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Author : Bala Vignesh Ravi

OM : Pol Lirola inscrit un but incroyable à l'entrainement !

OM : Pol Lirola inscrit un but incroyable à l'entrainement ! S’il reste en retrait dans la hiérarchie de Roberto De Zerbi, Pol Lirola a fait parler sa technique à l’entraînement. Peu utilisé cette saison en Ligue 1, à l’exception de quelques rencontre et d’une double confrontation exceptionnelle face à Lyon, le latéral espagnol n’entre plus trop dans les plans de l’OM. Pourtant, ce mercredi, lors d’un jeu réduit entre coéquipiers, il a rappelé à tous qu’il n’avait pas tout perdu de sa qualité. Support client de Casino Vert ❤️ : un service disponible 24h/24 – Vous êtes à la recherche d’un casino à proximité avec un service client irréprochable ? Le casino near me Service client est-il vraiment disponible à toute Sur une action venue d’ailleurs, Lirola a d’abord lobé Jonathan Rowe avant d’enchaîner avec une demi-volée puissante, qui a terminé sa course sous la barre, laissant le gardien sans réaction. Un bijou de but filmé à la Commanderie, salué par les supporters marseillais. Malgré cette éclaircie, l’avenir du joueur reste très flou. Sous contrat jusqu’en 2026, il n'était pas sur la feuille de match lors des deux dernières rencontres de l’OM, face à Brest et Lille. Une mise à l’écart qui semble confirmer sa probable mise sur le marché cet été, même si aucun club ne s’est officiellement positionné pour le moment. À 27 ans, Pol Lirola pourrait bien vivre ses dernières semaines sous le maillot marseillais.    

OM : De Zerbi à l'Inter Milan, simple rumeur ou vraie menace ?

