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Mercato OM – Quelle solution pour Maupay, Harit, Lirola, Blanco et Garcia ?

Mercato OM – Quelle solution pour Maupay, Harit, Lirola, Blanco et Garcia ? Alors que la plupart des grands championnats européens ont fermé leurs portes depuis le 1er septembre, l’Olympique de Marseille n’a pas totalement terminé son ménage d’effectif. Plusieurs joueurs, considérés comme indésirables, restent à caser d’ici au 16 septembre, date butoir fixée par le Qatar, dernier championnat encore ouvert. Entre espoirs de rebond et blocages persistants, le dernier sprint final du mercato s’annonce déterminant pour Pol Lirola, Neal Maupay, Amine Harit, Ruben Blanco et peut-être même Ulisses Garcia. casino nice Prime – Vous vous demandez quelles sont les primes les plus avantageuses proposées par le Casino Nice ? Comment tirer profit de ces bonus pour optimiser votre Les dates et horaires de fermeture du mercato estival 2025-2026* Autriche 5 septembre Belgique 8 septembre Suisse 9 septembre Arabie saoudite 11 septembre Grèce, Turquie, Russie 12 septembre Mexique 13 septembre Qatar 16 septembre   *Le mercato, dans le sens des arrivées, en France, Angleterre, Italie, Allemagne, Espagne, Portugal (1er septembre), Pays-Bas (2 septembre) et Brésil (3 septembre) est fermé. Lirola et Maupay : les dossiers les plus avancés ? Parmi les joueurs dont l’OM espère se séparer, Pol Lirola incarne un cas typique. Entré en jeu lors du dernier déplacement à Lyon, l’Espagnol n’a toutefois aucune perspective à moyen terme. L’arrivée de nouvelles recrues en défense et surtout son absence de la liste pour la Ligue des champions ont scellé son avenir marseillais. Des pistes existent en Turquie et en Grèce, où certains clubs se sont renseignés, mais aucune offre concrète n’a encore atterri sur le bureau de Pablo Longoria. Le cas de Neal Maupay est plus complexe. Proche de Roberto De Zerbi, l’attaquant était vu comme l’un de ses protégés. Pourtant, depuis le début de saison, il est totalement écarté, jusqu’à ne pas figurer dans le groupe pour le déplacement à Lyon. Ses statistiques de la saison dernière (24 matchs, 4 buts et 4 passes décisives) témoignent d’une certaine utilité, et c’est sans doute ce qui lui vaut un intérêt réel de la part d’Anderlecht et du PAOK Salonique. Les deux clubs cherchent un avant-centre et suivent attentivement son cas. Reste à savoir si Maupay acceptera de quitter la Canebière, lui qui espérait encore inverser la tendance. Sa mise à l’écart de la Ligue des champions pourrait toutefois accélérer son départ. Harit et Blanco : deux cas plus délicats L’histoire d’Amine Harit à Marseille prend une tournure de plus en plus compliquée. Le Marocain avait bien commencé la saison 2024/2025, avant de connaître une expulsion face au PSG et une série de blessures musculaires. La saison dernière, l’OM avait déjà tenté de lui trouver un point de chute, notamment en Turquie, mais les doutes sur son état physique avaient refroidi les prétendants. Malheureusement pour lui, les événements leur ont donné raison : Harit a de nouveau connu des soucis musculaires, cette fois en plein sprint final du mercato estival. Sa fragilité inquiète et bloque presque toutes les pistes possibles, alors que son talent n’est pas remis en cause. En ce qui concerne Ruben Blanco, la situation semble plus claire : le gardien espagnol n’a plus aucun avenir au club. Dans la hiérarchie, il se retrouve derrière Gerónimo Rulli, Jeffrey De Lange, Théo Vermot et même le jeune Jelle Van Neck. Un départ est donc attendu, mais encore faut-il trouver un club intéressé à l’accueillir dans les prochains jours. Ulisses Garcia, un avenir encore flou Le dernier nom de la liste est celui d’Ulisses Garcia. Le latéral gauche suisse, écarté de la liste pour la Ligue des champions, a mal vécu ce choix de Roberto De Zerbi. La concurrence est rude : Emerson Palmieri, Facundo Medina, Amir Murillo (dépannant à gauche) et même Timothy Weah lui sont préférés. Résultat : son temps de jeu à venir s’annonce famélique. Un retour en Suisse est une option crédible, même si pour l’heure, le joueur ne figure pas encore parmi les priorités de départ du club. L’OM a donc encore une dizaine de jours pour solder ces dossiers et alléger un effectif trop chargé. Les championnats encore ouverts – Belgique, Suisse, Arabie saoudite, Grèce, Turquie, Russie, Mexique et Qatar – représentent autant d’opportunités pour trouver une porte de sortie aux indésirables. Si les cas de Maupay et Lirola paraissent les plus susceptibles de se débloquer, ceux de Harit, Blanco et Garcia pourraient bien s’éterniser. Une certitude demeure : Pablo Longoria et son staff n’ont pas fini de s’activer pour boucler ce mercato jusqu’au bout.   Retrouvez le tableau des transferts de l'OM ici

OM – que penser du Real Madrid après sa victoire ce week-end ?

OM – que penser du Real Madrid après sa victoire ce week-end ? Le Real Madrid a gagné samedi soir à Anoeta face à la Real Sociedad (2-1), confirmant son départ parfait en Liga avec une quatrième victoire en autant de matchs. Ce succès ne doit rien au hasard, mais il ne s’est pas construit sans souffrance, ni sans débats. Dès le coup d’envoi, les Madrilènes ont affiché leurs intentions avec une maîtrise technique et territoriale qui leur a rapidement permis de prendre les devants. Kylian Mbappé a ouvert le score à la 12e minute. Profitant d’une erreur défensive basque, il a ajusté le gardien d’un tir précis, lançant parfaitement son équipe sur la voie du succès. Mbappé ne s’est pas contenté de marquer : omniprésent dans le dernier tiers, il a multiplié les dribbles et sa prestation a été récompensée juste avant la pause, lorsqu’il a délivré une passe décisive pour Arda Güler, auteur du deuxième but madrilène d’une frappe puissante à la 44e minute. À ce moment-là, Madrid menait 2-0 et semblait en contrôle, malgré un match accroché. casino drive 💰 Bonus crypto immédiat : 300 USDT à l’inscription casino drive et 100 USDT à la connexion ! – casino drive 💰 Casino mobile, IA, paiements USDT : casino drive vous offre 300 USDT immédiats et un bonus de dépôt de 1000 USDT. Inscrivez-vous vite ! Le scénario s’est cependant compliqué dès la 31e minute avec l’expulsion de Dean Huijsen. Le jeune défenseur néerlandais a été sanctionné d’un carton rouge direct pour un tacle jugé dangereux, une décision que Xabi Alonso a vivement contestée en conférence de presse, estimant qu’il n’y avait « même pas matière à jaune ». Cet épisode a obligé les Madrilènes à évoluer à dix contre onze pendant près d’une heure, bouleversant la stratégie initiale et contraignant Alonso à revoir l’organisation défensive. Aurélien Tchouaméni a été repositionné dans l’axe de la défense, épaulé par Éder Militão et soutenu par un Dani Carvajal très sollicité. La seconde période a logiquement vu la Real Sociedad hausser le ton. Profitant de sa supériorité numérique, l’équipe basque a mis davantage de pression, et a fini par réduire l’écart à la 56e minute. Sur une main de Carvajal dans la surface, l’arbitre a accordé un penalty transformé avec sang-froid par Mikel Oyarzabal. Le match a alors basculé dans un combat intense où le Real, recroquevillé par séquences, a dû faire preuve d’une grande solidarité pour préserver son avantage. Thibaut Courtois a été décisif à plusieurs reprises, notamment en détournant une tentative dangereuse d’Oyarzabal puis en s’interposant face à Caleta-Car dans les arrêts de jeu. Sa sérénité et ses réflexes ont permis de maintenir l’équipe à flot quand la Real Sociedad poussait de toutes ses forces pour égaliser. Au-delà du score, ce match a révélé des points essentiels sur la forme de plusieurs joueurs. Mbappé a été l’homme du match, non seulement pour ses statistiques (un but, une passe décisive, une forte activité offensive), mais aussi pour son volume de jeu : il a touché un grand nombre de ballons dans le dernier tiers, réussi la majorité de ses dribbles et s’est même impliqué défensivement avec plusieurs récupérations. Sa capacité à tenir le ballon et à créer du danger presque seul a été la clé pour permettre au Real de rester menaçant malgré l’infériorité numérique. Arda Güler a également marqué des points. Déjà en confiance depuis le début de saison, il a confirmé son rôle de créateur, capable de multiplier les passes clés et d’apporter une menace constante entre les lignes. Son but a été le reflet de son aisance technique et de sa capacité à se projeter dans les zones décisives. Derrière eux, d’autres joueurs ont brillé dans un registre moins spectaculaire mais tout aussi essentiel. Dani Ceballos (oui, il était titulaire…) a affiché une grande justesse technique, avec un taux de passes réussies impressionnant qui a permis à Madrid de souffler dans les temps forts adverses. Aurélien Tchouaméni, replacé en charnière après l’expulsion de Huijsen, a livré une performance solide, combinant rigueur défensive et intelligence tactique. Dani Carvajal, malgré sa main coupable qui a offert le penalty à la Sociedad, a multiplié les courses défensives et a été précieux dans les transitions. Éder Militão, longtemps critiqué pour son irrégularité, a livré un match plein d’autorité, gagnant la majorité de ses duels aériens. Enfin, Courtois a rappelé qu’il restait l’un des meilleurs gardiens du monde, avec plusieurs arrêts qui ont directement offert les trois points à son équipe. Mais tout n’a pas été parfait, loin de là. L’expulsion de Huijsen a révélé une fragilité dans la gestion défensive : la jeunesse du défenseur et son manque d’expérience dans des contextes tendus peuvent coûter cher, surtout face à des adversaires directs. Le Real a également montré ses limites dans la gestion des temps faibles : une fois réduit à dix, l’équipe a reculé et subi, parfois trop, s’exposant aux vagues adverses. L’erreur de Carvajal illustre aussi une certaine fébrilité sous pression, avec une faute évitable qui aurait pu coûter deux points. La profondeur de banc pose également question : avec les absences prolongées de Rüdiger, Bellingham, Camavinga, Mendy ou encore Endrick, les solutions de rotation se réduisent et Alonso a dû puiser dans ses ressources physiques et mentales pour maintenir un équilibre. Cette accumulation d’absents fragilise une équipe qui enchaîne les matchs à haute intensité. Enfin, on peut relever une dépendance forte à Mbappé : si le Français venait à être moins en réussite, le Real manque encore d’alternatives offensives suffisamment percutantes pour porter l’équipe, ce qui sonne comme un désaveu pour Vinicius Junior ou Brahim Diaz, pourtant titulaires depuis le début de saison. Après la rencontre, Xabi Alonso a salué le caractère de ses joueurs, mettant en avant la solidarité et la discipline qui leur ont permis de tenir à dix contre onze. « Nous avons encore de la marge de progression », a-t-il ajouté, reconnaissant que tout n’était pas parfait mais que l’essentiel, à savoir la victoire, avait été

