnements. L’OM, lui, est allé au bout. Grâce à Basile Boli, grâce à Barthez, à Desailly, à Deschamps. Grâce à Raymond Goethals et à une génération forgée pour l’histoire. Et surtout grâce à un président visionnaire et controversé, Bernard Tapie, qui a su faire de l’OM un géant européen, quitte à se brûler les ailes. On peut discuter les moyens, les contextes, les affaires. Mais cette victoire-là, face au Milan AC de Capello, Papin, Van Basten et Baresi, ne souffre d’aucune contestation sportive. Elle est le fruit d’une discipline, d’un collectif rugueux et audacieux, d’un sens du moment. C’est une victoire arrachée à l’arrogance italienne, comme un bras d’honneur à tous ceux qui pensaient que les clubs français n’étaient pas faits pour régner. Et pourtant, trente ans plus tard, certains continuent de minimiser cet exploit.Comme si le fait que l’OM soit encore, à ce jour, le seul club français vainqueur de la Ligue des champions dérangeait. Comme si cela devait être relativisé parce que c’était "il y a longtemps", parce que "c’était un autre football", parce qu’il y avait "Tapie dans l’équation". Mais ce sont là des postures. De celles qu’on prend quand on ne peut pas être fier du palmarès de son propre club. Car ce 26 mai appartient à Marseille, oui. Mais il appartient aussi à la France du foot. Qu’on le veuille ou non, le football français doit à l’OM cette brèche ouverte dans l’imaginaire européen. Cette étoile, si longtemps rêvée, que même le PSG, malgré tous ses milliards dépensés, n’a pas encore réussi à accrocher. Peut-être que Paris le fera dans quelques jours, en affrontant l’Inter en finale. Peut-être que cette exclusivité olympienne s’éteindra enfin. Et alors ? L’OM restera à jamais la première. Ce n’est pas un slogan. C’est un fait. Mais au fond, ce n’est pas qu’une histoire de trophée.Ce soir-là à Munich, c’est une ville entière qui a rugi. Des quartiers populaires aux plages du Prado, c’est toute une identité qui s’est sentie reconnue. L’OM, ce n’est pas qu’un club. C’est une culture, un cri, une manière d’être. Et le 26 mai 1993, cette manière d’être a gagné. Elle s’est hissée au sommet de l’Europe sans trahir son âme. Avec le cœur, avec le combat, avec les tripes. Alors oui, certains diront qu’on en fait trop. Que ça date, que ça rabâche. Mais comment ne pas rappeler, encore et encore, que Marseille a vu passer l’histoire ? Que cette ville bouillonnante, ce club incandescent, ce peuple brûlant, a un soir dompté les étoiles ? Cela ne rend pas l’OM intouchable. Cela ne gomme pas les galères, les descentes, les humiliations. Mais cela oblige au respect. Et cela donne à rêver. Encore. Car cette étoile, aussi lointaine soit-elle, continue de guider ceux qui aiment ce club.Elle n’est ni poussiéreuse, ni dépassée. Elle est le témoignage d’un possible. Le rappel que, même dans un football devenu business et statistiques, il y a eu un soir où la passion a triomphé. Et qu’elle peut encore le faire. Alors, à tous ceux qui veulent éteindre cette flamme, à ceux qui veulent en faire un argument contre l’OM, qu’ils sachent ceci : le 26 mai ne se défend pas. Il se célèbre.

Ligue 1 : gros chantier à Lens !

