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Author : Bala Vignesh Ravi

Mercato OM : Quels enseignements tirer du nouveau loft de l’OM ?

Mercato OM : Quels enseignements tirer du nouveau loft de l’OM ? Dimanche 6 juillet 2025, sans tambour ni trompette, l’Olympique de Marseille a fait passer un message limpide à six de ses joueurs. Ou tout du moins l'a rendu public. La saison n’a pas encore repris que Faris Moumbagna, Bamo Meïté, Ismaël Koné, Simon Ngapandouetnbu, Azzedine Ounahi et Ruben Blanco ont déjà été priés de s’éloigner du groupe professionnel. Ils ne participeront pas à la reprise de l’équipe première dirigée par Roberto De Zerbi, mais s’entraîneront avec la "Pro2", la réserve encadrée par Romain Ferrier. Une décision forte, habilement communiquée à plusieurs relais du club, qui confirme une méthode désormais bien installée à la Commanderie : faire comprendre aux joueurs qu’ils ne font plus partie du projet sportif… sans passer par des mots trop frontaux. casino pornichet 💰 Bonus exceptionnel ! 300 USDT pour chaque nouvel inscrit + 100 USDT à la première connexion sur casino pornichet ! – casino pornichet 💰 Connectez-vous sur casino-pornichet.com et obtenez instantanément 300 USDT de bonus. Inscrivez-vous et recevez jusqu'à 1000 USDT en plus. Une méthode assumée par De Zerbi Cette logique du loft, importée d’autres grands clubs européens, avait été pleinement assumée par De Zerbi dès son arrivée l’été dernier. Le technicien italien, peu adepte des non-dits, avait insisté sur l’importance de la clarté avec ses joueurs. Chancel Mbemba, Jordan Veretout, Samuel Gigot ou encore Ulisses Garcia avaient ainsi connu une mise à l’écart similaire en 2024. Tous n’étaient pas partis. Et certains, comme Garcia, avaient même fini par renverser la hiérarchie. Mais l’intention initiale était bien la même : faire comprendre à chacun que son avenir s’écrivait ailleurs. La nouvelle liste de cet été 2025 suit cette logique. Mais elle la pousse un cran plus loin. Elle ne contient aucun cadre historique du vestiaire ni joueur au poids politique notable. Si la liste regroupe des profils variés, un fil conducteur les relie : à l'exception d'Ounahi, ces joueurs n'ont jamais vraiment eu leur chance à l'OM. Mais alors qu'ils ne pouvaient, au mieux, prétendre à un rôle de doublure, cet OM tourné vers la Ligue des champions n'a plus le temps. Ce loft ne doit rien au hasard. Certains médias, comme Foot Mercato, ont insisté sur les conditions d’entraînement proposées aux "lofteurs", précisant qu’elles respectaient les exigences syndicales de l’UNFP. Une précaution nécessaire, tant le spectre du "harcèlement institutionnel" peut hanter certains dossiers. Mais personne n’est dupe : l’objectif est clair. Le club montre la sortie à ces six joueurs, espérant que le message sera entendu sans bruit ni recours. Pas de Harit… une surprise ? Cette liste appelle aussi des questions. Certains absents interrogent. Pourquoi Amine Harit n’en fait-il pas partie ? Sur le papier, le meneur marocain coche pourtant plusieurs cases : salaire élevé, rendement irrégulier, et statut fragile. Avec seulement le 20e temps de jeu de la saison écoulée, malgré un top 10 salarial, il aurait pu figurer logiquement dans ce premier tri. Mais son maintien peut aussi se comprendre. Roberto De Zerbi envisage de revenir à un système en 4-2-3-1, dans lequel Harit, en début de saison dernière, avait montré des choses intéressantes. Autre enseignement : certains joueurs en fin de contrat dans un an ne sont pas concernés comme Valentin Rongier ou Bilal Nadir. Peut-être une main tendue du club. On leur laisse le bénéfice du doute, en leur rappelant que la concurrence sera féroce au milieu : Pierre-Emile Højbjerg, Adrien Rabiot, Angel Gomes, Geoffrey Kondogbia sont déjà là pour occuper les six postes du milieu, doublures comprises. A eux de prendre les deux derniers tickets. Pol Lirola, quant à lui, en fin de contrat dans un an, bénéficie d’un "statut flottant". Il ne dérange pas. Ce flou illustre une réalité : tous les joueurs présents à la reprise ne sont pas nécessairement appelés à rester. De nouvelles recrues sont attendues rapidement. Il faudra donc d’autres départs, certains décidés par le club, d’autres par les joueurs eux-mêmes. La gestion de ces cas intermédiaires sera cruciale pour ne pas faire dérailler l’équilibre collectif. Le cas Ulisses Garcia la saison dernière en est la preuve. Malgré sa mise à l’écart initiale, le Suisse est revenu dans le groupe, a profité d’un concours de circonstances, et a fini titulaire lors des derniers matchs. Cette trajectoire montre qu’aucune mise à l’écart n’est définitive si le joueur fait preuve de professionnalisme. Mais elle montre aussi la froideur du football de haut niveau. Garcia n’a été "réintégré" que parce que le club n’avait pas réussi à recruter à son poste. Les trajectoires individuelles dépendent souvent d’impondérables, d’opportunités ou de blessures. À l’heure où l’OM prépare sa saison de Ligue des champions, personne n’a de place garantie. Ni les lofteurs, ni les titulaires apparents. 

Le Trophée des Champions 2025 menacé : les raisons d’un possible fiasco

Le Trophée des Champions 2025 menacé : les raisons d’un possible fiasco Un Classico très attendu… mais compromis Le Trophée des Champions 2025 aurait dû offrir un Classico alléchant entre le Paris Saint-Germain, champion de France en titre, et l’Olympique de Marseille, dauphin de Ligue 1. Une affiche rare dans cette compétition, qui ne s’est plus jouée depuis la saison 2020-2021, remportée 2-1 par le PSG à Lens. casino barcelona Retraits – Vous avez gagné sur Casino Barcelona, mais vous ne savez pas comment retirer vos gains ? Le processus de retrait peut-il être aussi simple que le dépôt ? Mais cette rencontre pourrait ne jamais voir le jour. Prévu le 23 décembre, le match a été déprogrammé face au refus des deux clubs de jouer à cette date, en raison notamment d’un calendrier surchargé. Ce report est lié à la première édition de la Coupe du Monde des Clubs, qui occupe désormais une place importante dans le calendrier international. La LFP face à une impasse La Ligue de Football Professionnel n’a pas trouvé de nouvelle date viable et envisage désormais purement et simplement l’annulation du trophée pour cette saison. Une décision qui ferait tache, tant l’affiche PSG – OM suscite d’attentes. Les clubs français ayant déjà exprimé à plusieurs reprises leur mécontentement sur la densité du calendrier, ce cas n’est pas isolé. La LFP réfléchit donc à une refonte complète du format de cette compétition. Vers un nouveau format : le Final Four Pour sortir de l’impasse, la Ligue songerait à introduire dès 2026 un format Final Four, à l’image de ce que propose la Supercoupe d’Espagne. Ce mini-tournoi réunirait les trois premiers de Ligue 1 ainsi que le vainqueur de la Coupe de France. Si ce dernier est aussi champion de France, alors le quatrième du championnat serait intégré. Un changement qui permettrait d’ajouter du spectacle, tout en offrant plus de souplesse pour planifier la compétition sur plusieurs jours, voire à l’étranger. Ce modèle, qui suscite encore débats, pourrait néanmoins séduire sur le plan commercial. Un rendez-vous manqué pour l’OM ? Pour l’OM, cette affiche aurait été un test grandeur nature sous les ordres de Roberto De Zerbi, nouveau coach du club. Avec un effectif remodelé où figurent des recrues comme Mason Greenwood, Adrien Rabiot ou Pierre-Emile Højbjerg, le club phocéen espérait affirmer ses ambitions face au rival parisien. Les supporters marseillais n’ont plus vu leur club disputer ce trophée depuis 2021, tandis que leur dernière victoire remonte à 2011 face à Lille. Une situation symptomatique du football moderne Ce feuilleton illustre les tensions croissantes entre compétitions nationales et internationales. La multiplication des compétitions – Ligue des Champions, Ligue Europa, Coupe du Monde des Clubs – met sous pression les clubs et oblige les instances à réinventer les formats traditionnels. Si le Trophée des Champions 2025 venait à être annulé, il s’agirait d’un précédent marquant, et d’un rendez-vous manqué entre deux géants du football français.

Mercato OM : Noa Lang est-il vraiment relancé par Naples ?

Mercato OM : Noa Lang est-il vraiment relancé par Naples ? Le SSC Napoli a décidé de réactiver une piste offensive bien connue selon le journaliste mercato Ekem Konur : Noa Lang. Déjà approché lors du dernier mercato hivernal sans succès, Lang ferait à nouveau l’objet d’un vif intérêt. Rapide, technique et imprévisible, Noa Lang reste un profil très attractif, même si son fort caractère peut lui jouer des tours et que cela risque de ne pas passer avec Antonio Conte, confirmé sur le banc du champion d'Italie. madnix casino – Vous cherchez un casino en ligne à la fois original, sécurisé et moderne ? Vous vous demandez si Madnix Casino est à la hauteur de sa réputation ? Le site Et l’OM dans tout ça ? À l’Olympique de Marseille, l'arrivée de Noa Lang est toujours une piste parmi d'autres pour remplacer Luis Henrique et concurrencer Jonathan Rowe sur l'aile gauche. Estimé à près de 25 millions d’euros, le dossier Noa Lang représente un investissement conséquent. Naples semble avoir une longueur d’avance grâce à sa capacité à mettre rapidement des moyens sur la table. Mais avec de tels moyens, le club italien semble viser d'autres éléments à ce poste comme Jadon Sancho (Manchester United, en prêt à Chelsea cette saison) ou Jack Grealish (Manchester City), rien que ça ! Il est aussi question de Sudakov, du Shakhtar, pour un transfert évalué à 40 millions d'euros ! Autant dire que Noa Lang est loin d'être prioritaire pour Conte et le Napoli. Reste à savoir s'il l'est pour l'Olympique de Marseille… Retrouvez le tableau des transferts de l'OM ici

Mercato OM : Rennes confirme, Ismaël Koné n'est plus dans leur projet !

Mercato OM : Rennes confirme, Ismaël Koné n'est plus dans leur projet ! Le Stade Rennais entame un été de transition avec l’arrivée de Loïc Désiré au poste de directeur sportif. L’ancien responsable du recrutement de Strasbourg succède à Frederic Massara et affiche une ambition claire : « bâtir un effectif plus restreint et compétitif » dans les colonnes de L'Equipe. Avec environ 40 joueurs sous contrat, dont plusieurs revenants de prêt et des jeunes néo-professionnels, Désiré vise un groupe resserré à 22-24 éléments. Ce qui annonce des départs dans tous les sens. casino belgium Retraits – Le montant minimum pour un retrait est généralement de 20 €, mais cela peut varier selon la méthode choisie. Ismaël Koné, déjà écarté du projet ? Parmi les premiers départs actés figure celui d’Ismaël Koné, milieu international canadien prêté par l’Olympique de Marseille lors de la seconde moitié de saison dernière. Malgré quelques apparitions encourageantes, « il ne fera pas l’objet d’un nouvel intérêt », a précisé Désiré. Une décision qui illustre la volonté du club breton de clarifier rapidement sa hiérarchie au milieu. Ismaël Koné est sous contrat jusqu'en 2029 avec l'OM mais un nouveau départ est à l'ordre du jour, alors que le Canadien avait marqué à son retour au Vélodrome avec l'équipe bretonne lors de la dernière journée de championnat. La légende phocéenne Steve Mandanda a lui vu son contrat arriver à échéance. Il n'est pas impossible qu'il signe à Lorient cet été, promu en Ligue 1. Des départs attendus en attaque Le secteur offensif rennais est également concerné. L’avenir de Carlos Andrés Gomez et Kyogo Furuhashi semble s’écrire loin de la Bretagne, tandis qu’Arnaud Kalimuendo, auteur de 17 buts en Ligue 1 la saison dernière, dispose d’un bon de sortie. « On anticipe son départ », a confié Désiré, évoquant la piste d’un renfort pour occuper un rôle d’ailier. Un projet structuré autour de jeunes à fort potentiel Derrière cette refonte, le coach Habib Beye pourra s’appuyer sur des profils prometteurs. Le retour de Bertug Yildirim, attaquant généreux, ou encore la montée en puissance attendue de Mahamadou Nagida à gauche, témoignent d’une volonté de miser sur la jeunesse. Seko Fofana et Djaoui Cissé, dont les performances attirent les regards, sont également au cœur du projet. Rennes vise un retour en Europe, l’OM reste attentif Si le Stade Rennais n’est pas européen cette saison, l’objectif de retrouver les compétitions continentales est affiché. De quoi potentiellement croiser à nouveau la route de l’OM sur le marché des transferts, dans un climat où Medhi Benatia et Pablo Longoria surveillent de près les mouvements du championnat. Retrouvez le tableau des transferts de l'OM ici

OM : 5 retours, 5 réussites à l'OM !

OM : 5 retours, 5 réussites à l'OM ! Les retours n’ont pas bonne presse. Dans le football moderne, on les regarde souvent avec suspicion. On soupçonne les clubs de manquer d’imagination, les joueurs de céder à la facilité ou au confort affectif. Mais l’histoire récente de l’Olympique de Marseille démontre que ce préjugé ne tient pas toujours. À Marseille, revenir n’est pas forcément synonyme de régression. C’est parfois le point de départ d’un nouveau chapitre encore plus marquant. À l’heure où l’éventualité d’un “Auback”, un retour de Pierre-Emerick Aubameyang, alimente les discussions, un coup d’œil dans le rétro offre une bonne dose de lucidité… et d’optimisme. casino leon Retraits – Vous avez gagné sur Casino Léon, mais vous ne savez pas comment retirer vos gains ? Vous vous demandez si le processus est rapide et sûr ? Ne vous inquiétez Avant de plonger dans ce bilan, précisons le cadre : il s’agit uniquement des joueurs qui ont effectivement porté le maillot marseillais en match officiel, avant d’être transférés puis de revenir à l’OM, généralement plusieurs saisons plus tard. Sont donc exclus les cas de prêts multiples comme Lucas Ocampos, ou ceux de joueurs passé en jeunes au club ayant brillé ailleurs avant de signer pour de bon comme Iliman Ndiaye ou Romain Alessandrini. En respectant ce filtre strict, on retrouve cinq exemples marquants au XXIe siècle. Et tous tendent vers une même conclusion : le retour est gagnant ! Steve Mandanda, le roc retrouvé Dernier come-back en date, celui de Steve Mandanda en 2017 est probablement le plus symbolique. Parti à Crystal Palace un an plus tôt, l’ancien capitaine n’avait jamais vraiment quitté les esprits. Il était parti au sommet, auréolé d’une nouvelle distinction de Phocéen d’Or et d’un quatrième titre de meilleur gardien de Ligue 1. Mais son exil anglais fut bref, presque anecdotique. Lorsqu’il revient pour trois millions d’euros, certains s’interrogent sur son niveau. Il les fera vite taire. De nouveau meilleur gardien de Ligue 1 en 2018, puis sans doute le plus solide au moment de l’arrêt du championnat pour cause de Covid en 2020, Mandanda tient la baraque, parfois à lui seul. Il glane même un nouveau Phocéen d'Or cette année-là. Jusqu’à son départ en 2022, il aura réinscrit son nom dans la légende du club. Dimitri Payet, l’artiste revenu à la maison Six mois avant Mandanda, un autre chouchou du Vélodrome faisait son grand retour : Dimitri Payet. Deux saisons, une explosion sous Bielsa, puis un transfert retentissant à West Ham où il éclabousse la Premier League de son talent. L’Euro 2016, qu’il illumine, le consacre parmi les meilleurs créateurs du continent, avec un crochet et une frappe gravés dans la mémoire du Vélodrome. L’OM casse sa tirelire – plus de 30 millions d’euros – pour le rapatrier. Un choix fort qui s’avèrera payant. En un peu plus de six saisons, il marque, fait marquer, régale. Il devient un repère offensif, un joueur qui porte le projet McCourt à bout de bras, jusqu’à être élu Phocéen d’Or en 2022 avec Jorge Sampaoli sur le banc. Son apport, au-delà des chiffres, aura été émotionnel, artistique, fédérateur. Rod Fanni, le retour du soldat Tous les come-back ne sont pas aussi clinquants. Mais certains sont diablement utiles, à leur manière. C’est le cas de Rod Fanni, revenu en 2016 dans un contexte chaotique. Parti en fin de contrat après cinq saisons, il avait quitté l’OM sur fond de tensions entre son entourage et Vincent Labrune. Après une parenthèse discrète à Charlton et au Qatar, il revient à la demande de Franck Passi, au cœur d’une équipe décimée, en transition. Aligné aux côtés de Rolando, il apporte du calme, de l’expérience, de la rigueur. Pas de coups d’éclat, mais une contribution précieuse. Dans une période trouble, il incarne un pont entre deux ères, celle d’un OM qui survit et celle qui prépare la relance avec l’actionnariat américain. Florian Thauvin, le phénix marseillais Le cas de Florian Thauvin est lui aussi éclairant. Transféré en Premier League au même moment que Payet, il ne trouve jamais ses marques à Newcastle. À peine quelques mois plus tard, il se bat pour revenir à Marseille, là où il sent qu’il peut s’épanouir. Ses débuts à l’OM avaient laissé un goût d’inachevé. Mais cette deuxième chance, il ne va pas la rater. Après une période de transition, Thauvin enchaîne cinq saisons pleines, empile les buts, les passes, les gestes de classe. Il devient Phocéen d’Or en 2017 et 2018, s’impose comme international, remporte la Coupe du monde 2018 dans un rôle secondaire certes, mais depuis Marseille. Il est le symbole d’une réussite par la persévérance, d’un retour parfaitement assumé. Fabien Barthez, l’expérience gagnante Impossible d’évoquer les come-back réussis sans parler de Fabien Barthez. Recruté jeune à Toulouse pour être l'homme de la finale à Munich, il y a connu la descente en D2 avant de partir à Monaco puis à Manchester United, où il deviendra champion du monde et d’Europe. Mais en 2003, écarté par Alex Ferguson, il revient à Marseille en tant que joker médical, en pleine saison. Sa venue crée des tensions dans le vestiaire, notamment avec le titulaire Vedran Runje. Mais dès ses premiers matchs, Barthez met tout le monde d’accord. Il est décisif face aux plus grands : Liverpool, l’Inter Milan, Newcastle… sans lui, pas de finale de Coupe UEFA en 2004. Il restera deux saisons supplémentaires, et à un très bon niveau. Et maintenant… Aubameyang ? Dans ce contexte, la rumeur d’un retour de Pierre-Emerick Aubameyang prend une tout autre tournure. L’idée d’un "auback" pourrait en réalité s’inscrire dans une tradition récurrente et payante du club. Certes, le contexte a changé, l’âge aussi. Mais comme pour Thauvin ou Mandanda, l’idée d’un retour n’est pas dénuée de sens, surtout dans un club aussi sensible à la dimension affective et émotionnelle que l’OM.

Mercato OM : la direction marseillaise inflexible sur le cas Robinio Vaz

Mercato OM : la direction marseillaise inflexible sur le cas Robinio Vaz L’avenir de Robinio Vaz est désormais plus clair. D’après les informations de l’insider Mohamed Toubache-Ter, le jeune attaquant de l’Olympique de Marseille a décidé de poursuivre son développement sur la Canebière, malgré l’intérêt prononcé de plusieurs clubs français. Nancy, Bastia et Troyes avaient tenté leur chance, mais l’OM a, selon la même source, « fermé la porte de manière très ferme » à tout départ. jeux casino app – Vous aimez les jeux de casino en ligne et vous cherchez un moyen simple et sécurisé d’y accéder depuis votre mobile ? Comment télécharger l’application Jeux Arrivé à l’été 2024 en provenance de Sochaux, Vaz a rapidement montré des signes encourageants. Il a disputé deux rencontres de Ligue 1 cette saison, dont une contre Strasbourg où il avait été élu homme du match, et il compte également une apparition en Coupe de France. Sa progression s’est surtout affirmée avec l’équipe réserve, où il a inscrit 6 buts en 10 matchs de National 3, malgré une suspension fin 2024. L’OM, qui valorise de plus en plus ses jeunes, semble déterminé à l’intégrer davantage au groupe professionnel la saison prochaine. Et Robinio Vaz continue d’emmagasiner de la confiance. Ce dimanche, avec l’équipe de France U18, il a pris part à la petite finale de l’UEFA Friendship Cup 2025 face au Japon à Nyon. Entré en jeu à la 62e minute, il a d’abord délivré une passe décisive à son coéquipier marseillais Darryl Bakola, avant de transformer un penalty pour sceller la victoire 3-0 des Bleuets. Cette performance internationale vient confirmer les espoirs placés en lui. En restant à Marseille, Robinio Vaz mise sur la continuité dans un environnement qui lui fait confiance, avec l’ambition de s’imposer à terme en Ligue 1. Retrouvez le tableau des transferts de l'OM ici

Djibril Cissé : "Rabiot te rapporte 6-9 points voire plus par saison"

Djibril Cissé : "Rabiot te rapporte 6-9 points voire plus par saison" Pour Djibril Cissé, qui a fait le tour de l'effectif phocéen pour le média Carré, le joueur qui incarne le plus la réussite marseillaise sur l’exercice écoulé n’est autre qu’Adrien Rabiot. "C’est carrément l’Olympien de la saison", affirme l’ancien buteur, impressionné par la force mentale du milieu de terrain. Arrivé de Paris dans un climat tendu, Rabiot a su s’imposer comme un pilier du collectif. "Il marque, il dépasse sa fonction, il pose un cadre", résume Cissé, admiratif de son attitude sur et en dehors du terrain et qui estime qu'il apporte 6-9 points voire plus par saison. Pour rappel, Adrien Rabiot a été élu Phocéen d'Or 2025. vival casino – Voici un exemple abrégé respectant la structure demandée. Pour atteindre 2000 mots, vous pourrez prolonger chaque paragraphe avec des détails supplémentaires. Greenwood, talent pur mais irrégulier Le regard de Cissé est aussi admiratif que nuancé à propos de Mason Greenwood. L’ancien international souligne un "talent énorme", capable d’éclairs exceptionnels grâce à une qualité technique rare en Ligue 1. Mais l’irrégularité du joueur britannique freine son impact global. "Il est en haut avec Rabiot sur ses bonnes périodes, mais il y a eu des trous trop longs", observe Cissé. Un potentiel indéniable qu’il faudra canaliser pour franchir un cap la saison prochaine. "Djib" le compare tout de même à son plus illustre compatriote dans l'histoire de l'OM : "Techniquement, il n'y a pas beaucoup de joueurs comme lui en Ligue 1, pied droit, pied gauche, insouciance, limite… Je m'en foutiste, mais pas du tout. C'est quelqu'un de très focus, très concentré. C'est juste qu'il a une allure un peu à la Chris Waddle, un peu nonchalante, mais il faut faire attention parce qu'à n'importe quel moment, il peut te casser les reins".  Des leaders discrets et respectés Dans son tour d’horizon, Cissé insiste sur la valeur humaine de certains cadres. Valentin Rongier, longtemps relégué sur le banc, reste selon lui un joueur "performant à chaque apparition", au mental irréprochable. Même éloge pour Leonardo Balerdi, capitaine parfois critiqué, mais décrit comme "un roc" pour son abnégation. Cissé n’oublie pas non plus Pierre-Emile Højbjerg, loué pour sa grinta, son intelligence de jeu et sa capacité à fédérer. "Il parle français, c’est un plus. Il peut être capitaine", ajoute-t-il. Des profils offensifs contrastés Si Cissé salue les qualités de Neal Maupay – "un mec qui aime les efforts et qui a mis des buts importants" –, il met surtout en avant le triplé et le but exceptionnel d’Amine Gouiri contre Brest, qui, selon lui, mérite d’être retenu comme "but de la saison". Il a d'ailleurs été élu pour cela aux trophées UNFP. Le regard est aussi bienveillant envers ceux qui ont déçu, à l’image d’Ismaël Bennacer. "On attendait beaucoup de lui, il faut qu’il prenne ses marques", explique-t-il, confiant sur l’impact que pourra avoir l’ancien Milanais après une vraie préparation estivale si jamais il revient à l'OM. Rulli décisif, un facteur X dans les buts Enfin, Cissé ne manque pas de saluer les prestations de Gerónimo Rulli, titulaire dans les cages. "Il a été décisif dans les moments clés, il a arrêté des pénaltys", insiste-t-il, soulignant l’importance du gardien argentin dans les résultats obtenus par l’OM. Dans une saison marquée par des hauts et des bas, certains gestes clés ont fait la différence, et Rulli en a été souvent l’auteur dans l’ombre.

Internationaux OM : retour parfait pour Cornélius avec le Canada

Internationaux OM : retour parfait pour Cornélius avec le Canada Dans la nuit de mardi à mercredi, le Canada a validé son billet pour les quarts de finale de la Gold Cup en s’imposant logiquement face au Salvador (2-0). Réduits à neuf après les expulsions de Santos Ortiz et Jairo Henriquez dès la première période, les Salvadoriens ont cédé face aux offensives canadiennes menées par Jonathan David, buteur en seconde période après avoir manqué un penalty juste avant la pause. azur casino 2 app – 当然,这是一篇围绕“azur casino 2 app”的完整法语推广文章,包含HTML结构和所有所需内容: Cornélius titulaire, Koné en impact player Derek Cornelius, défenseur central de l'Olympique de Marseille, a connu ses premières minutes dans la compétition. Titulaire dans l’axe, il a passé une soirée plutôt tranquille, profitant de la supériorité numérique pour monter d’un cran et évoluer même en position de piston gauche. Il a été remplacé à la 58e minute, peu après le second but canadien, œuvre de Tajon Buchanan. Juste après ce changement, c’est Ismaël Koné qui a fait son entrée. Le milieu marseillais, encore sous contrat avec le club mais régulièrement évoqué comme partant, a évolué dans un rôle avancé. Très propre dans ses transmissions (95 % de passes réussies), il a toutefois eu peu de situations pour briller, dans une fin de match dominée par la gestion de l'avantage. Une qualification sans trembler pour les Canucks Grâce à cette victoire, le Canada termine en tête du groupe B, devant la Guadeloupe. Il affrontera le Guatemala en quart de finale, vainqueur (3-2) d’une vaillante équipe guadeloupéenne. C’est la quatrième qualification consécutive du Canada pour les quarts de finale de la Gold Cup, une régularité qui témoigne de la progression du football canadien ces dernières années. Un effectif marseillais de plus en plus international Avec Derek Cornelius et Ismaël Koné, l’OM voit deux de ses éléments participer activement à une compétition continentale. Une bonne nouvelle pour le club, qui renforce son exposition à l’échelle internationale. Historiquement, le club phocéen n’a que rarement été représenté dans des compétitions de la CONCACAF, ce qui rend la participation de ses joueurs à cette Gold Cup encore plus notable.  Vers un duel équilibré face au Guatemala Le prochain adversaire du Canada, le Guatemala, a montré de belles choses malgré une défense parfois friable. Pour Cornelius, ce sera une nouvelle opportunité de s’imposer dans l’axe. À noter que depuis le début de la Gold Cup, le Canada n’a encaissé qu’un seul but en trois matches, preuve de sa solidité défensive. Un atout de taille pour espérer aller encore plus loin dans la compétition.

Mercato OM : Newcastle oublie la piste Jonathan Rowe ?

Mercato OM : Newcastle oublie la piste Jonathan Rowe ? Ce vendredi, Newcastle United a officialisé le recrutement d’Anthony Elanga contre un chèque avoisinant les 65 millions d’euros. L’international suédois quitte Nottingham Forest après une saison 2024-2025 remarquée, avec 6 buts et 11 passes décisives en Premier League. Un rendement qui a grandement contribué à la qualification européenne du club de Forest. casino santenay app – Vous souhaitez profiter de vos jeux de casino préférés depuis votre smartphone ou tablette ? Vous vous demandez comment télécharger et installer la casino Un ailier ciblé de longue date Dans son communiqué, le club du Nord de l’Angleterre évoque un contrat jusqu’en 2030 pour l’ancien joueur de Manchester United. Il rejoint un secteur déjà bien fourni avec Anthony Gordon, Harvey Barnes et Jacob Murphy. L’objectif affiché par les Magpies : densifier leur puissance offensive en vue de leur retour en Coupe d’Europe. L'OM désormais tranquille avec Rowe ? Le nom d’Anthony Elanga faisait parler dans ce mercato. Pas pour l'Olympique de Marseille, qui n'avait pas les moyens de s'aligner. Mais de fait, de ce transfert découle peut-être un enseignement pour le mercato marseillais. Alors que Jonathan Rowe avait été annoncé dans le viseur de Newcastle, les Magpies sont désormais pourvus dans ce secteur de jeu. A moins d'un départ, les dirigeants marseillais n'ont plus à craindre a priori un rush du club du Nord-Est de l'Angleterre sur le buteur décisif du dernier Euro espoirs. Retrouvez le tableau des transferts de l'OM ici

OM : Le PSG et l’OM bientôt face à face à Abidjan ?

OM : Le PSG et l’OM bientôt face à face à Abidjan ? La Côte d’Ivoire s’attaque au Trophée des Champions Après avoir obtenu l’organisation du Trophée des Championnes le 14 mars 2026 au stade Félix Houphouët-Boigny, la Côte d’Ivoire ambitionne désormais plus grand. Le pays a déposé une candidature auprès de la LFP pour accueillir le Trophée des Champions masculin, qui pourrait opposer le Paris Saint-Germain à l’Olympique de Marseille en janvier prochain, au Stade Alassane Ouattara d’Ebimpé, tout près d’Abidjan. L’information a été révélée par le journaliste Malick Traoré. ile de casino Prime – Ile de Casino Prime : Quels Bonus Uniques Vous Attendent sur ile-de-casino-fr.com ? Vous vous demandez si l’univers du casino en ligne peut vraiment être Un choc de prestige sur un sol symbolique Organiser un PSG-OM en terre ivoirienne serait un événement de taille. D’une part, le Stade d’Ebimpé, d’une capacité de 60 000 places, dispose d’infrastructures modernes dignes des plus grands rendez-vous. D’autre part, la Côte d’Ivoire a confirmé en 2024 sa capacité à recevoir des événements d’envergure avec la réussite de la CAN. Ce potentiel choc entre les deux plus grands clubs français attirerait les regards bien au-delà des frontières hexagonales. L’OM dans les starting-blocks pour un début d’année costaud Si la candidature venait à être validée, l’OM débuterait son année 2026 avec une affiche à haute intensité. Le groupe dirigé par Roberto De Zerbi s’appuie désormais sur un effectif solide, renforcé par des recrues expérimentées. Une belle opportunité pour les Olympiens de frapper fort dès l’hiver, dans un contexte international où l’image du club peut aussi grandir. Des précédents encourageants et une volonté partagée Ce ne serait pas la première fois que le Trophée des Champions serait joué sur le sol africain : la Tunisie (2010), le Maroc (2011 et 2017) et le Gabon (2013) ont déjà accueilli l’événement. Cette fois, la volonté politique ivoirienne, couplée à l’attrait des supporters locaux pour la Ligue 1, pourrait bien faire pencher la balance. Pour la LFP, c’est aussi l’occasion d’asseoir la visibilité du championnat dans une région stratégique du continent africain. Un partenariat stratégique pour renforcer les liens Ce projet d’accueil du Trophée des Champions s’inscrit aussi dans une dynamique plus large entre l’OM et la Côte d’Ivoire. Depuis novembre 2023, le club phocéen est partenaire de la campagne « Sublime Côte d’Ivoire », portée par le ministère du Tourisme ivoirien. Ce partenariat vise à promouvoir la destination ivoirienne à travers le rayonnement international du club. Il a déjà donné lieu à plusieurs activations fortes : maillot collector, match événementiel au Vélodrome, animations culturelles… Une relation gagnant-gagnant qui renforce la crédibilité d’une organisation commune autour d’un événement de prestige.

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