Lyon 1/0 OM – l'OM n'a rien montré

Lyon 1/0 OM – l'OM n'a rien montré Le ONZE de l'OM face à Lyon Rulli casino barcelona app – Casino Barcelona App est bien plus qu’un simple outil pour jouer en ligne. C’est une plateforme complète qui regroupe tout ce dont un joueur a besoin : T. Weah – Egan-Riley – Balerdi – Murillo Hojbjerg – A. Gomes Nadir Greenwood – Aubameyang – H. Traoré Banc : De Lange (g), F. Camara, Lirola, Cornelius, U. Garcia, Bakola, Harit, Gouiri, Vaz Marseille réduit à dix, Rulli sauve les siens à la pause Le premier choc de la saison n'a pas tenu toutes ses promesses au Groupama Stadium. Devant plus de 52 000 spectateurs, l’Olympique Lyonnais et l’Olympique de Marseille ont livré une première période animée, marquée par l’exclusion précoce de CJ Egan-Riley et plusieurs situations chaudes dans les deux surfaces. Mais techniquement catastrophique. D’entrée, l’OL a imposé un pressing haut, Corentin Tolisso dictant le tempo au milieu et Malik Fofana multipliant les accélérations côté gauche. Les Marseillais, eux, ont tenté de s’appuyer sur Angel Gomes et Bilal Nadir pour trouver Pierre-Emerick Aubameyang, sans réel succès. Mason Greenwood, souvent surveillé par Abner, a eu du mal à s’exprimer. Les débats se sont équilibrés un temps, avec un premier dédoublement intéressant de Amir Murillo et quelques projections de Timothy Weah, mais les imprécisions techniques ont limité les occasions marseillaises. À l’inverse, Lyon a su exploiter la vivacité de Fofana, très remuant, obligeant Leonardo Balerdi à intervenir à plusieurs reprises. Géronimo Rulli a dû s’interposer sur une frappe dangereuse du jeune Belge, confirmant son rôle décisif dans la cage olympienne. Le tournant intervient à la 34e minute. Sur une erreur de relance de Balerdi, Egan-Riley est contraint de stopper irrégulièrement Fofana lancé plein axe. L’arbitre François Letexier n’hésite pas : carton rouge direct. Comme souvent ces derniers mois, l’OM se retrouve en infériorité numérique dès la première période. Roberto De Zerbi est contraint de sacrifier Bilal Nadir, remplacé par Derek Cornelius, pour rééquilibrer sa défense. Fort de sa supériorité, Lyon a intensifié la pression. Tyler Morton, précieux dans l’organisation, a multiplié les passes cassant les lignes. Karabec a tenté sa chance à plusieurs reprises, sans succès. Abner et Fofana ont encore combiné pour créer le danger, mais ni Tolisso ni ses partenaires n’ont trouvé la faille. Dans le temps additionnel, Rulli s’est encore envolé pour claquer une frappe de Fofana, préservant le 0-0 à la pause. Au terme de 45 minutes intenses, l’OL a dominé sans concrétiser. Marseille, réduit à dix, s’accroche grâce à un Rulli décisif et devra trouver des solutions en contre après la pause. Lyon, lui, peut regretter de ne pas avoir converti sa nette domination. Un OM valeureux, mais puni en fin de match La seconde période de ce 126e Olympico a confirmé l’intensité de la première, mais elle a aussi montré un tout autre visage de l’OM, plus solidaire et capable de frapper en contre malgré son infériorité numérique. Réduit à dix, le club phocéen a souffert face à la possession lyonnaise, mais il s’est procuré plusieurs opportunités franches. Dès la reprise, Roberto De Zerbi a procédé à un ajustement tactique en sortant Mason Greenwood, en difficulté, pour faire entrer Ulisses Garcia. Murillo a basculé à droite, épaulé par Timothy Weah, tandis que Garcia a pris le couloir gauche. Les Lyonnais ont continué d’appuyer à gauche avec Fofana et Abner, mais sans réussite dans la finition. Tesmann et Tolisso ont tenté d’apporter leur jeu de tête, sans succès. La sortie sur blessure de Fofana, remplacé par Nicolas Tagliafico, a marqué un tournant. L’OL a perdu en percussion, laissant davantage de champ aux Marseillais. Sur corner, Hamed Traoré a trouvé Rulli vigilant, puis l’OM a répliqué en contre : Aubameyang a buté sur Descamps. Quelques minutes plus tard, une nouvelle frappe de Traoré a encore sollicité le portier lyonnais. Les Rhodaniens ont multiplié les centres, près d’une trentaine au total, mais la défense phocéenne, bien resserrée autour de Balerdi, Cornelius et Murillo, a tenu bon. Tolisso, pour son 300e match en club, a cherché à s’impliquer dans la surface adverse, mais ses transmissions n’ont pas trouvé preneur. Karabec et Maitland-Niles ont eu quelques opportunités, sans jamais tromper Rulli, impeccable tout au long de la rencontre. Côté marseillais, Aubameyang, bien pris par Niakate, a fini par céder sa place en fin de match, tout comme Traoré, généreux mais émoussé. Les jeunes Robinio Vaz et Darryl Bakola ont fait leur apparition, témoignant de la volonté de De Zerbi de s’appuyer sur la fraîcheur de son banc. Les Olympiens ont alors géré la fin de rencontre avec sang-froid, se créant même une dernière occasion sur corner. Mais dans les dernières minutes, le scénario a basculé. Sur un centre mal négocié, Leonardo Balerdi a trompé son propre gardien en marquant contre son camp. Cruelle issue pour un OM héroïque mais puni en toute fin de match, qui repart de Lyon avec une défaite frustrante (1-0).

OM – De Zerbi, le tacticien vous salue bien

OM – De Zerbi, le tacticien vous salue bien Avant le coup d’envoi, l’inquiétude planait. Beaucoup s’attendaient à une équipe classique, renforcée par les meilleures recrues estivales. Au lieu de cela, De Zerbi a surpris : défense à cinq, titularisation de Kondogbia, de Timothy Weah et de Bilal Nadir, des choix loin d’être évidents au regard de l’importance du match. L’OM devait absolument s’imposer pour aborder les prochaines échéances avec sérénité, et pourtant, l’Italien prenait le risque de mettre des joueurs "de rotation". casino joa 💰 Un seul clic, deux cadeaux : 300 USDT d’inscription + 100 USDT de connexion chez casino joa ! – casino joa 💰 Lancez-vous dans l’univers du jeu numérique avec casino joa. 1300 USDT offerts pour tester les meilleurs jeux IA & live. Mais derrière ce qui pouvait sembler être une audace excessive se cachait une logique limpide. De Zerbi n’a pas aligné les onze noms les plus clinquants, il a réfléchi en termes de plan de jeu, de complémentarité et de continuité. Tactiquement, la rencontre a rappelé de nombreux schémas déjà aperçus la saison passée. L’OM a évolué dans un système à cinq défenseurs, mais comme toujours chez De Zerbi, cela ne signifiait pas repli ou prudence. Murillo, en particulier, a incarné ce déséquilibre organisé : constamment projeté vers l’avant, il s’est retrouvé dans une position quasi offensive qui lui a permis d’obtenir le penalty du 1-0 après seulement dix minutes de jeu. À ses côtés, Pavard assurait la couverture, preuve d’un équilibre bien pensé. Devant, le duo Gouiri-Greenwood se montrait disponible avec un Nadir chargé de couvrir le flanc gauche, dans un rôle qui rappelait celui de Rabiot lors de la saison précédente. Chaque joueur connaissait précisément sa mission et l’OM en a tiré une efficacité implacable. Au-delà du résultat, c’est la philosophie de gestion de l’effectif qui retient l’attention. L’OM a beaucoup bougé sur le marché des transferts, avec plusieurs arrivées actées tardivement. Ajoutez à cela une trêve internationale ayant dispersé les cadres de l’équipe, et l’on comprend pourquoi De Zerbi n’a pas cherché à improviser une nouvelle ossature. Il s’est appuyé sur Kondogbia, Nadir et d’autres joueurs déjà imprégnés de ses principes, afin de garantir un socle solide. Cette méthode n’est pas sans risque. Si le match avait tourné autrement, les critiques auraient fusé sur ses choix jugés trop expérimentaux. Ce qui frappe, c’est la précision avec laquelle les joueurs ont interprété les consignes. Lorsque Murillo avançait, Pavard couvrait systématiquement la zone libérée. Dans le même temps, Greenwood exploitait les espaces créés, alternant ses appels avec ceux de Gouiri. Ces enchaînements ne doivent rien au hasard. Ils traduisent un travail de fond, une discipline tactique déjà assimilée par l’ensemble du groupe. De Zerbi montre ainsi qu’il ne se contente pas de beaux discours ou de punchlines dans le vestiaire, comme certains le caricaturent. Il conçoit des plans de jeu détaillés, adaptés à chaque adversaire, et ses joueurs les appliquent avec conviction. Cette victoire, plus que le score lui-même, rassure sur la capacité de l’OM à rester fidèle à une identité tout en intégrant de nouvelles pièces. Tant mieux car désormais, c'est le Real Madrid. L’OM sait qu’il ne pourra pas rivaliser sur le simple talent individuel, mais De Zerbi prouve qu’il est prêt à proposer un plan cohérent et novateur. À Madrid, le technicien italien n’alignera peut-être pas les mêmes hommes ni la même formule. Mais la démonstration face à Lorient prouve une chose : il y aura un plan, pensé dans les moindres détails, et chaque joueur saura exactement ce qu’il doit faire. Ce pragmatisme et cette capacité d’adaptation constituent aujourd’hui la plus grande force de l’OM.

OM – Mandanda : "Avec Bielsa, je me suis régalé"

OM – Mandanda : "Avec Bielsa, je me suis régalé" Dans une interview à L'Equipe, Steve Mandanda est revenu sur son passage marquant à l’OM sous la direction de Marcelo Bielsa entre 2014 et 2015. L’ancien capitaine phocéen a raconté comment le poste de gardien avait été profondément transformé par les consignes du coach argentin, qui imposait une relance propre au sol comme priorité absolue. film casino Retraits – Vous avez accumulé de beaux gains sur Film Casino et vous vous demandez comment les retirer en toute sécurité ? Le processus de retrait sur un casino en ligne "Avec Bielsa, je me suis régalé. Le gardien était vachement sollicité, on devait ressortir au pied. Ce qui est paradoxal, c'est que j'ai commis quelques erreurs au pied, ce qui a pu faire penser que j'étais fébrile dans ce domaine. Mais le risque était assumé. Il me disait que si je faisais une erreur, je devais recommencer encore et encore, que l'erreur était pour lui" détaille-t-il. Une philosophie marquante pour l’OM Durant la saison 2014-2015, cette approche a façonné l’identité de l’équipe marseillaise, portée par un football spectaculaire. Le rôle du gardien, bien plus sollicité qu’auparavant, illustrait la volonté de construction dès la base. Même si cela a parfois exposé l’OM à des situations risquées, le public s’est souvenu de cette période comme l’une des plus marquantes de l’ère moderne. Et les autres joueurs aussi puisque Mandanda a été élu cette saison-là meilleur gardien du championnat alors que l'OM n'a pourtant fini que quatrième de Ligue 1. Le top3 de Mandanda est connu Il y a quelques années, Steve Mandanda nous avait confié qu'André Villas-Boas faisait partie des trois meilleurs coachs qu'il avait connu à l'OM. Son podium se complète donc avec Marcelo Bielsa alors que la plus haute marche est pour Didier Deschamps. Dans ce même entretien au quotidien sportif, Mandanda assure à propos de DD : "Je n'ai jamais connu un entraîneur comme lui. Si je ne devais citer qu'un seul coach, ce serait lui. Il sait comment gagner". Il lui doit tous ses trophées, avec l'OM comme en équipe de France.

Mercato OM : Dani Ceballos a déjà dit oui à l’OM !

Mercato OM : Dani Ceballos a déjà dit oui à l’OM ! Lors d’un live sur DAZN aux côtés de Fabrizio Romano, Matteo Moretto a confirmé une avancée majeure dans le dossier Dani Ceballos : le milieu de terrain espagnol a déjà donné son accord verbal à l’Olympique de Marseille. Le club phocéen et le joueur se sont entendus sur les bases salariales, estimées autour de 6 millions d’euros par an. Mais l’opération reste suspendue à un accord entre l’OM et le Real Madrid. casino trouville app – Vous êtes passionné de jeux de hasard et cherchez une expérience immersive sans avoir à vous déplacer ? Et si une application mobile pouvait vous offrir tout En effet, les deux clubs discutent actuellement de la formule du transfert. Selon le journaliste, la piste privilégiée serait un prêt avec option d’achat, qui pourrait devenir obligatoire en fonction de certaines conditions. Les montants évoqués oscillent entre 12 et 15 millions d’euros, ce qui correspond à la valeur actuelle du joueur sur le marché. Le principal obstacle réside donc dans les négociations entre dirigeants. Le Real Madrid souhaite sécuriser ses intérêts, alors que l’OM tente de trouver la meilleure formule financière pour ne pas alourdir son budget immédiatement. Pour l’instant, les pourparlers se poursuivent, et l’optimisme reste prudent du côté marseillais. La perspective de voir Dani Ceballos débarquer au Vélodrome est néanmoins réelle. À 29 ans, l'espagnol cherche du temps de jeu qu'il n'aura pas à Madrid, où la concurrence est féroce au milieu de terrain. L’OM, de son côté, poursuit sa stratégie ambitieuse visant à renforcer son effectif avec des profils confirmés capables d’apporter de l’expérience et de la qualité technique. Si l’accord entre clubs venait à être trouvé, l’arrivée de Ceballos constituerait un joli coup pour l’OM, qui s’offrirait un joueur rompu aux joutes européennes et au plus haut niveau. Reste désormais à franchir l’étape décisive : obtenir le feu vert définitif du Real Madrid. Retrouvez le tableau des transferts de l'OM ici

Medina – "Il faut croire en nous"

Medina – "Il faut croire en nous" Un début marseillais marqué par la patience Arrivé cet été à l’OM, Facundo Medina a dû attendre avant de vivre ses premières minutes sous le maillot olympien. Entre suspension et blessure à la cheville, le défenseur a pris son mal en patience. Son premier match, une large victoire contre Lorient, a marqué un tournant personnel. "Je suis trop content pour le groupe et les nouveaux joueurs arrivés", a-t-il confié au micro de BFM Marseille Provence. casino joa 💰 Un seul clic, deux cadeaux : 300 USDT d’inscription + 100 USDT de connexion chez casino joa ! – casino joa 💰 Lancez-vous dans l’univers du jeu numérique avec casino joa. 1300 USDT offerts pour tester les meilleurs jeux IA & live. Une défense en pleine concurrence Interrogé sur la forte densité en défense centrale, notamment avec son ami Leonardo Balerdi, l’Argentin assume cette rivalité interne comme un atout pour l’équipe : "Non, non, non, il n'y a pas de concurrence entre nous, on sait d'où on vient. On est vraiment proches et amis, mais dès qu'il fait quelque chose de mal, je suis le premier à lui dire. On est là pour faire du bien à l'équipe, pour gagner, pour le club. Aujourd'hui c'est lui, demain c'est moi… C'est important de rester ensemble". Le Real Madrid et le PSG dans la même semaine ! À l’heure de défier le Real Madrid, Medina insiste sur l’importance de croire dans le travail collectif. Habitué des joutes européennes avec Lens, il sait que l’état d’esprit prime dans ce type de rendez-vous. "Il faut tout donner sur le terrain, ne rien garder", avant d'ajouter "il faut croire en nous. […] Il n'y a pas de secret. Il faut travailler tous les jours, ne rien lâcher, croire en nous, croire en notre coéquipier".

OM – Dugarry, toujours la même chanson !

OM – Dugarry, toujours la même chanson ! Une critique qui tourne en boucle Il y a des soirs où l’on se demande si certains "consultants" ont vraiment regardé le match ou s’ils ont simplement révisé leurs vieux couplets. Christophe Dugarry, micro en main sur RMC, n’a pas manqué l’occasion de servir sa rengaine préférée : l’OM serait techniquement indigne, incapable de tenir un ballon, et condamné à s’incliner devant la supériorité éternelle du PSG. À l’écouter, on croirait que le football se résume à un concours de virgules et de petits ponts, et que la sueur, la solidarité et la résistance n’auraient plus droit de cité. partouche casino Retraits – Le montant minimum pour un retrait est généralement de 20 €, mais cela peut varier en fonction de la méthode choisie. Madrid n’était pas une promenade Oui, à Madrid l’OM a plié pendant une demi-heure. Et alors ? Qui, honnêtement, imaginait une promenade de santé au Bernabéu ? L’équipe de Roberto De Zerbi a tenu, a encaissé, a relevé la tête. Elle a traversé les vagues sans rompre. C’est cela aussi, le football : le courage, l’apprentissage, l’endurance. Croire que la valeur d’un collectif se mesure à la pureté d’un contrôle orienté, c’est oublier que l’OM se reconstruit en marchant sur un fil, avec des recrues qui se découvrent à peine et une identité qui s’écrit jour après jour. Un collectif en construction Dugarry parle d’« abysses techniques » avec des trémolos de tragédie grecque. Mais l’OM n’est pas ce club docile qu’il dépeint. Il est en mutation, il se cherche, et c’est justement là que réside sa force. Quand on aligne en septembre une ossature profondément remaniée, quand on doit intégrer des joueurs venus de tous les horizons, quand on défie le Real Madrid, il faut plus que du vernis technique : il faut un coeur énorme. Ce coeur, on l’a vu. Ceux qui ne l’ont pas remarqué devraient peut-être nettoyer leurs lunettes de consultant. Le chant du Vélodrome Christophe, tu veux du jeu, de l’audace, de la « patte De Zerbi » ? Regarde un peu mieux. L’OM n’est peut-être pas encore une symphonie, mais il a déjà la musique en lui. Et quand ce peuple-là se mettra vraiment à chanter, on verra qui pleurera.