OM : De Zerbi à l'Inter Milan, simple rumeur ou vraie menace ? À Marseille, la fin de saison 2024-2025 s’est déroulée dans une certaine sérénité sportive, grâce notamment à une qualification en Ligue des Champions. Pourtant, en coulisses, l’avenir de Roberto De Zerbi génère des rumeurs persistantes venues d’Italie alors son avenir a pourtant été clarifié en haut lieu. C'est que la Serie A vit une intersaison particulièrement agitée, le nom du coach italien revient désormais du côté de l'Inter Milan, laissant planer le doute. Forcément vu le challenge. casino in belgie 💰 Vous inscrire sur casino in belgie vous rapporte : 300 USDT + 100 USDT rien que pour vous connecter ! – casino in belgie 💰 Machines à sous crypto, roulette, blackjack : tout est prêt sur casino-in-belgie.com avec 300 USDT gratuits et 1000 USDT de bienvenue. La situation en Italie est effectivement inhabituelle. Une véritable valse des entraîneurs a démarré sitôt le championnat terminé, bouleversant les équilibres des grands clubs italiens. Antonio Conte, annoncé avec certitude à la Juventus après avoir triomphé avec Naples, a finalement prolongé son séjour chez le champion d’Italie en titre. Ce revirement inattendu a déclenché un véritable jeu de chaises musicales. La Juventus, privée de Conte, a ciblé Gian Piero Gasperini, mais ce dernier semble désormais tout proche de rejoindre la Roma. Pendant ce temps, d’anciens entraîneurs de la Juventus retournent dans des clubs familiers : Maurizio Sarri à la Lazio et Massimiliano Allegri au Milan AC. De son côté, Raffaele Palladino est en passe de quitter la Fiorentina pour prendre les rênes de l’Atalanta. Dans ce contexte d’instabilité généralisée, l’Inter Milan espérait maintenir une certaine continuité avec Simone Inzaghi, mais ce dernier est tenté par une offre astronomique d’Al-Hilal en Arabie Saoudite. Le technicien nerazzurro doit prendre une décision capitale pour son avenir ce mardi, ce qui plonge l’Inter dans une situation compliquée, la plupart des entraîneurs de renom étant déjà engagés ailleurs. Face à cette urgence, le club milanais explore des pistes alternatives prestigieuses. Deux noms se détachent : Cesc Fabregas, entraîneur du club de Côme, apprécié pour son approche novatrice du jeu et sa volonté de construire une équipe à son image, et Roberto De Zerbi, qui a atteint ses objectifs pour sa première saison à l'OM avec cette deuxième place en Ligue 1. La piste menant à De Zerbi est crédibilisée par une clause libératoire fixée à 6 millions d'euros, selon Sky Sport Italia. Cette somme ne serait pas un obstacle majeur pour un club du calibre de l'Inter Milan. Toutefois, côté marseillais, la tendance est clairement à l'apaisement. Un récent communiqué publié par l'OM souligne un engagement total du propriétaire Frank McCourt, du président Pablo Longoria, du directeur du football Medhi Benatia et surtout de Roberto De Zerbi. Une réunion aux États-Unis, organisée récemment, a permis aux dirigeants phocéens de se réunir autour d’une table pour poser les bases du prochain exercice. Cette rencontre a non seulement validé l’objectif atteint cette saison, à savoir la qualification en Ligue des Champions, mais aussi réaffirmé une vision stratégique claire pour l'avenir. Roberto De Zerbi, accompagné de son conseiller Giovanni Rossi, a d’ailleurs participé activement à ces échanges. Ses exigences pour renforcer l’équipe sont connues, tout comme sa volonté de poursuivre le projet marseillais. Le discours officiel est donc celui d’une stabilité totale autour du technicien italien. Mais peut-on réellement ignorer l’attrait que pourrait exercer une équipe comme l’Inter Milan ? Le défi proposé par un club finaliste de la Ligue des champions, doté d'une armature solide avec des joueurs tels que Nicolo Barella, Lautaro Martinez ou encore Alessandro Bastoni, est forcément tentant. Le potentiel financier intériste reste supérieur à celui de l’OM, permettant probablement un mercato à la hauteur des ambitions de De Zerbi. On pourrait se rassurer en se disant que RDZ a joué à l'AC Milan, qu'il reste attaché aux couleurs rouges et noires, quand on est coach et qu'on aspire à soulever les plus grands trophées, on est capable parfois de sacrés compromis. Sergio Conceiçao, passé par l'Inter, a signé au Milan AC, Laurent Blanc a entraîné le PSG, Jorge Jesus est passé de Benfica au Sporting… avant de repasser par Benfica… Pour De Zerbi, le timing parait ne pas être idéal. Marseille, qui a récemment franchi un palier significatif en assurant une qualification en Ligue des Champions, offre une stabilité rare pour De Zerbi mais également tout son staff, ce qui n'est pas à négliger. La nomination récente d’Igli Tare en tant que directeur sportif du Milan AC illustre parfaitement ces rumeurs qui partent dans tous les sens. Alors que De Zerbi était annoncé en pôle chez les Rossoneri il y a quelques semaines, la direction milanaise a choisi un directeur sportif surprise, et il n'en est absolument plus question. Comme quoi… De Zerbi, connu pour ses idées offensives et son souci du détail, a trouvé à Marseille un environnement où ses principes tactiques commencent à porter leurs fruits. Malgré quelques périodes délicates cette saison, son OM a fini par se stabiliser dans les hautes sphères du championnat français. Les dirigeants marseillais lui témoignent une confiance absolue, ce qui est loin d'être négligeable dans un métier où la pression est constante. Toutefois, dans le football, rien n’est jamais complètement figé. Si l’heure est plutôt à l’optimisme prudent du côté des supporters phocéens il faudra surveiller la situation d'Inzaghi à l'Inter. Méfi, même si on s'en serait bien passé ! Retrouvez le tableau des transferts de l'OM ici

Foot : Zinédine Zidane a refusé une offre exceptionnelle

Foot : Zinédine Zidane a refusé une offre exceptionnelle Zinédine Zidane a refusé une offre exceptionnelle Zinédine Zidane a récemment repoussé une offre mirobolante en provenance d'Arabie saoudite, selon L'Équipe. L'ancien entraîneur du Real Madrid, en retrait depuis 2021, a poliment décliné un contrat d’un an proposé par Al-Hilal, d’une valeur supérieure à 100 millions d’euros. Le club saoudien, en quête d'un successeur à Jorge Jesus, voyait en Zidane un choix prestigieux pour asseoir ses ambitions, notamment à l’approche de la Coupe du monde des clubs cet été. Cette offre exceptionnelle avait été pensée pour s’aligner avec les aspirations de Zidane, lui laissant la possibilité de rejoindre ensuite l'équipe de France, son rêve avoué. Lors d’un événement organisé par Adidas, ZZ avait d’ailleurs réaffirmé son désir de prendre un jour les rênes des Bleus, renforçant les spéculations autour de sa future nomination après le départ annoncé de Didier Deschamps post-Mondial 2026. Malgré la somme colossale proposée, Zidane a préféré rester fidèle à ses priorités professionnelles, remerciant les dirigeants saoudiens avec courtoisie, mais réaffirmant son projet de carrière centré sur des objectifs plus personnels. De leur côté, les dirigeants d’Al-Hilal se sont désormais tournés vers Simone Inzaghi, finaliste de la Ligue des champions avec l’Inter Milan, pour boucler leur recrutement. À 52 ans, Zidane confirme ainsi sa volonté de revenir aux affaires dans des conditions choisies, sans céder aux sirènes du football saoudien, pourtant de plus en plus influent financièrement. casino partouche – Vous cherchez un casino en ligne fiable qui accepte les cryptomonnaies ? Vous vous demandez si Casino Partouche est digne de confiance pour vos sessions de   La Provence dresse un tableau désabusé de l’ambiance à Marseille après la victoire éclatante du PSG contre l’Inter Milan en finale de Ligue des champions (5-0). La cité phocéenne, pleine d'espoir au coup d’envoi, a rapidement sombré dans la désillusion. Dès les premières minutes, l’évolution du score a douché les espoirs marseillais, ancrant une profonde amertume chez les supporters, visiblement abattus. Sur le Vieux-Port, les terrasses étaient bondées, autant par des passionnés de football que par des touristes insouciants, preuve que toute la ville n'était pas suspendue à cet événement. Beaucoup de Marseillais, arborant maillots de l'OM et de l’Inter Milan, avaient pourtant cru en un exploit italien. Mais la démonstration parisienne n’a laissé aucune place au suspense. Dès le 2-0, le ton était donné, et la résignation a gagné les supporters locaux. Certains, comme Charlotte, jeune supportrice de 16 ans, affichaient leur dégoût, regrettant que Paris égale l’OM en remportant enfin une Ligue des champions. D’autres, comme Toufik, allaient jusqu’à évoquer leur détresse avec des mots crus, avant de rappeler que Marseille restera "à jamais le premier ». Malgré la lourdeur du score, peu ont quitté les terrasses avant la fin, espérant un miracle qui n’est jamais venu. La soirée s’est donc terminée dans une morosité généralisée, entre ironie amère et fatalisme, laissant à la ville entière une profonde gueule de bois au lendemain d’un événement qu’elle redoutait depuis longtemps.

OM : Papin et la réserve, mission terminée ?

OM : Papin et la réserve, mission terminée ? L’histoire entre Jean-Pierre Papin et la réserve de l’Olympique de Marseille touche à sa fin, selon RMC Sport. Arrivé à la tête de l’équipe Pro 2 pour accompagner la progression des jeunes talents, l’ancien attaquant emblématique de l’OM vit ses derniers jours sur le banc. Sa mission ne sera pas prolongée et il quittera ses fonctions après le dernier match de la saison, prévu ce week-end. casino 770 – Vous recherchez un casino en ligne fiable, moderne et adapté aux joueurs d’aujourd’hui ? Vous vous demandez si Casino 770 est la plateforme idéale pour jouer Le club et son président, Pablo Longoria, envisagent toutefois de maintenir un lien avec l’ancien Ballon d’or, très apprécié des supporters. Des discussions sont en cours pour lui proposer un rôle plus symbolique ou ponctuel, fidèle à la volonté du club de mettre en valeur ses anciennes gloires. Renforcer les ponts entre les pros et la réserve Ce départ s’inscrit également dans une volonté de renforcer la cohérence entre la réserve et l’équipe première. Cette saison, des désaccords sont apparus sur l’utilisation des jeunes joueurs et leur intégration progressive au plus haut niveau. Le successeur de Papin est déjà ciblé, avec des discussions avancées. Le bilan de Papin reste globalement positif : il avait évité une relégation la saison passée et a vécu un exercice plus serein cette année. La réserve continuera de jouer ses matchs à domicile à Trets la saison prochaine.    

OM : Amine Gouiri et Jonathan Rowe nommés pour un nouveau trophée en Ligue 1 !

OM : Amine Gouiri et Jonathan Rowe nommés pour un nouveau trophée en Ligue 1 ! La saison de Ligue 1 2024-2025 s’est achevée il y a un peu plus d’une semaine. Côté classement, de nouveaux tickets européens ont été attribués à certaines écuries, tandis que relégués et maintenus ont vu leur sort scellé dans les derniers instants, avec plus ou moins de réussite. Côté trophées, c’est Ousmane Dembélé qui a été sacré meilleur joueur de la saison, remportant également celui de meilleur buteur, juste devant le joueur de l’Olympique de Marseille, Mason Greenwood. D’autres distinctions ont été décernées lors de la cérémonie des Trophées UNFP en ce mois de mai. banque casino – Vous êtes passionné par les jeux d'argent en ligne et cherchez une plateforme fiable, moderne et tournée vers l'avenir ? Vous vous demandez si Banque Casino À présent, la Ligue a publié une nouvelle annonce sur X concernant un ultime trophée : celui du but de la saison. Une belle opportunité pour certains joueurs de se distinguer, notamment ceux qui n’avaient pas été retenus pour les précédentes distinctions. Huit joueurs sont en lice, dont deux attaquants marseillais en pleine progression : