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Mercato OM : Marseille intransigeant sur les prix de Rabiot et Rowe

Mercato OM : Marseille intransigeant sur les prix de Rabiot et Rowe L’OM écarte Rabiot et Rowe après une altercation à Rennes La défaite inaugurale de l’Olympique de Marseille sur la pelouse du Stade Rennais (0-1) a laissé des traces bien au-delà du terrain. Au retour aux vestiaires, une vive altercation a éclaté entre Jonathan Rowe et Adrien Rabiot. Ce coup de sang a été suivi d’une réaction immédiate de la direction marseillaise, qui a décidé d’écarter les deux joueurs du groupe professionnel et de les inscrire sur la liste des transferts dès ce début de semaine. casino de pornic – casino de pornic : Un Casino de Confiance Alliant Tradition et Innovation Numérique Pourquoi le casino de pornic attire-t-il autant de joueurs ? Est-il à la Des montants précis exigés pour un départ Dans ce contexte tendu, l’OM a rapidement communiqué sa position. Le club refuse de céder ses joueurs à prix réduit, malgré les circonstances. Selon les informations de notre partenaire Footmercato, le prix fixé pour Jonathan Rowe s’élève à 20 millions d’euros. Recruté pour 16 millions à Norwich il y a un an, l’attaquant anglais a vu sa cote grimper après un Euro Espoirs remarqué, ponctué par un but décisif en finale contre l’Allemagne. Pour Adrien Rabiot, arrivé libre en provenance de la Juventus à l’été 2024, la direction a établi un prix de 15 millions d’euros, bien qu’il ne lui reste qu’une année de contrat. Un départ inéluctable pour Rowe, statu quo possible pour Rabiot Alors que Rowe suscite déjà des intérêts en Série A, notamment à Bologne et à la Roma, un transfert rapide semble probable si un club accepte les conditions marseillaises. En revanche, pour Rabiot, l’affaire est plus délicate. Initialement, l’international français ne faisait pas partie des joueurs sur le départ, son profil étant apprécié en interne. Mais les récents événements ont rebattu les cartes, obligeant le club à ouvrir la porte à un départ, sans pour autant chercher à le précipiter. Un signal fort envoyé par la direction Ce double dossier envoie un message clair : l’OM ne transigera pas, que ce soit sur le plan sportif ou financier. Après un été prometteur sur le marché des transferts, les dirigeants veulent maintenir une ligne de conduite stricte, à la fois pour préserver la cohésion du groupe et défendre la valeur marchande de leurs actifs. Même en situation de crise, aucune porte de sortie ne sera accordée sans contrepartie jugée suffisante. Retrouvez le tableau des transferts de l'OM ici

OM : De Zerbi tend la main à Rabiot !

OM : De Zerbi tend la main à Rabiot ! Quel est votre analyse de cette rencontre qui a été riche en rebondissements ? Support client de Casino Vert ❤️ : un service disponible 24h/24 – Vous arrive-t-il de vous demander qui contacter en cas de problème lors de vos sessions de jeu en ligne ? Avez-vous déjà été confronté à un souci technique Roberto De Zerbi : Je connais très bien mes joueurs, je connais leurs qualités. C'est pour cela que je dis que nous avons joué mal. Mais j'ai une explication, en les connaissant bien. L'explication est que nous avons vécu une semaine très difficile. C'est une équipe faite de personnes, d'hommes, pas de robots. Nous sommes donc entrés avec trop de peur, avec la tête pleine et non libérée. On a fait une très bonne partie contre une des équipes les plus fortes de la Premier League. Cela montre aussi que vos joueurs sont sensibles et émotifs. Est-ce un bon signe selon vous ? R.D.Z. : Cela montre que nous avons des joueurs sensibles, émotifs, qui souffrent de ce genre d’expérience, mais qui ont aussi démontré leur caractère et leur fierté. C’est pourquoi je suis très heureux. Ce que je dis est peut-être confirmé par le fait que les meilleurs sur le terrain ont été Hojbjerg, qui a une expérience tellement haute qu’il ne peut pas être touché par ça. Et les jeunes Nadir et Robinho ont aussi été très bons, tout comme Aubameyang. Êtes-vous satisfait de cet équilibre entre jeunesse et expérience ? R.D.Z : Oui, les jeunes Nadir et Robinio ont fait une grande partie, en plus de Aubameyang, qui est comme Hojbjerg, expérimenté et capable de gérer ses émotions. Je pense que c’est une des raisons pour lesquelles je suis ici. Les meilleurs sur le terrain l’ont confirmé : Hojbjerg, Aubameyang, mais aussi les jeunes. Cela montre qu'on peut construire avec eux. Mais vous pensez quand même que votre équipe a trop souffert ce soir ? R.D.Z. : Oui, je pense qu'on a un peu trop souffert ce soir. Bonsoir coach. Quelle est votre analyse sur la défense ce soir ? Il y a eu beaucoup de difficultés, notamment dans les couvertures, les alignements et les relances. R.D.Z. : Nous avons eu des occasions de but. En première mi-temps, nous avons encaissé un but sur un centre, avec trop de facilité. Une autre action dangereuse est venue à gauche de Rulli, encore une fois avec trop de facilité. Sur le but, nous aurions dû mieux gérer le ballon avec Hojberg et Aubameyang. Le déséquilibre dans l’entrejeu, avec seulement deux milieux, a-t-il contribué aux difficultés défensives ? Faut-il recruter à ce poste ? R.D.Z. : Oui, nous devons compléter l’effectif. Tout le monde le sait : le propriétaire, Pablo, Mehdi, moi. C’est difficile sur le marché, car nous voulions déjà être au complet, mais nous n’y sommes pas arrivés. La blessure de Medina a été un autre coup dur, aussi sur le plan du jeu. Léo Balerdi est droitier, et jouer avec deux droitiers nous pénalise un peu. Amine Gouiri semblait peu à l’aise dans son rôle ce soir. Est-ce une position qu’il peut encore occuper en l'absence de Rabiot? R.D.Z. : Gouiri a déjà joué ce rôle dans le passé et il a la qualité pour le faire. Il nous manque 4 ou 5 joueurs, même au niveau numérique. Concernant Rabiot, je l’ai dit hier, je n’ai pas encore parlé avec Pablo ou Medhi. Je ne parle pas de sa valeur de joueur, mais de la personne. Même s’il a fait une erreur, j’espère qu’il y aura possibilité de réconciliation. Un mot sur la grosse prestation de Pierre-Emerick Aubameyang ce soir ? Qu’attendez-vous de lui cette saison ? R.D.Z. : Aubameyang est un champion. Il est encore en forme physiquement et continue à faire la différence. Vraiment, il fait toujours la différence. Vous avez évoqué Adrien Rabiot. Lui tendez-vous la main ? Est-il possible de l’accueillir à nouveau dans l’effectif ? R.D.Z. : Adrien est un bon garçon. Je confirme ce que j’ai dit hier. Je lui ai donné un conseil, j’espère qu’il le suivra. Je tends la main à tout le monde. Je ne mets jamais la croix sur quelqu’un. Si je peux aider à résoudre ce problème, je suis prêt à tout. Pas pour le joueur, mais pour la personne, pour le bien de tous. On a le sentiment que cette semaine vous a profondément marqué. Vous semblez sur la retenue malgré cette victoire. R.D.Z. : J’ai été très affecté cette semaine. On n’en avait pas besoin. J’ai essayé de me concentrer sur le football, mais je suis comme je suis : transparent, avec mes qualités et mes défauts. Donc oui, vous pouvez facilement lire mes sentiments. Cette victoire peut-elle agir comme un remède après cette semaine difficile ? Ou faudra-t-il encore du temps pour digérer les événements ? R.D.Z. : La victoire est une médecine, oui. Mais elle ne guérit pas tout. Les faits restent. La volonté de réconciliation doit venir de tout le monde. Les mots sont importants, mais ce sont les actes qui comptent. Et je sais ce que je dis quand je parle de réconciliation. Il faut considérer beaucoup de choses d’un point de vue humain. Vous semblez très affecté par la manière dont cette affaire a été médiatisée. Un dernier mot sur cela ? R.D.Z. : Toutes les choses dites sur une prétendue volonté de vendre Rabiot pour des raisons économiques sont fausses. Ce sont des mensonges. Ceux qui écrivent ça sont mal intentionnés, ils veulent nuire à l’OM. Je peux dire que cette semaine, Pablo, Mehdi et moi avons peut-être plus souffert qu’Adrien et sa famille. Mais maintenant, il faut arrêter de chercher des coupables. Parfois, il faut savoir faire un pas en arrière, avec intelligence et humilité. On ne peut pas décider de la vie d’un autre, d’un club, d’une personne. Ce sont les faits, pas les paroles, qui peuvent régler cette situation. Et

OM : Talk Show à 18h, posez vos questions !

OM : Talk Show à 18h, posez vos questions ! Le Talk Show de ce jeudi est en direct à partir de 18h, présenté par Slim Hanayen avec Romain Canuti, Christian Cataldo et Johan (Oh jeune). casino d enghien – casino d enghien : Un Casino Fiable et Innovant, Adapté aux Cryptomonnaies Le casino d enghien mérite-t-il sa réputation de casino de confiance ? Est-il Cliquez sur un des liens pour voir votre émission ! MyPhoceen.fr : Pour les abonnés MyPhoceen, profitez du live sans publicités. Une option idéale pour une expérience sans interruption. LePhoceen.fr : vous pouvez également nous suivre en live sur notre site avec publicités. Webradio : si vous préférez uniquement nous écouter, notre webradio est également à votre disposition. Nous sommes aussi disponibles sur plusieurs plateformes pour que vous puissiez nous suivre où vous le souhaitez. Rendez-vous sur la chaîne Twitch du Phocéen et la chaîne YouTube du Phocéen Voici le programme : Partie 1 : Trop de feu après une première défaite ? Partie 2 : Le milieu de terrain, plus problématique que la défense ? Partie 3 : Mercato : quel plan pour ce sprint final ? Partie 4 : Questions/Réponses Pour poser vos questions, rien de plus simple : rendez-vous sur le forum via le lien ci-dessous. Il existe également la possibilité de poser vos questions en direct sur les chaînes Twitch et Youtube du Phocéen. Vous pouvez d'ailleurs (si ce n'est pas déjà fait) vous y abonner dès maintenant afin d'être notifié du direct sur votre ordinateur ou smartphone. Les dernières minutes de l'émission seront consacrées aux questions Twitch. Vous pouvez également participer à l'émission et poser vos questions :

Mercato OM : Marseille avance sur Paixao malgré son retour au Brésil

Mercato OM : Marseille avance sur Paixao malgré son retour au Brésil Un ailier ciblé malgré la blessure Actuellement éloigné des terrains en raison d’une blessure musculaire, Igor Paixao a quitté les Pays-Bas pour retourner au Brésil, son pays natal. L’ailier gauche de 25 ans, sous contrat avec le Feyenoord Rotterdam, manquera donc les premiers matchs de la saison avec son club. Malgré cet arrêt forcé, l’Olympique de Marseille reste déterminé à avancer sur le dossier, dans l’optique de renforcer un secteur offensif encore en construction sous les ordres de Roberto De Zerbi. casino 2000 – Vous cherchez un casino en ligne de confiance, moderne et compatible avec les paiements en cryptomonnaies ? Vous vous demandez si Casino 2000 est la L’OM en pole, mais Leeds rôde Selon les informations relayées par le compte Feyenoord Transfermarkt, le joueur a été vu à l’aéroport de Schiphol, en partance pour le Brésil, afin de soigner sa blessure et réfléchir à son avenir. L’OM serait à ce jour le seul club à avoir formulé une approche concrète auprès de Feyenoord. Un accord aurait même été trouvé avec le joueur, preuve de l’intérêt prononcé de la direction phocéenne. Toutefois, la formation anglaise de Leeds United s’est récemment immiscée dans le dossier et pourrait venir compliquer la donne. Vers des négociations avec Feyenoord Si un terrain d’entente a été trouvé avec le joueur, tout reste à faire avec le club néerlandais. Les dirigeants marseillais vont devoir discuter avec Feyenoord pour trouver un accord financier satisfaisant. L’intérêt de Leeds pourrait faire monter les enchères, et l’OM devra sans doute agir vite s’il veut conserver l’avantage dans ce dossier. Un transfert rapide permettrait également à Paixao d’intégrer le groupe en pleine préparation, même s’il faudra attendre son retour en forme pour le voir fouler la pelouse. Retrouvez le tableau des transferts de l'OM ici

OM : abonnements Ligue 1+, offres chocs et guerre des diffuseurs

OM : abonnements Ligue 1+, offres chocs et guerre des diffuseurs Une chaîne née d’un choix imposé Privée d’accord avec DAZN et confrontée à l’absence de diffuseur principal, la Ligue de football professionnel a décidé de lancer sa propre plateforme, Ligue 1+. Comme l’a rappelé Nicolas de Tavernost, patron de LFP Media, il s’agissait de la seule option viable pour retransmettre la majorité des rencontres. beIN Sports conserve néanmoins l’affiche du samedi à 17 heures. casino leon 💰 Une inscription, une connexion, deux récompenses : 400 USDT sur casino leon ! – casino leon 💰 📱 Profitez de l’expérience mobile sur casino leon avec 1300 USDT de bonus. 300 offerts à la connexion, 1000 en prime dépôt. Pariez n’importe où, n’importe quand ! Des offres variées pour attirer rapidement La LFP propose une offre de lancement à 9,99 euros par mois pendant trois mois, sous engagement annuel, contre un tarif classique de 14,99 euros. L’abonnement sans engagement est fixé à 19,99 euros. Les moins de 26 ans et les abonnés « mobile » bénéficient d’options spécifiques, mais avec des restrictions d’usage comme l’impossibilité de caster sur téléviseur. Une distribution élargie mais sans Canal+ Disponible dès lundi sur son application et son site, Ligue 1+ sera également proposée via DAZN, Free, Bouygues Telecom, puis Orange, SFR, et prochainement Amazon Prime Video, Molotov ou Samsung TV+. Canal+, acteur majeur du sport en France, reste à l’écart après l’échec des négociations. La LFP maintient toutefois la porte ouverte à un futur accord. Un dispositif éditorial immersif Pour séduire les abonnés, la Ligue et son partenaire Mediawan promettent un accès inédit aux coulisses : images depuis les vestiaires, immersion au cœur des clubs et consultants de renom comme Adil Rami, Guillaume Hoarau ou encore Souleymane Diawara. L’ancien gardien Rémy Vercoutre rejoint également l’équipe. Le premier direct sera diffusé le 15 août à 19 h 15, en amont du match Rennes-OM.

Gérone 0-2 OM : un OM sérieux et inspiré s’impose contre Gérone

Gérone 0-2 OM : un OM sérieux et inspiré s’impose contre Gérone Le Onze de départ Entraineur : roberto de zerbi Rulli (g) Support client de Casino Vert ❤️ : un service disponible 24h/24 – casino tortuga Service client : Une Assistance 24h/24 Professionnelle, Chaleureuse et Réactive pour Tous les Joueurs Le casino tortuga Service client est-il Murillo, Balerdi (c), Medina, Garcia Gomes, Hojbjerg, Rabiot Greenwood, Gouiri, Rowe Greenwood brille, l’OM maîtrise le premier acte face à Gérone Après un nul décevant contre l’Olympic Charleroi (1-1), l’OM montait en gamme ce samedi en affrontant Gérone, 16e de la dernière Liga. Pour ce troisième match amical de l’été, Roberto De Zerbi avait choisi d’aligner un onze très proche de ce qui pourrait être son équipe-type, avec Greenwood, Gouiri et Rowe devant, et un trio Gomes-Højbjerg-Rabiot au milieu. D’entrée, les Marseillais ont pris le contrôle des opérations avec une possession bien gérée et un pressing haut. Gérone, timide et peu inspiré, n’a quasiment pas inquiété Geronimo Rulli, resté spectateur durant ces 45 premières minutes. En défense, Leonardo Balerdi a été solide, auteur de deux interventions décisives sur des centres adverses. Mais c’est surtout Mason Greenwood qui a éclaboussé cette première période de son talent. Intenable sur son aile droite, l’Anglais a mis au supplice son vis-à-vis et a été à l’origine de toutes les occasions marseillaises. À la 30e minute, son corner millimétré trouve Murillo, seul face au but, mais le Panaméen manque l’immanquable. Quelques minutes plus tard (35e), Greenwood déborde une nouvelle fois, élimine deux défenseurs et obtient un penalty après un léger contact dans la surface. Il se charge lui-même de la sanction et prend à contre-pied Gazzaniga, le gardien de Gérone, inscrivant ainsi son cinquième but en trois matchs de préparation. L’OM rentre aux vestiaires avec un avantage mérité (1-0), porté par un Greenwood en feu. Le Onze de la seconde période Entraineur : roberto de zerbi De Lange (g) Lirola, Egan-Riley, Balerdi (c) (Cornelius), Medina (Nadir) Gomes (Kondogbia), Hojbjerg (Vaz), Rabiot (Bakola) Greenwood (Abdallah), Gouiri (Maupay), Harit L’OM déroule en seconde période Malgré plusieurs changements à la pause, l’OM a poursuivi son récital face à Gérone avec le même sérieux et la même intensité qu’en première période. Roberto De Zerbi, fidèle à ses principes, n’a vu aucun relâchement dans le pressing exigé de ses hommes. Les Espagnols ont continué à subir, privés de ballon et constamment acculés dans leur moitié de terrain. Entré en jeu à la mi-temps, le jeune De Lange n’a eu aucun arrêt à effectuer tant la maîtrise olympienne a été totale. Sur le plan offensif, les Marseillais ont maintenu leur niveau d’agressivité. Mason Greenwood, déjà buteur en première période, a poursuivi son festival de dribbles et de provocations. Placé sur le côté gauche en lieu et place de Jonathan Rowe, Amine Harit lui a parfaitement emboîté le pas. Le Marocain a fait parler sa technique pour déséquilibrer la défense de Gérone et provoquer un second penalty, obtenu d’une subtile feinte de corps dans la surface. Cette fois-ci, c’est Amine Gouiri qui s’est chargé de la sentence. L’attaquant algérien a transformé avec autorité l’occasion, signant son premier but de la préparation estivale, après avoir été passeur décisif lors du match contre l’Excelsior Maassluis. La dernière demi-heure a vu De Zerbi procéder à une nouvelle vague de remplacements, avec les entrées de jeunes comme Bakola, Nadir, Robinio Vaz ou encore des éléments plus expérimentés comme Neal Maupay et Derek Cornelius. L’OM, solide collectivement, a su gérer son avantage sans trembler. Seule véritable situation : une belle reprise de Robinio Vaz à la 77e minute sur un centre d’Abdallah, repoussée par le gardien espagnol. Score final : 2-0, net et sans bavure.

