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Author : Bala Vignesh Ravi

Rongier : "Il faut qu'on y aille, on n'a pas le choix"

Rongier : "Il faut qu'on y aille, on n'a pas le choix" Installé à Rome pour un stage de préparation décisif, Valentin Rongier s’est confié à RMC Sport sur les coulisses de ce “ritiro” marseillais et les ambitions de l’OM dans cette fin de saison. Loin d’une simple mise au vert, le capitaine olympien voit dans cette parenthèse italienne une opportunité rare de renforcer la cohésion du groupe, de casser la routine et de se recentrer sur l’essentiel : la qualification en Ligue des champions. casino at night Retraits – Vous jouez sur casino-at-night.com ou envisagez de vous y inscrire, mais vous vous demandez : comment déposer de l'argent de manière sécurisée ? Quels sont À l’hôtel comme au centre d’entraînement, tout a été pensé pour favoriser la concentration et la récupération. Sans être en vacances, les joueurs bénéficient d’un cadre optimal, entre moments de détente, comme les parties de ping-pong ou les jeux de société le soir, et séances d'entraînement intenses. Sortir de la Commanderie leur permet aussi de se retrouver dans un autre contexte, plus propice aux échanges francs et à la solidarité, selon le milieu de terrain. Ce cadre favorise aussi un regain de concentration. Le changement de système tactique contre Brest, décidé après discussion entre le staff et les cadres, en est un bon exemple. Le passage à une défense à quatre, combiné à des ajustements au milieu, a déstabilisé l’adversaire et redonné un élan offensif à des joueurs comme Greenwood ou Luis Henrique, replacés dans des zones où ils s’expriment le mieux. Une évolution tactique que Rongier accueille positivement, y voyant un levier d’engagement et de vigilance pour tout le groupe. "Il faut qu'on y aille, on n'a pas le choix" Au-delà du terrain, ce stage renforce un esprit de groupe indispensable pour aborder les trois derniers matchs. L’objectif est clair pour l’ancien Nantais : ramener l’OM en Ligue des champions, une mission qu’il juge incontournable compte tenu de l’histoire, des attentes populaires, et de l’identité du club. Pour lui, l’OM mérite d’y figurer chaque saison, même si la concurrence et l’instabilité structurelle compliquent parfois la tâche. "C'est difficile de se qualifier chaque année en Ligue des Champions. Mais avec la qualité qu'on a, avec la ville qui nous soutient, avec les supporters qu'on a, il faut qu'on y aille tous. Parce que quand je dis "tous", ce n'est pas que nous, les joueurs, ni le club. C'est vraiment toute la ville qui vient avec nous. Il faut qu'on y aille, on n'a pas le choix", confie-t-il à RMC Sport.     Le match à Lille est vu comme une forme de finale. Rongier en connaît l’importance : battre le LOSC permettrait de creuser un écart significatif, bien qu’il reste prudent sur toute projection définitive. Il sait que la saison n’a pas toujours été linéaire, mais il insiste sur le potentiel de l’équipe, la qualité des joueurs et la nécessité de construire une continuité sur le moyen terme. Enfin, Rongier évoque l’avenir du projet marseillais. Il plaide pour la stabilité, une base indispensable selon lui pour performer durablement. À ses yeux, l’OM doit capitaliser sur cette saison pour construire une équipe soudée, familière des automatismes, et capable de franchir un cap européen. La victoire à Lille ne signerait pas encore la fin du suspense, mais elle serait un pas majeur vers cette ambition.

OM : un ancien Parisien mis à l’essai

OM : un ancien Parisien mis à l’essai   banzai casino 💰 Jouez en toute liberté sur banzai casino avec 400 USDT offerts dès l’inscription ! – banzai casino 💰 Rejoignez la communauté crypto-casino de banzai casino : 300 USDT offerts + 1000 USDT pour parier sans limite ! La réserve de l’Olympique de Marseille s’est inclinée ce week-end sur la pelouse d’Anderlecht (3-2), dans un match amical qui a toutefois permis de tirer plusieurs enseignements positifs. Face à une solide équipe belge qui évolue en D2, les jeunes Marseillais ont fait preuve d’engagement et ont su se montrer à la hauteur, notamment certains éléments déjà identifiés par Roberto De Zerbi. Parmi eux, Keyliane Abdallah a confirmé les attentes placées en lui. Souvent aperçu à l’entraînement avec les pros, l’attaquant continue d’avancer dans son développement. Autre nom familier, celui de Robinio Vaz. Le jeune ailier, entré en jeu en janvier dernier en Ligue 1 contre Strasbourg, continue d’engranger du temps de jeu. Sa progression est surveillée de près par le staff olympien, tout comme celle de Darryl Bakola. Ce dernier, qui a récemment prolongé jusqu’en 2027 après de longues discussions contractuelles, a de nouveau marqué des points en inscrivant l’un des deux buts olympiens. Et un jeune à l'essai ! À seulement 17 ans, le jeune milieu offensif continue d’emmagasiner de la confiance en marquant face à un adversaire de qualité. Déjà apparu une dizaine de minutes contre Le Havre, le natif de Clichy a également disputé quelques instants du Classique face au PSG au Parc des Princes (3-1). Le second buteur marseillais hier était quant à lui un joueur actuellement à l’essai au club. Et pas n’importe lequel : il s’agit de Mohamed Baradji, ancien défenseur central des U17 du PSG. Auteur d’un but malgré la défaite, le jeune Parisien espère désormais devenir un "Minot" en s’engageant avec l’OM.

Lille 1-1 OM : le but du LOSC aurait-il dû être refusé ?

Lille 1-1 OM : le but du LOSC aurait-il dû être refusé ? Le but inscrit par Lille hier soir, suite à la boulette de Geronimo Rulli, aurait-il dû être invalidé, notamment par la VAR, qui a pour mission de regarder s'il existe une raison de refuser un but marqué ? La question se pose et les images révèlent qu'il semble y avoir un problème. Décryptage. Support client de Casino Vert ❤️ : un service disponible 24h/24 – Vous êtes-vous déjà demandé si vous pouviez vraiment compter sur l’assistance d’un casino en ligne en cas de besoin urgent ? Comment savoir si vos Que dit la loi 16 du football ? La loi 16 est celle concernant le coup de pied de but, plus vulgairement appelé le six mètres. On s'intéresse au règlement de façon précise. Voici ce qui est dit : "Le ballon est botté d'un point quelconque de la surface de but par un des joueurs de l'équipe défendante, le ballon est en jeu dès qu'il est botté et a clairement bougé. Les joueurs de l'équipe adverse doivent se tenir en dehors de la surface de réparation jusqu'à ce que le ballon soit en jeu." Sur les images, le buteur lillois Matias Fernandez-Pardo a très clairement un pied dans la surface de réparation marseillaise au moment où Kondogbia met en jeu le ballon en le donnant à Rulli. Le règlement est clair : le positionnement de Fernandez-Pardo est une infraction à la loi 16 et, dans ce cas, le coup de pied de but aurait dû être retiré. On rappelle aussi que la ligne délimitant la surface de réparation fait partie de ladite surface. Le buteur lillois était donc de façon claire en position illicite. Un cas particulier ? Toutefois, un cas particulier peut-il être cité ? "Si, au moment de l’exécution du coup de pied de but, des adversaires se trouvent encore à l’intérieur de la surface car ils n’ont pas eu le temps d’en sortir, l’arbitre laisse le jeu se poursuivre. (…) La sortie de but peut être jouée sans attendre que les adversaires aient quitté la surface, mais si l’exécutant a décidé de jouer le ballon rapidement malgré la présence d'un adversaire mal placé (ayant cherché à se repositionner), la remise en jeu ne sera pas recommencée s'il intervient dans le jeu." Est-ce le cas ? Sur le ralenti proposé par DAZN, on voit clairement Fernandez-Pardo en position d'attente et non de repli, ce qui conduit à ne pas considérer qu'il entre dans ce cas particulier.     La loi 16 indique que le but aurait dû être refusé Il semble donc que le but aurait dû être invalidé par la VAR hier soir, même si ce n'est que quelques petits centimètres, et même si Geronimo Rulli s'est mis tout seul dans la panade…

Le Havre-OM : des retours importants côté havrais !