Ligue 1 : gros chantier à Lens ! À l’aube de l’été 2025, c’est une véritable révolution qui s’amorce du côté du stade Bollaert-Delelis. Huitième de Ligue 1 à l’issue d’une saison en dents de scie, le RC Lens vient d’ouvrir un nouveau chapitre de son histoire avec un remaniement d’ampleur à tous les étages. Le départ surprise de l’entraîneur Will Still pour raisons personnelles a d’abord secoué le club, mais c’est bien la vague de changements opérée par Joseph Oughourlian qui donne toute sa dimension à ce « gros chantier » estival. casino deauville app – Vous êtes amateur de jeux de casino et vous cherchez une solution mobile efficace pour jouer partout, à tout moment ? Vous vous demandez comment accéder à Le président lensois a en effet acté le départ de deux figures majeures de l’organigramme : Pierre Dréossi, directeur général, et Diego Lopez, directeur sportif. Si la séparation s’est faite dans la reconnaissance du travail accompli, notamment sur le plan économique pour Dréossi ou dans le domaine du scouting pour Lopez, Oughourlian a clairement exprimé son besoin de réorienter la stratégie du club. Objectif : plus de verticalité, de clarté dans la chaîne de décision, et surtout, une politique sportive plus agressive, mieux connectée à l’identité lensoise. À la direction générale, c’est Benjamin Parrot, homme de l’ombre devenu pilier stratégique, qui prend les commandes. Déjà impliqué dans les dossiers structurants tels que le rachat du stade ou le renouvellement des partenariats, il aura pour mission d'insuffler une dynamique de rigueur et d'efficacité dans la gestion quotidienne du club. Du côté sportif, c’est une figure bien connue qui reprend le flambeau : Jean-Louis Leca. L’ancien gardien emblématique, déjà coordinateur sportif, devient directeur sportif. Une promotion logique tant il incarne l’esprit maison et connaît parfaitement les exigences du vestiaire. Il aura désormais la tâche de piloter le mercato, de superviser la post-formation et de structurer l’ensemble de la filière football autour d’une vision partagée et fidèle à l’ADN du RCL. Reste désormais à nommer le successeur de Will Still sur le banc. Si plusieurs pistes sont évoquées, Oughourlian reste énigmatique sur le profil du futur coach, même s’il laisse entendre qu’un technicien francophone, jeune et audacieux pourrait être privilégié… Pierre Sage par exemple.

Mercato OM : visite médicale prévue mardi pour Luis Henrique à Milan

Mercato OM : visite médicale prévue mardi pour Luis Henrique à Milan Auteur d’un excellent début de saison à l’OM, Luis Henrique s’est montré décisif dans son rôle de piston droit pendant un temps, avant de peiner à maintenir sa régularité et son impact. Sa fin de saison a été plus compliquée. Malgré cela, son exercice 2024-2025 reste satisfaisant, avec 9 buts et 10 passes décisives toutes compétitions confondues, sa meilleure période sous le maillot olympien. Des performances qui n’ont pas échappé aux regards de plusieurs grands clubs européens, séduits par le profil de l’ailier brésilien. Support client de Casino Vert ❤️ : un service disponible 24h/24 – Vous vous êtes déjà demandé quel rôle joue réellement le service client dans votre expérience de jeu en ligne ? Est-ce simplement un centre de réponse L’Inter attend son arrivée Convoité par des clubs anglais ainsi que par le Bayern Munich, c’est vers la Serie A, et plus particulièrement l’Inter, que devrait s’envoler l’ancien joueur de Botafogo. L’accord entre le finaliste malheureux de la Ligue des champions et le Marseillais est évoqué depuis plusieurs semaines. Pablo Longoria avait d’ailleurs confirmé en conférence de presse que son départ était planifié. Depuis, un accord a été trouvé entre les deux clubs. Selon Gianluca Di Marzio, Luis Henrique est attendu aujourd’hui à Milan. Le journaliste italien a révélé les détails de l’opération : un transfert de 23 millions d’euros, assorti de 2 millions d’euros de bonus liés au parcours de l’Inter en Ligue des champions la saison prochaine. Son arrivée devrait être officialisée dans les prochains jours. De son côté, Fabrizio Romano ajoute que le joueur de 22 ans passera sa visite médicale ce mardi. "Notre objectif est de vendre Luis Henrique avant le 30 juin" Lors de sa traditionnelle conférence de presse de fin de saison, Pablo Longoria a évoqué le cas de l’attaquant brésilien, dont la vente doit intervenir avant le 30 juin. "Notre objectif est de vendre Luis Henrique avant le 30 juin. C’est une question de bilan, de respect pour notre propriétaire, pour nos engagements auprès des différentes instances, l’UEFA et la DNCG. C’est quelque chose que nous avons partagé avec son entourage. C’est vrai que nous avons commencé les discussions pendant la saison. Nous avons pris un risque, car un joueur engagé dans des discussions avec plusieurs clubs pendant la saison n’a naturellement plus totalement la tête à l’endroit. Mais c’est aussi vrai que la Coupe du monde des clubs a radicalement changé les contrats et a précipité les démarches de nombreuses équipes sur le marché. On l’a vu avec le Real Madrid, par exemple. Le marché s’anticipe beaucoup. C’est nécessaire pour la santé financière du club. Comme je lui ai dit hier, c’était une chose que je lui avais promise avant son arrivée au club. J’avais même discuté avec Luis Henrique avant mon arrivée à l’Olympique de Marseille et avant même d’ouvrir les négociations avec le club. Nous nous étions beaucoup appelés pendant la période du Covid. Je lui avais dit que je souhaitais l’emmener dans le projet que je comptais diriger. Mon rêve était de le faire arriver dans un top club européen. Nous sommes donc fiers de l’avoir aidé, même si c’est avant tout grâce à ses performances et son talent. Cela lui permet aujourd’hui d’avoir une belle cote sur le marché et de susciter l’intérêt de plusieurs clubs." Une promesse qui va être tenue, tant pour le joueur, qui s’apprête à rejoindre le dernier finaliste de la Ligue des champions, que pour le club, qui va récupérer une belle somme avant la deadline fixée par son président. Retrouvez le tableau des transferts de l'OM ici

OM : le groupe part à Madrid !

OM : le groupe part à Madrid ! L’OM s’est imposé au Havre samedi soir (3-1), avec un nouveau doublé d'Amine Gouiri et un but sublime de Mason Greenwood, dans ce qui constituait le match de la qualification directe pour la prochaine Ligue des champions. Une belle revanche pour le club après la période délicate traversée par les Olympiens, notamment après la claque reçue à Reims (3-0). casino lyon 💰 Commencez à jouer sur casino lyon avec un bonus crypto de 400 USDT offert ! – casino lyon 💰 Casino en ligne casino lyon : crypto, IA, bonus 1300 USDT et des jackpots chaque semaine. Rejoignez-nous maintenant. Les objectifs sont atteints Pablo Longoria a salué la performance de ses joueurs, du staff et de l’ensemble du club dans un joli message publié sur son compte LinkedIn, se disant ravi de voir son groupe atteindre les objectifs fixés en début de saison :" Cette semaine, l’Olympique de Marseille a validé son retour en Ligue des champions. Ce n’est pas une récompense. C’est une reconquête. Et une affirmation. Plus qu’un objectif atteint, c’est une démonstration de ce que l’OM peut devenir quand il reste fidèle à lui-même : exigeant, rebelle, solidaire. " Il a également pointé du doigt la responsabilité d’acteurs externes dans l’atmosphère parfois compliquée autour du club :" Cette saison, beaucoup ont essayé de nous faire tomber. Certains ont semé le doute, voulu créer la division, misé sur l’explosion. Mais ce club a tenu ", a-t-il insisté, reprenant l’expression " Seuls contre tous ". Un nouveau "ritiro" C’est pourquoi le club a décidé de miser à nouveau sur un départ à l’étranger pour l’équipe et le staff. Après un "ritiro" à Rome qui a porté ses fruits, les joueurs olympiens devraient s’envoler vers l’Espagne, et plus précisément Madrid, d’après Sacha Tavolieri. Une occasion pour l’ensemble du groupe de resserrer une nouvelle fois les liens et de célébrer ensemble la qualification pour la Ligue des champions, avant l’ultime journée à domicile face à Rennes. Dernier objectif pour les hommes de Roberto De Zerbi : la 2e place au classement, synonyme de participation au Trophée des champions en cas de victoire finale du PSG en Coupe de France.