OM : maintenant place au jeu !

OM : maintenant place au jeu ! Il y a des défaites qui laissent des traces. Celle de l’OM à Rennes, lors de la première journée de championnat, aurait pu s’inscrire dans la catégorie des accidents de parcours, une rencontre simplement ratée qu’on range dans la colonne des faux départs. Mais Marseille n’est pas un club comme les autres. Là où ailleurs un revers se digère, ici, il devient le détonateur d’une crise. Une crise dont l’OM a le secret. casino magasin Prime – Vous êtes à la recherche d’un casino en ligne généreux en primes et bonus ? Vous vous demandez comment fonctionnent les casino magasin prime et comment en Car ce qui s’est joué dans les couloirs du Roazhon Park dépasse largement le rectangle vert. Adrien Rabiot et Jonathan Rowe, le premier censé incarner une des pièces maîtresses de Roberto De Zerbi cette saison, ont décidé de régler leurs comptes à la manière de Conor McGregor. Une altercation violente, sous les yeux de coéquipiers médusés, qui a immédiatement fissuré l’équilibre fragile du vestiaire olympien. Le choc de la mise à l’écart Dans la foulée, la direction n’a pas tremblé : mise à l’écart immédiate des deux joueurs, en attendant une décision définitive. Elle est tombée mardi, et elle a l’effet d’un coup de tonnerre : Rabiot et Rowe seront placés sur la liste des transferts. Le club a choisi la fermeté. Pour les supporters, la pilule est amère. Rabiot, adopté par le Vélodrome à la vitesse de l’éclair, avait réussi son pari par son engagement et son influence sur le terrain. Élu Phocéen de l’année lors du dernier exercice, il avait laissé entrevoir l’image d’un patron, d’un meneur, d’un joueur taillé pour l’histoire marseillaise. L’histoire, justement, aurait pu être belle, mais elle s’arrête brutalement. Quelles que soient ses qualités, Adrien Rabiot a franchi une ligne rouge. Et à Marseille, personne n’est au-dessus du club. Rowe, de son côté, n’a jamais eu le temps de se créer une telle aura. Mais son départ forcé s’ajoute à un climat pesant et donne l’image d’un projet fragilisé. Ne pas se laisser aspirer par la crise Ce qui frappe, dans cette affaire, c’est sa brutalité. En une semaine, l’OM a vu deux de ses joueurs basculer de l’espoir à la porte de sortie. Et, comme souvent ici, le danger est grand de voir le feuilleton prendre le pas sur l’essentiel : le jeu. Marseille a trop souvent sacrifié ses saisons sur l’autel des polémiques internes, des guerres d’ego et des emballements médiatiques. Aujourd’hui, le club est à un tournant. Soit il continue de se noyer dans les remous d’un vestiaire secoué, soit il transforme cette épreuve en un électrochoc pour repartir de l’avant. Le message de De Zerbi est clair : l’OM doit se recentrer sur le terrain, car c’est là et seulement là que les cicatrices pourront se refermer. Paris FC, première étape du rebond Et ce terrain, il se présente dès samedi face au Paris FC. Une affiche qui, sur le papier, n’a rien d’un sommet, mais qui prend des allures de test mental. L’OM doit laver l’affront rennais et prouver que la crise n’a pas avalé ses ambitions. Il faudra montrer un visage conquérant, retrouver cette intensité qui avait fait la force de l’équipe la saison passée, et surtout offrir au Vélodrome une bouffée d’air frais. Car les supporters, malgré la déception et la colère, n’attendent qu’une chose : vibrer à nouveau. Cette saison reste pleine de promesses. Le mercato va certainement apporter des renforts intéressants, la dynamique de jeu insufflée par De Zerbi n’est pas à enterrer après un seul raté, et l’OM a toujours les moyens de se battre tout en haut. Mais pour y parvenir, il faudra couper court aux parasites, laisser les ego au vestiaire et écrire une histoire collective. L’heure de se rassembler L’épisode Rabiot-Rowe laissera des regrets, mais il doit servir d’avertissement. L’OM ne peut pas se permettre de gaspiller son énergie dans des querelles intestines. Le club doit retrouver son unité, sa ferveur, son obsession commune : gagner. Alors oui, cette semaine a abîmé l’image de l’Olympique. Oui, elle a secoué un projet qui se voulait stable. Mais il n’y a qu’une manière de tourner la page : remettre le ballon au centre et avancer. Car à Marseille, plus qu’ailleurs, seule la victoire guérit tout. Samedi, face au Paris FC, l’OM a l’occasion de balayer la tempête et de rappeler une évidence : dans la cité phocéenne, c’est toujours le jeu qui finit par parler.

OM-Paris FC : le match du rebond ?

OM-Paris FC : le match du rebond ? Une semaine de tumulte, un besoin de football Il fallait bien que le ballon revienne pour remettre un peu d’ordre dans les esprits. Après plusieurs jours dominés par les polémiques et l’inévitable départ d’Adrien Rabiot, l’Olympique de Marseille s’apprête à retrouver son stade Vélodrome ce week-end, pour la réception du Paris FC. Un rendez-vous particulier : premier match officiel de la saison à domicile, mais surtout une occasion rêvée de reléguer les débats extra-sportifs derrière le rideau. Car si Rabiot ne portera bientôt plus le maillot blanc, l’OM, lui, continue sa route, comme il l’a toujours fait. Et pour que le Vélodrome se réembrase, il faudra un rebond. lucky8 casino 💰 lucky8 casino, la plateforme qui vous offre 300 USDT pour vous inscrire et 100 USDT pour vous connecter ! – lucky8 casino 💰 Casino légal en France avec bonus crypto ! lucky8-casino-fr.com vous donne 1300 USDT pour découvrir les jeux du moment. Højbjerg, la voix du vestiaire En conférence de presse, c’est Pierre-Emile Højbjerg qui a incarné ce rappel à l’essentiel. Son discours, précis et ferme, a résonné comme une mise au point : « Mais c’est vrai que les deux prochains matchs qui arrivent sont très importants, pour nous, pour le club, pour tout le monde autour. C’est encore un challenge, mais un challenge qu’il faut affronter en face. À la fin, le football, c’est simple : quand tu gagnes, tout le monde est content, et quand tu perds, il y a des problèmes. Il faut donc rester concentrés sur le bon travail et sur le bon état d’esprit. Les deux prochains matchs sont très importants, comme celui qui viendra après d’ailleurs. À l’OM, il n’y a pas un jour, pas un week-end où tu peux être à 50 %. Ici, c’est toujours 100 %, avec de grands objectifs. Et ça, pour moi, c’est ce qui rend heureux et ce qui fait vivre. » Le milieu danois a remis la vérité au centre du terrain : la seule réponse crédible viendra des résultats. Et le calendrier impose déjà une obligation de points et de jeu. Le casse-tête de De Zerbi Pour Roberto De Zerbi, l’équation est complexe. La préparation avait été calibrée autour de Rabiot, figure centrale du système au milieu. Son absence oblige le technicien italien à revoir sa copie. Interrogé sur le sujet, il n’a pas éludé : « Il va falloir que je change un peu ce qu'on a fait pendant la préparation. Mais ça, ça fait partie de mon travail. Le problème, c'est qu'on a beaucoup travaillé sur quelque chose. Je pense que contre Aston Villa, on a fait un grand match. Contre Rennes, non. Mais on travaille, on travaille tête baissée… » Entre incertitudes et réalités du moment, De Zerbi doit trouver des solutions rapides. Harit n’est pas certain d’être disponible, Kondogbia idem, et derrière eux, les options manquent. Les noms de Bilal Nadir ou Darryl Bakola circulent, mais leur titularisation relèverait de l’hypothèse lointaine. Gouiri en numéro 10, une option crédible ? Dans ce contexte, une piste intrigue : l’évolution d’Amine Gouiri en numéro 10. De Zerbi l’a confirmé lui-même : « Amine Gouiri en 10 ? Oui. Ça peut être une solution. Nous l'avons travaillé, mais pas seulement cette option… » L’ancien Niçois a les qualités techniques et la vision pour occuper ce rôle, même si cela implique de redessiner le reste du schéma offensif. Le coach marseillais réfléchit à garder la continuité de son 4-3-3 travaillé depuis la préparation, mais l’idée d’un léger ajustement pour donner plus de liberté à Gouiri séduit. Le pari pourrait redonner de la créativité dans l’entrejeu, là où l’absence de Rabiot laisse un vide… pour l'instant. Un stade prêt à vibrer Au-delà des choix tactiques, c’est surtout l’atmosphère du Vélodrome qui sera scrutée. Après des semaines de remous, le public attend une équipe conquérante, libérée et concentrée sur l’essentiel : la victoire. Le Paris FC, adversaire encore niveau Ligue 2, ne viendra pas en victime consentante, mais ce match doit être celui de la reprise de contrôle. À l’OM, chaque rendez-vous est une histoire d’énergie, de symboles et de résultats. Ce samedi, c’est moins la qualité de l’adversaire qui comptera que la capacité des Olympiens à se projeter de nouveau vers l’avant. Et si la semaine a été dominée par Rabiot, le terrain offre enfin une vérité plus simple : 90 minutes pour rappeler que l’OM n’appartient pas aux polémiques, mais au jeu.

Rennes 1-0 OM : Ça commence vraiment comme ça ?

Rennes 1-0 OM : Ça commence vraiment comme ça ? Il y a des débuts qui donnent le ton, qui confirment les espoirs ou viennent les balayer d’un revers de main. Et puis, il y a ceux qui nous laissent interdits, incrédules, presque vexés. La défaite de l’Olympique de Marseille à Rennes, vendredi soir, relève de cette troisième catégorie. Parce que tout semblait aligné pour éviter ce scénario. Parce que le contexte, l’adversaire et les conditions du match offraient à Roberto De Zerbi et à ses joueurs un boulevard vers les trois points. Et pourtant, au coup de sifflet final, ce sont les Rennais, réduits à dix pendant une heure, qui célébraient. casino joa 💰 Un seul clic, deux cadeaux : 300 USDT d’inscription + 100 USDT de connexion chez casino joa ! – casino joa 💰 Lancez-vous dans l’univers du jeu numérique avec casino joa. 1300 USDT offerts pour tester les meilleurs jeux IA & live. C’est donc par un revers amer (1-0) que commence cette deuxième saison de De Zerbi sur le banc olympien. Et c’est là tout le paradoxe : l’été avait nourri un enthousiasme rare avec cette stabilité, un recrutement ambitieux, un match amical référence face à Aston Villa… La sensation que le travail accompli depuis un an allait enfin trouver sa pleine expression. Dans un premier temps, le scénario a semblé confirmer cette prévision. Maîtrise du ballon (74 % de possession), un adversaire regroupé dans ses 30 mètres, et surtout, un avantage numérique dès la 31e minute avec l’expulsion d’Abdelhamid Aït-Boudlal. Tout était en place. Mais le football ne se gagne pas à la possession, et l’OM est venu rappeler qu’il conserve cette vieille faiblesse face aux blocs bas. Le ballon circule mais les espaces restent introuvables. Greenwood a bien tenté d’animer le couloir droit, Rabiot a fracassé le poteau juste avant la pause, et Murillo a fait trembler le métal en seconde période. Mais dans l’ensemble, la domination olympienne est restée stérile, comme si l’équipe avait perdu cette capacité à surprendre, à casser le rythme pour ouvrir une brèche. Ou si on avait oublié à quel point cela n'était pas automatique la saison dernière.  Face à ce manque de tranchant, Rennes a fait ce que font et feront toutes les équipes en infériorité numérique mais solidement organisées : fermer les couloirs, densifier l’axe et espérer une opportunité en contre. Mousa Al-Tamari, seul en pointe, a donné quelques frayeurs en première mi-temps. Au final, le but qui crucifie l'OM est l’un des dangers inhérents au jeu de position de De Zerbi : la ligne défensive très avancée, qui laisse le dos exposé si la pression n’est pas parfaitement coordonnée. Et Quentin Merlin a eu beaucoup de temps pour signer sa première passe décisive avec Rennes, après son aventure marseillaise. Offensivement, l’OM a semblé retomber dans ses travers, multipliant les centres stéréotypés et les frappes lointaines sans réelle inspiration. Ce n’est pas un hasard si les deux plus grosses occasions sont venues de situations rapides : une percussion de Greenwood pour Rabiot, et un centre en première intention de Weah pour Murillo. Dès que le tempo ralentissait, Rennes reprenait son souffle et fermait les angles. On attendait des décrochages imprévus, des appels en rupture, des combinaisons rapides dans les petits espaces… mais l’animation offensive est restée trop scolaire, presque prévisible. Alors bien sûr, il ne faut pas tout jeter après 90 minutes. De Zerbi n’a cessé de rappeler que son projet demande du temps, et l’OM a déjà connu des démarrages poussifs par le passé avant de lancer sa saison. Mais il serait hypocrite d’ignorer l’impression laissée : celle d’une équipe qui, malgré ses talents, n’a pas encore trouvé la fluidité nécessaire, l'envie de faire mal, de souffrir les uns pour les autres. Le vrai test, désormais, sera la réaction. Samedi prochain, au Vélodrome, contre le Paris FC, il n’y aura pas d’excuse possible. Le public attendra une réponse claire. Non seulement un succès, mais un succès avec la manière, qui viendrait effacer la frustration rennaise et relancer la dynamique. On ne va pas réécrire l’histoire : la campagne de recrutement reste cohérente et prometteuse. Les profils choisis correspondent aux idées du coach, et l’effectif semble équilibré sur le papier. Mais la réalité du terrain rappelle une vérité simple : la cohésion ne se décrète pas. Elle se construit, parfois dans la douleur, et surtout dans l’adversité. Perdre à Rennes dans ces conditions est un avertissement, pas une condamnation. Cela dit, cet avertissement doit être entendu. Car au-delà du résultat, c’est la manière qui interroge. On espérait voir l’OM du match contre Aston Villa, capable de presser haut, de combiner vite, de déborder avec variations. On a vu un OM hésitant, qui a confondu patience et inertie.