OM – De Zerbi savoure et se projette déjà sur Madrid

OM – De Zerbi savoure et se projette déjà sur Madrid Est-ce qu'avec cette victoire vous mettez enfin votre début de saison mouvementé derrière vous ? Et pouvez-vous nous donner des précisions sur l'état de santé de Nayef Aguerd et Amine Gouiri ?  rizz casino – Le nom rizz casino vous intrigue ? Est-ce une plateforme sérieuse ou un simple site parmi tant d’autres ? Quels sont ses atouts, ses garanties de sécurité et De Zerbi : La direction a fait un grand mercato, l’équipe est forte, les joueurs sont très bons. On peut penser que c’est notre premier match de championnat puisque c’est la première fois que nos joueurs jouaient ensemble. Mais c’est la 4e journée de championnat, nous n'avons pas beaucoup de temps mais on doit accélérer et les joueurs doivent apprendre à se connaître plus rapidement que prévu. Aguerd, Pavard, O’Riley, Vermeeren sont des joueurs intelligents, je ne me fais pas de souci. Pour Gouiri, il est touché à l’épaule et on doit voir s’il pourra être là mardi. Aguerd ça va. Pavard c'était des crampes. Vous êtes repassé à une défense à trois avec Pavard, Aguerd et Medina. Comment avez-vous trouvé l’animation défensive ? Et avec Leonardo Balerdi en plus commen vous pensez procéder ? RDZ : Nous sommes à quatre en phase défensive et à trois en phase offensive. Medina a fait ce qu’il a toujours fait depuis qu'il est avec nous. Emerson pourra aussi jouer à la place de Medina. Je suis content car quand je regarde notre effectif, il n’y a que des joueurs de haut niveau. La soirée est parfaite, les recrues ont marqué, vous n’avez pas pris de but et le Vélodrome était en fête. C’est une bonne chose avant d’aller à Madrid et de recevoir Paris ? RDZ : L’atmosphère est différente entre les joueurs maintenant. Il y a beaucoup d’enthousiasme à porter le maillot de l’OM. On a retrouvé nos joueurs après la trêve et je vois de l’optimisme chez eux. On va préparer le déplacement à Madrid dès demain. On y va avec humilité car c’est le Real et c’est au Bernabeu, mais il faudra que l'on soit très amitieux. C’est la Ligue des champions et on porte l’histoire de l’OM. Il faut aller à Madrid avec l’objectif de faire un bon résultat, avec humilité mais ambition. C’est ce que la ville et le club nous imposent, mais il ne faut pas oublier d’où nous venons.

Mercato OM – fin du feuilleton Zhegrova, direction Turin pour l’ailier kosovar

Mercato OM – fin du feuilleton Zhegrova, direction Turin pour l’ailier kosovar Un renfort qui échappe à l’OM La piste Edon Zhegrova se referme brutalement pour l’Olympique de Marseille. Après avoir trouvé un accord contractuel avec l’ailier kosovar, le club phocéen avait transmis une première offre au LOSC. Mais les Dogues ont finalement accepté la proposition de la Juventus, jugée plus convaincante financièrement et sportivement. Le joueur doit prendre la direction de Turin dans les prochaines heures. groupe casino 💰 Lancez-vous sur groupe casino avec 300 USDT offerts à l'inscription et 100 USDT supplémentaires ! – groupe casino 💰 groupe casino.fr vous récompense dès aujourd’hui : 300 USDT offerts et un pack premier dépôt de 1000 USDT. Simple, rapide, fiable. La Juventus accélère et rafle la mise Comme l’a confirmé le journaliste Fabrizio Romano, la Vieille Dame a trouvé un terrain d’entente avec Lille pour un transfert supérieur à 20 millions d’euros. L’ailier, séduit par le projet italien et par la perspective de travailler sous les ordres d’Igor Tudor, a rapidement donné son accord personnel. L’affaire est désormais bouclée et la signature devrait être officialisée sous peu. Un coup dur pour la direction olympienne Pour l’OM, cette volte-face constitue un véritable revers. Alors que la cellule de recrutement avait ciblé Zhegrova comme profil idéal pour dynamiser les couloirs, la direction doit revoir ses plans. La frustration est d’autant plus grande que Marseille pensait tenir le bon bout, avec un joueur ouvert à l’idée de rejoindre la Méditerranée. Retrouvez le tableau des transferts de l'OM ici

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