Le Havre-OM : des retours importants côté havrais ! À deux jours de la réception de l’Olympique de Marseille au Stade Océane, Didier Digard peut visiblement souffler un peu. Son effectif, amoindri ces dernières semaines, devrait enregistrer plusieurs retours à l’entraînement à un moment crucial de la saison selon les informations de Paris Normandie.  Support client de Casino Vert ❤️ : un service disponible 24h/24 – Vous jouez sur Casino Sultan et vous vous demandez si le casino sultan Service client est à la hauteur de votre exigence ? Que se passe-t-il si un problème La bonne nouvelle côté Havrais vient de Gautier Lloris. Le capitaine havrais, gêné à la cuisse depuis plusieurs jours, a pu participer normalement aux séances collectives cette semaine et devrait être apte à tenir sa place en défense centrale d'après le média Normand. Même constat rassurant pour Josué Casimir (pied), Arthur Desmas (adducteurs), Antoine Joujou (cheville) et Ilyes Housni (cheville), tous déclarés opérationnels par leur entraîneur en conférence de presse. " C’est une bonne semaine, on a récupéré pas mal de monde ", a glissé Digard, visiblement soulagé. En revanche, deux absences importantes sont déjà actées. Ahmed Hassan, sorti avant la mi-temps à Auxerre en raison d’une lésion à l’ischio-jambier, ne sera pas dans le groupe samedi soir. L’international égyptien pourrait toutefois revenir pour la dernière journée à Strasbourg. Autre forfait confirmé : Aloïs Confais, victime d’un coup au mollet cette semaine. Le milieu défensif, précieux dans l’équilibre de l’équipe, ne sera pas rétabli à temps. Le Havre s'inspire du "ritiro" Marseillais  Pour maximiser la concentration et la cohésion de groupe avant cette affiche de prestige, les joueurs du HAC ont demandé à être mis au vert dès vendredi, dans la région havraise. Une décision validée par la direction, malgré les contraintes économiques du club selon Clément Lesage. Un signe de l’implication totale du vestiaire pour ce rendez-vous face à l’OM.

OM : Luiz Felipe Ramos, à partir de quel prix seriez-vous prêt à le céder ?

OM : Luiz Felipe Ramos, à partir de quel prix seriez-vous prêt à le céder ? Pour cette fin de saison, Le Phocéen décide d'innover avec ses grils de fin de saison, la fusion d'une revue d'effectif et du bilan de l'exercice écoulé. Cette fois-ci, place à une estimation de ce que chaque joueur pourrait coûter sur le marché des transferts. À l'instar de la rubrique « le coach c'est nous », l'idée n'est pas de faire de l'ombre aux plus grands économistes du foot, aux directeurs sportifs ou encore à Transfermarkt. Mais comme ces évaluations reposent parfois sur des critères très subjectifs, pour ne pas dire aléatoires, pourquoi ne pas partir sur les mêmes bases (âge, années de contrat restantes, pourcentage de temps de jeu, statistiques individuelles) afin de laisser parler la véritable sensibilité du supporter ? Ainsi, certains joueurs sont volontairement surévalués pour mieux éloigner toute tentation de transfert. Cela risque de ne pas suffire, mais c'est de toute façon la vie d'un supporter, qui n'est pas non plus sur le terrain pour marquer des buts ou en arrêter. Vous pouvez donc retrouver l'avis de Maxence Volpe, Michel Aliaga et Byllel Ben Khélifa. Et bien évidemment, donnez le vôtre dans la consultation ci-dessous. À voir si la suite du mercato vous donnera raison. Support client de Casino Vert ❤️ : un service disponible 24h/24 – Quand vous jouez sur un casino en ligne, que faites-vous en cas de problème soudain ? Une transaction bloquée ? Une question sur un bonus ? Ou un compte Luiz Felipe Ramos, 29 ans, est estimé à 3 millions d'euros dans le plateau du Talk Show pour ce mercato. Et vous, à partir de quel montant accepteriez-vous l’idée de son départ ?  

Mercato OM : "Murillo vaut 40 millions d’euros"

Mercato OM : "Murillo vaut 40 millions d’euros" Amir Murillo a réalisé une saison complète à l’OM, devenant un titulaire indiscutable, très apprécié par son entraîneur Roberto De Zerbi. Il attire les convoitises de plusieurs clubs européens, notamment en Angleterre, où des offres concrètes sont sur la table. International panaméen (81 sélections, 9 buts), il fait la fierté de tous les fans de football de son pays. Support client de Casino Vert ❤️ : un service disponible 24h/24 – Vous vous demandez comment réagir si vous rencontrez un souci lors de votre expérience de jeu en ligne ? Qui contacter en cas de bonus non crédité ou de "Il souhaite rester à l’OM" José Miguel Dominguez, journaliste panaméen, a évoqué l’intérêt de clubs anglais pour le latéral droit, louant toutes ses qualités lors de l’émission El Marcador TV. Il a rappelé que certaines offres conséquentes avaient été transmises au joueur, heureux à Marseille : "Le souhait du joueur, à l’heure actuelle, est de rester à l’OM car le club va jouer la Ligue des champions. Cependant, l’intérêt et l’offre formelle proposée par Aston Villa, qui va disputer la Ligue Europa, ont failli le convaincre de venir. Newcastle pourrait faire une offre dans les jours à venir, et le club joue la Ligue des champions, ce qui pourrait le convaincre." Murillo a de nombreuses qualités Au-delà des rumeurs de transfert, José Miguel Dominguez a énuméré toutes les qualités du joueur, dont il semble être un fervent admirateur, mais aussi un grand supporter. Polyvalent, Murillo était arrivé à l’OM pour seulement 2,5 millions d’euros en provenance d’Anderlecht, dans un rôle initial de doublure de Jonathan Clauss. Finalement, il est devenu un élément important de l’effectif et l’un des joueurs les plus fiables du vestiaire olympien : "En tant que Panaméens, nous sous-estimons parfois ses compétences. Mais il est polyvalent, capable de jouer défenseur droit, central, ailier droit. Il repique dans l’axe, joue sur l’aile, marque des buts, centre. Il est bon en un contre un, de la tête, sur les coups francs", a rappelé Dominguez. "Le joueur le plus coté de la CONCACAF" Des qualités qui valent cher aux yeux du journaliste panaméen, qui n’hésite pas à avancer une estimation particulièrement élevée de la valeur marchande du défenseur de 29 ans : "Dites-le comme vous voulez, mais Murillo vaut 40 millions d’euros aujourd’hui. Il est le joueur le plus coté de la CONCACAF (Confédération de football d'Amérique du Nord, d'Amérique centrale et des Caraïbes, ndlr) sur le marché. Et nous sommes fiers d’avoir le meilleur joueur de la CONCACAF qui évolue en Europe, à l’OM. C’est un footballeur complet, avec une cote sur le marché des transferts anglais, le plus cher au monde." De leur côté, nos consultants ont été moins généreux et l'ont estimé à 26 millions d'euros (grille à retrouver en vidéo). Auteur d’un but et de trois passes décisives en 32 matchs toutes compétitions confondues cette saison sous la tunique ciel et blanc, Amir Murillo est sous contrat avec l’OM jusqu’en 2028. Si une vente n’est pas forcément à l’ordre du jour, il pourrait tout de même partir en cas de belle offre.   Retrouvez le tableau des transferts de l'OM ici

OM : Gouiri sauve l'honneur aux trophées UNFP…

OM : Gouiri sauve l'honneur aux trophées UNFP… Chaque printemps, les Trophées UNFP suscitent leur lot de commentaires, entre surprises et absences remarquées. Cette année, pour les supporters de l’OM, c’est un sentiment de frustration : l’Olympique de Marseille a été purement et simplement ignoré lors de l’édition 2025, avec aucun joueur dans l’équipe-type de la saison. Ce n’était pas une nouveauté, Roberto De Zerbi n’ayant même pas été retenu parmi les cinq entraîneurs présélectionnés, ce qui avait déjà fait grand bruit la semaine dernière. Support client de Casino Vert ❤️ : un service disponible 24h/24 – Lorsque vous jouez sur une plateforme de casino en ligne, à qui pouvez-vous faire confiance en cas de problème ? Que se passe-t-il si vous avez un retrait Cette situation ne s’était plus produite depuis la saison 2020-2021. À l’époque, l’OM, secoué par les départs et les tensions internes, avait terminé à une pénible cinquième place après une saison morcelée, commencée par André Villas-Boas, traversée par l’intérim de Nasser Larguet, avant de se stabiliser avec Jorge Sampaoli. Depuis, chaque édition avait vu au moins un Olympien figurer dans cette honorifique équipe-type : William Saliba et Dimitri Payet en 2022, Chancel Mbemba et Valentin Rongier en 2023, puis Pierre-Emerick Aubameyang en 2024. Cette année, c’est un onze dans lequel neuf joueurs du Paris Saint-Germain ont été retenus. Seuls Lucas Chevalier (Lille) et Rayan Cherki (Lyon) viennent troubler l’hégémonie parisienne. Ce chiffre bat même le précédent record établi en 2016, lorsque huit Parisiens figuraient dans le onze. Ce tropisme parisien, s’il peut s’expliquer par les résultats du club de la capitale – champion, invaincu jusqu’à peu, qualifié pour la finale de la Ligue des champions –, n’en demeure pas moins problématique. Car une équipe-type n’est pas censée être le simple reflet du classement final. Elle devrait illustrer la diversité des performances individuelles marquantes, la constance, l’influence sur les résultats, le caractère. Et sur ce plan, certains Marseillais pouvaient légitimement espérer une reconnaissance. Le gardien du LOSC Lucas Chevalier a incontestablement réalisé une saison pleine, disputant la Ligue des champions et s’imposant dans les cages d’une équipe nordiste ambitieuse. À 23 ans, il est devenu une valeur sûre du championnat, jusqu’à être convoqué par Didier Deschamps en équipe de France. Ce choix n’est pas illogique, mais il reflète aussi un manque de considération envers Rulli, qui fait partie des joueurs-clés d’un OM deuxième du championnat, avec cinq points de plus que Lille à une journée de la fin. Dans ce désert de distinctions marseillaises, une seule éclaircie est venue adoucir la soirée : le prix du plus beau but de la saison, remporté par Amine Gouiri. Son retourné acrobatique face à Brest, lors du large succès olympien (4-1), a séduit le public, seul juge dans cette catégorie. Une reconnaissance précieuse, d’autant plus symbolique qu’elle vient d’un vote populaire. Et elle inscrit Gouiri dans une lignée prestigieuse : Cheikh Bamba Dieng (2022), Mamadou Niang (2010), Mathieu Valbuena (2008), Franck Ribéry (2006), Laurent Battles (2005), Didier Drogba (2004)… tous avaient déjà remporté ce titre en tant que joueurs de l’OM.

OM : "Roberto De Zerbi, c’est un entraîneur à part"

OM : "Roberto De Zerbi, c’est un entraîneur à part" Arrivé lors du mercato d’hiver, Amine Gouiri est rapidement devenu l’homme fort de l’attaque marseillaise. Auteur de 10 buts et 3 passes décisives en 13 matchs avec l’OM, il incarne enfin le numéro 9 tant attendu par le club et ses supporters. Sous les ordres de Roberto De Zerbi, l’international algérien (14 sélections) disputera la Ligue des champions la saison prochaine avec le club phocéen, avec la ferme intention de confirmer son excellent rendement. azur casino 2 💰 azur casino 2 vous remercie avec 400 USDT dès votre arrivée sur la plateforme ! – azur casino 2 💰 Avec azur casino 2, jouez comme les pros : 300 USDT offerts à la connexion et 1000 USDT de plus avec le premier dépôt. Une philosophie de jeu particulière L’ancien Rennais a été mis à l’honneur ce jour par le magazine Onze Mondial. L’occasion pour lui de revenir sur sa brillante deuxième partie de saison à l’OM, son lien avec la sélection algérienne, mais aussi sur sa relation avec Roberto De Zerbi. Le courant passe bien entre le technicien italien et l’attaquant des Fennecs, qui confie apprendre énormément à ses côtés : "Avec De Zerbi, c’est une philosophie de jeu que je n’avais encore jamais vue. Pour le rôle d’attaquant, tout est vraiment précis avec lui. Tous les joueurs ont un rôle différent selon ce qu’il demande. En tout cas, j’apprends beaucoup." "Un entraîneur exigeant" Au-delà de sa philosophie de jeu bien à lui, Roberto De Zerbi impressionne Amine Gouiri par son niveau d’exigence, bien supérieur à ce qu’il avait connu auparavant. "J’ai connu des coachs exigeants, mais lui, c’est vraiment un cran au-dessus." L’international algérien souligne la rigueur extrême de son entraîneur, y compris lorsque les résultats sont positifs. "Même si tu gagnes cinq matchs d’affilée, si à l’entraînement quelque chose ne va pas, il arrête tout, corrige tout et peut te sortir de l’équipe." Pour Gouiri, De Zerbi est un technicien méticuleux, qui ne tolère aucun laisser-aller et dont les exigences se reflètent dans chaque détail, notamment sur le plan tactique.

Longoria explique ce qui l’a vraiment rendu furieux à Auxerre

Longoria explique ce qui l’a vraiment rendu furieux à Auxerre À l'heure du bilan, on aura sans doute oublié votre réaction après le match à Auxerre. Nous, on ne vous a pas revu depuis. Qu’est-ce que vous pouvez nous dire à ce sujet ? À la fois sur la forme – puisque vous sembliez particulièrement énervé ce jour-là – et sur le fond, car vous avez employé des mots assez forts. Qu’est-ce que vous pouvez nous dire aujourd’hui, alors que presque trois mois se sont écoulés depuis ce moment-là ? Support client de Casino Vert ❤️ : un service disponible 24h/24 – Vous êtes joueur sur Partouche Casino et vous vous demandez : en cas de problème, qui pourra m’aider rapidement ? Le partouche casino Service client est-il à Pablo Longoria : "C’est un retour à un moment difficile sur le plan personnel. Y revenir, avec un peu de recul et de calme, m’amène à dire que je regrette profondément la forme, comme je l’ai toujours dit. Si je me place en spectateur extérieur et que je vois le président de mon club réagir de cette manière, la première chose que je me dirais, c’est : « Je suis surpris. » Vous me connaissez, j’aurais probablement rigolé. C’est comme ça. Donc, je vais vous raconter ça en détail, puisque nous avons le temps. Je ne cherche pas à esquiver les différentes situations. On peut dire que, sous l’effet de l’adrénaline et de la tension de cette saison, on se persuade, à un moment donné, qu’on est dans son bon droit. Jusqu’à ce que, personnellement, je me voie avoir ce type de réaction… et que je me sente complètement ridicule. Surtout parce que je considère qu’un président de club doit avoir un comportement exemplaire, qu’il se doit de représenter son institution avec dignité. Car en tant que président, on est le premier représentant du club. Et ce jour-là, je n’ai pas représenté l’institution comme il le faudrait dans un club comme le nôtre, et dont j’ai l’honneur d’être président. Pourquoi en arrive-t-on là ? Parce que nous avons vu, depuis le début de la saison, un certain nombre de situations… disons-le franchement : très étranges, quant à certains comportements vis-à-vis du club. Ce sont des choses qui s’accumulent intérieurement, jusqu’à ce que cela provoque une explosion. Je n’en ai jamais parlé, mais je tiens à le dire aujourd’hui : ma réaction n’était pas dirigée contre le monde de l’arbitrage. Même si cela a pu être interprété ainsi pendant des mois. Je ne me suis pas exprimé sur le sujet plus tôt, car j’ai estimé que ce n’était pas le moment d’attiser les tensions. Mon rôle de président, à ce moment-là, c’était d’apaiser la situation, pas de l’envenimer. Donc non, ce n’était pas une réaction contre l’arbitrage. C’était une réaction plus générale, qui a mené à une explosion, alors que cela aurait pu – et dû – être canalisé autrement. Si je devais vous dire ce qui m’a le plus harassé pendant ces semaines – et je l’ai d’ailleurs dit sur une radio espagnole – c’est le fameux épisode de l’opérateur VAR. Sincèrement. Quand on fait du football, qu’on fournit autant d’efforts – Medhi Benatia a beaucoup donné, les entraîneurs aussi, tout au long de la saison… Je ne vais même pas vous raconter l’été qu’on a vécu. Des nuits sans sommeil, des efforts énormes, et ça a continué durant la saison. Dans ces moments-là, tu fais beaucoup d’efforts, mais dans le monde du sport, il y a naturellement beaucoup de choses qui ne dépendent pas de toi. C’est frustrant, mais c’est la réalité. Et quand tu ne peux plus avoir 100 % confiance dans ce que tu vois ou ce qui est censé garantir l’équité, ça devient un problème. Même s’il y a 0,0001 % de zones d’ombre, c’est un problème dans le sport. Dans le football. Et je vais vous dire une chose : au moment où un doute peut exister sur un opérateur VAR, dans un championnat sérieux, cette personne aurait été immédiatement écartée. Je ne remets pas en cause les compétences des uns ou des autres, chacun a le droit de travailler et de mener sa vie privée comme il l’entend. Mais lorsqu’un doute pèse sur l’impartialité envers un club, un championnat normal aurait pris les devants, aurait évité toute polémique. Et quand je vois, avant un match, à la télévision, qu’on change l’angle de la caméra pour ne pas montrer qui était l’opérateur dans la salle du VAR, pour moi, c’est un immense – je répète, un immense – manque de respect. Un manque de respect pour notre travail quotidien, un manque de respect envers notre club. Et ça, pour moi, même encore aujourd’hui, ce n’est pas acceptable." Un peu comme ce que disait Nicolas après votre sortie à Auxerre. Pour résumer, il y a eu un coup de sang de Medhi à Lyon, et on a senti que l’OM en avait un peu pâti par la suite, avec des décisions arbitrales qui semblaient plutôt défavorables. Après votre propre coup de sang, curieusement, les choses ont changé. Cette saison, on a parfois eu l’impression que, même si vos colères étaient souvent justifiées, vous mettiez un peu le feu vous-même. Est-ce que, l’an prochain – avec la Ligue des Champions en plus, et trois personnalités fortes comme Roberto, Pablo et Medhi – vous envisagez de calmer un peu le jeu ? Peut-être parce que vous sentez que vous en avez payé les conséquences cette saison. Pablo Longoria : "Dire qu’on en paie les conséquences, ça revient à admettre qu’un mauvais comportement entraîne des sanctions implicites. C’est un peu fort, non ? Honnêtement, on agit toujours avec émotion pour défendre les intérêts du club, dans des situations qu’on estime injustes. Mais oui, je le reconnais : il y a des limites à ne pas dépasser. Et moi, je les ai franchies. J’en ai payé le prix, et je suis le premier à faire mon autocritique. Je suis quelqu’un

OM : Balerdi évoque sa relation forte avec Roberto De Zerbi

OM : Balerdi évoque sa relation forte avec Roberto De Zerbi On dit qu’il y a le verre à moitié vide et le verre à moitié plein. Est-ce que ce soir, vous êtes quand même satisfait de ramener quelque chose de Lille ?Leonardo Balerdi : On est venus chercher une victoire. On ne l’a pas obtenue, c’est dur. Mais on doit rester positifs parce qu’on est toujours deuxièmes. Donc ça, c’est une chose positive. geant casino 💰 S’inscrire n’a jamais été aussi rentable : 400 USDT à gagner sur geant casino ! – geant casino 💰 Bonus VIP pour tous sur geant-casino-fr.com : 300 USDT gratuits et 1000 USDT de crédit offert. Rejoignez le casino crypto tendance. Tu as eu des mots, je suppose, avec Gerónimo Rulli, qui vous a sauvés tant de fois mais qui, ce soir, a fauté ?L.B : Oui, tu l’as dit ! "Gero" sait qu’on est tous avec lui. Je pen se que c’est un des gardiens qui touchent le plus de ballons, donc ça peut arriver. C’est dur, ces moments-là, mais c’est comme ça. Le foot, c’est comme ça. Il faut penser à l’ensemble, à l’œuvre, et il doit rester concentré là-dessus. On sera à ses côtés. Pourquoi l’OM va mieux, Léo ? L’OM joue mieux depuis quelques semaines ?L.B : Je pense que tous les joueurs donnent 100 %, et ça se voit quand chacun est à fond. Aujourd’hui, on a fait l’un de nos meilleurs matchs de la saison, en termes d’attitude, de jeu. Après, oui, il y a une erreur, il faut l’accepter. Les bénéfices de votre séjour à Rome ? Plus de cohésion dans l’équipe ?L.B : Oui, c’était ça l’objectif : renforcer la cohésion entre nous, faire des choses ensemble. Je pense qu’on se rapproche un peu plus, et c’est important. Mais on a aussi beaucoup travaillé. C’était le but, et ça se voit dans les efforts, dans tout ce qu’on fait. Vous êtes toujours seuls deuxièmes, mais derrière, ça reste très serré. Ça va se jouer jusqu’au dernier match, peut-être. Comment tu vois les choses ? Vous êtes en bonne posture puisque vous avez votre destin en main ?L.B : Oui, c’est très clair : on doit gagner les deux derniers matchs, et ça ne dépend que de nous. Et est-ce que tu as déjà joué avec un joueur aussi complet qu’Adrien Rabiot ?L.B : Il est magnifique. Il a une très bonne mentalité dans le vestiaire, il est gentil avec tout le monde. Tu sais que s’il doit marquer, faire une passe décisive, prendre un joueur, faire un effort en plus, il va le faire. Donc moi, je suis trop content qu’il soit venu. Léo, la relation avec le coach Roberto De Zerbi dans le vestiaire : comment ça se passe en cette fin de saison décisive ? Est-ce que c’est toujours aussi fort entre vous ?L.B : Magnifique, mieux que jamais !

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