Mercato OM : Benatia en dit plus sur la fin du mercato de l’OM !

Mercato OM : Benatia en dit plus sur la fin du mercato de l’OM ! À dix jours de la clôture du mercato, Medhi Benatia a pris la parole pour détailler la stratégie de l’Olympique de Marseille. Le directeur sportif du club a confirmé que de nouvelles recrues étaient attendues, tout en rappelant que le marché devait aussi s’équilibrer avec des départs. casino sultan app – Vous êtes passionné de jeux de casino et vous souhaitez y jouer facilement depuis votre mobile ? Vous vous demandez comment télécharger et installer L’été olympien a déjà été marqué par de gros mouvements: Igor Paixao (30 M€), Facundo Medina (22 M€ avec bonus), Timothy Weah (18 M€ bonus compris), mais aussi Angel Gomes, CJ Egan Riley et Pierre-Emerick Aubameyang, revenus libres. Un recrutement conséquent qui vise à donner des solutions supplémentaires à Roberto De Zerbi, attendu sur tous les tableaux cette saison. Côté départs, l’OM a également enregistré des ventes importantes : Luis Henrique (23 M€), Quentin Merlin (13 M€), Valentin Rongier (5,5 M€), Pau Lopez (4,8 M€) et Ismaël Koné (12,5 M€). Des choix qui répondent à une logique d’équilibre financier. Mais le mercato phocéen est loin d’être terminé. Benatia a annoncé que « trois à quatre arrivées » pouvaient encore intervenir d’ici la fin août. Les postes ciblés ? Un défenseur gauche, un central et possiblement un joueur offensif, en fonction des départs. Au milieu, une piste est également étudiée pour apporter davantage de profondeur. Le directeur sportif a insisté sur la nécessité de trouver des profils alliant qualité technique et mentalité adaptée au projet. Plusieurs dossiers restent ouverts. Le nom du défenseur Joel Ordóñez circule avec insistance, tout comme celui de l’ailier kosovar Edon Zhegrova, déjà approché par l’OM. Si certains joueurs comme Azzedine Ounahi, Neal Maupay ou Jonathan Rowe venaient à quitter le club, le marché marseillais pourrait encore s’animer dans les derniers jours. Le message est clair : l’OM n’a pas dit son dernier mot dans ce mercato et compte peaufiner un effectif déjà largement remodelé. 

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