OM : Papin fait ses adieux, Marseille fidèle à ses valeurs face au PSG

OM : Papin fait ses adieux, Marseille fidèle à ses valeurs face au PSG À Marseille, l'Inter pour oublier Paris À Marseille, la finale de Ligue des champions entre le PSG et l’Inter Milan est vécue avec un intérêt bien particulier. Loin de soutenir Paris par esprit national, de nombreux Marseillais, fidèles à leur rivalité historique, espèrent voir les Italiens l’emporter. Si les maillots de l’Inter sont rares en ville, leur popularité est indéniable, en témoignent les ventes rapides dans les boutiques locales. Support client de Casino Vert ❤️ : un service disponible 24h/24 – Vous êtes-vous déjà retrouvé confronté à un problème lors d’une session de jeu en ligne, sans savoir vers qui vous tourner ? Est-ce que les nouveaux casinos Membres des South Winners, Georges et Michel Baudon assument leur rejet du PSG : « Si tu es Marseillais, tu ne peux pas supporter Paris », rappelle Georges. À travers le quartier du Panier, l’esprit italien reste vivace, renforçant ce soutien à l’Inter. Dans les bars comme Le 15 ou l’OM Café, la prudence est de mise : peu diffusent le match pour éviter les tensions. « S’ils perdent, je dormirai mieux », sourit un patron de brasserie, préférant miser sur les concerts du weekend pour l’affluence. Pour d’autres, comme Alexia au restaurant Le Nul Part Ailleurs, l’idée même de voir Paris soulever une deuxième étoile est insupportable : « Si quelqu’un fête un but de Paris, on éteint la télé », annonce-t-elle. Même dans la rue, l’ambiance reste marquée par ce clivage. Ludovic Blanc, en maillot de l’Inter, raconte des scènes bienveillantes autour de ses couleurs « ennemies » de Paris. Quant à Salim de Lorenzo Styl, célèbre coiffeur des stars, il prévoit une soirée festive si l’Inter s’impose, fidèle à l’esprit marseillais. Malgré quelques voix appelant à soutenir un club français, les Marseillais campent sur leurs positions : Paris reste l’ennemi. Même Basile Boli, après des propos jugés ambigus, a dû clarifier son attachement éternel à Marseille. Quoi qu’il arrive, pour beaucoup ici, « ils ne seront jamais les premiers ». Jean-Pierre Papin tire sa révérence à l'OM, sans amertume Jean-Pierre Papin a dirigé son dernier match avec la réserve de l’OM le 16 mai à Trets. En fin de contrat, l'ancien Ballon d’Or 1991 ne poursuivra pas l'aventure olympienne. Après trois années au club, d'abord conseiller de Pablo Longoria puis entraîneur des jeunes, il s'apprête à rentrer chez lui à Arcachon et envisage de conserver son rôle d’ambassadeur du club. Papin dresse un bilan globalement positif de son passage sur le banc, malgré des hauts et des bas. Sa première expérience avec un groupe jeune lui a beaucoup plu, appréciant des joueurs « à l’écoute » et « talentueux ». Sportivement, il retient les troisièmes et quatrièmes places obtenues en National 3, mais regrette un « passage à vide » en milieu de saison qui a éloigné l'équipe du titre. S’il n’écarte pas l’idée qu'il aurait pu continuer sans son conflit avec Ali Zarrak, il accepte la fin de cette collaboration avec philosophie. Concernant les polémiques extra-sportives – comme l'affaire de ses chiens dans le bus ou le maillot controversé porté avant un match contre Montpellier – Papin se défend, expliquant des circonstances banales et regrettant les menaces reçues, pour lesquelles une plainte a été déposée, sans suites pour l’instant. Quant à son avenir, il reste ouvert : profiter de ses vacances, réfléchir à son avenir dans le football et peut-être rester ambassadeur de l’OM, une proposition venue de Longoria. En tout cas, même si son retour en 2022 ne s’est pas déroulé comme espéré, « JPP » affirme ne rien regretter : « L’histoire entre l’OM et moi n’est pas terminée. »

OM : Jonathan Rowe plutôt que Luis Henrique ?

OM : Jonathan Rowe plutôt que Luis Henrique ? Il y a parfois des croisements de trajectoires qui en disent long sur une fin de saison. Celle de Luis Henrique et de Jonathan Rowe résume beaucoup des dilemmes actuels de Roberto De Zerbi. L’un, titulaire indiscutable depuis août, traverse une période morose et semble détaché. L’autre, longtemps écarté, revient dans le jeu au bon moment. joa casino – Vous cherchez un casino en ligne digne de confiance qui allie divertissement, sécurité et innovation ? Vous vous demandez si Joa Casino, accessible via Luis Henrique, le souffle coupé Luis Henrique, ailier reconverti piston, puis de nouveau piston reconverti ailier, avait tout pour s’imposer durablement dans le système hybride de De Zerbi. Travailleur, discipliné, toujours prêt à répéter les efforts sans ballon, il a longtemps été vu comme l’équilibre nécessaire au déséquilibre créatif des autres. Mais depuis plusieurs semaines, son rendement est en chute libre. Sa prestation contre Lille a confirmé une impression persistante : l’ancien joueur de Botafogo a perdu ce qui faisait sa force. Moins d’envie, moins de tranchant, et surtout un détachement visible. À quelques semaines de son probable départ pour l’Inter Milan, difficile de ne pas penser que l’esprit est ailleurs. Dans ce contexte, Jonathan Rowe refait surface. Le jeune Anglais, lancé en fanfare en début de saison, avait séduit le Vélodrome par sa vivacité, ses prises d’initiatives et une certaine fraîcheur dans ses intentions. Mais la bascule vers un 3-4-2-1 l’a mis de côté. Moins à l’aise dans ce système, parfois critiqué pour son implication à l’entraînement, Rowe est progressivement sorti de la rotation. Pourtant, De Zerbi n’a jamais totalement fermé la porte.   Le bon système, au bon moment ? Le retour au 4-3-3 ces derniers matchs pourrait bien tout changer. Car dans ce schéma, Rowe retrouve un couloir et un rôle qu’il affectionne : celui d’un ailier libre de provoquer, de fixer, de casser les lignes. Ses entrées en jeu récentes ont été encourageantes, au point de faire réfléchir le staff. S’il n’a pas brillé lors de sa dernière titularisation à Monaco, c’est aussi parce qu’il avait été placé en faux 9, dos au but, un rôle ingrat où son manque de rythme l’avait aussi plombé. Dimanche prochain, l’OM devrait affronter un adversaire regroupé, prêt à défendre bas et à fermer les espaces. Dans ce contexte, la percussion de l'anglais, sa capacité à percuter balle au pied et à déséquilibrer sur ses premiers appuis, peut devenir un atout précieux. Face à une défense hermétique, les courses en diagonale et la vivacité de l’ancien joueur de Norwich peuvent offrir des solutions que Luis Henrique ne propose plus. De Zerbi l’a souvent répété : il juge ses joueurs au présent, pas au passé. À l’instant T, Rowe semble plus concerné, plus frais, et plus à même de répondre aux besoins offensifs du moment. Si l’Anglais venait à retrouver une place de titulaire dans le sprint final, ce ne serait pas une surprise. Ce serait peut-être même une évidence.

Ex-OM : Rudi Garcia revient sur son échange avec Roberto De Zerbi

Ex-OM : Rudi Garcia revient sur son échange avec Roberto De Zerbi Dans un entretien accordé à RMC Sport, Rudi Garcia a livré ses impressions en tant désormais que sélectionneur, revenant aussi sur son passage à l’Olympique de Marseille. Installé désormais au Centre National de Tubize, considéré comme le "Clairefontaine belge", l’ancien coach de l’OM est revenu avec sincérité sur ces années marseillaises qui l’ont marqué. "Oui, Marseille est énergivore", a-t-il reconnu, avant d’ajouter : "Mais c'était bien partout, au LOSC, à Lyon et à Marseille. Et mes expériences à l’étranger, à Rome, Naples ou encore Al-Nassr, ont été très enrichissantes". casino 1995 app – Vous êtes passionné par les jeux de casino en ligne et cherchez une solution mobile pratique ? Vous vous demandez comment télécharger et installer la casino Trois années marseillaises marquées par une finale européenne Contrairement à une idée reçue, Rudi Garcia a rappelé la stabilité dont il a fait preuve durant sa carrière : "On dit souvent que je change de club tous les ans, mais j'ai fait cinq ans à Dijon, cinq ans à Lille et trois ans à l’Olympique de Marseille". Un passage notable marqué par une finale d’Europa League en 2018, perdue face à l’Atlético de Madrid, lors d'une solide saison en Ligue 1 où l’OM avait engrangé 77 points, terminant néanmoins à une frustrante quatrième place. À titre de comparaison, son OM a donc tourné à une moyenne de 2,02 points par match là où l'équipe de cette saison a récolté 1,91 point par match. Frustrant ? Peut-être pour Garcia, mais l'objectif de départ reste le même : être parmi les trois meilleures équipes françaises. Si cette saison-là, le PSG, Monaco et Lyon ont engrangé plus de points que l'OM, c'est peut-être bien qu'ils étaient "plus faciles" à prendre que cette saison où la formation de Roberto De Zerbi a assuré sa place sur le podium avant même la dernière journée. Un échange amusé avec Roberto De Zerbi Roberto De Zerbi, actuel entraîneur de l’OM, a récemment taquiné Garcia sur sa longévité à Marseille : "Ah, tu as quand même fait trois ans à l'Olympique de Marseille". Une anecdote que l’ancien entraîneur a racontée avec le sourire, se remémorant une rencontre à Rome où les deux techniciens avaient échangé lors du "ritiro". Installé à la tête des Diables Rouges depuis 2024, Garcia s’est fixé des objectifs élevés pour la sélection belge. Avec des joueurs comme Kevin De Bruyne et Romelu Lukaku en fin de cycle, il devra entamer un profond renouvellement pour espérer briller lors des qualifications pour la Coupe du monde 2026. Garcia et l’OM : une histoire qui s'est mal terminée Malgré les critiques et la pression intense qui règne autour de l’OM, Rudi Garcia reste fier de son passage dans la cité phocéenne. Si ces deux premières saisons étaient réussies, il y a à dire sur la dernière. Alors que le club marseillais avait un des plus gros budgets du championnat, l'équipe n'a terminé qu'à la 5e place, avec une peu glorieuse quatrième position en phase de groupe d'Europa League derrière la Lazio Rome, Francfort et l'Apollon Limassol. A toujours tout mettre sur le dos de l'arbitrage, Rudi Garcia s'est coupé du public marseillais mais aussi d'une bonne partie de son vestiaire, heureux de triompher face à lui quelques mois plus tard quand il n'avait pas hésité à reprendre du service chez l'ennemi lyonnais.

OM : le joli message de Pierre-Émile Hojbjerg au club phocéen

OM : le joli message de Pierre-Émile Hojbjerg au club phocéen Prêté sur le bord de la Méditerranée par Tottenham cette saison, puis vendu définitivement à la cité phocéenne par la suite, le Danois a démontré qu'il était capable de renforcer une équipe et d'accompagner celle-ci en Europe. Actuellement deuxième au classement en Ligue 1, et donc qualifié pour la Ligue des champions lors du prochain exercice, l'Olympique de Marseille a su saisir son opportunité en allant titiller les premières places du tableau avec la première vague de Roberto De Zerbi. casino la ciotat Retraits – Le montant minimum pour effectuer un retrait sur Casino La Ciotat est de 20 €. Hojbjerg, avec son statut de leader et son expérience en Premier League, a d'ailleurs apporté un renfort important à l'effectif, notamment dans l’axe du jeu. Se montrant conquérant et hargneux sur la pelouse, le "Viking" a semblé fier de porter les couleurs de l'OM. Par ailleurs, il a partagé un beau message sur son Instagram après la belle victoire face au Havre, remportée trois buts à un dans les derniers instants. Un message rempli de bonheur et d'accomplissement " Ce fut une année de turbulences, d’obstacles et de fortes émotions. Mais nous sommes devenus un groupe d’hommes qui sont toujours restés concentrés, déterminés et qui ont constamment grandi à chaque défi. Nous avons élevé notre niveau, sommes restés concentrés et avons apporté de la joie à tous ceux qui étaient impliqués à l’Olympique de Marseille. Tout au long de ma carrière, mon ambition a toujours été motivée par les trophées, possibles ou non, c’était l’objectif", a-t-il déclaré dans son post. Avec des mots forts, le milieu de terrain a poursuivi : " Néanmoins, je me suis senti extrêmement apprécié et je suis toujours étonné de voir comment l’amour des gens peut aussi vous donner le sentiment que quelque chose de spécial a été accompli, même sans trophée. Oui, Marseille est spéciale à bien des égards, tout comme l’équipe qui a ramené la Ligue des champions et une façon unique de jouer au football au peuple. Merci pour le soutien et l’amour depuis le premier jour ! À bientôt. Forza. " Visiblement conquis par le public marseillais et la ville tout entière, Hojbjerg a ouvert son cœur, et cela plaît toujours aux supporters. Un calendrier plus chargé pour l’effectif Lors de la prochaine saison, les Olympiens auront l’occasion de se lancer dans une nouvelle campagne européenne déterminante. De nombreux efforts devront être fournis par chaque joueur aligné par RDZ, avec de nombreuses échéances rapprochées, puisque le calendrier comprendra à la fois le championnat et la Coupe de France. Le joueur danois pourrait donc apporter sa détermination et ses qualités athlétiques pour performer en Europe aux côtés de ses coéquipiers. Pour rappel, le mercato estival débute dans quelques semaines, et Højbjerg pourrait faire face à un effectif chamboulé dans sa zone. Le milieu de terrain marseillais le sait : le onze pourrait être réorganisé la saison prochaine si certains joueurs venaient à quitter l’Hexagone. Mais pour l’heure, aucun doute concernant l’avenir de ses partenaires au milieu, Adrien Rabiot et Ismaël Bennacer, qui devraient rester dans le sud-est.

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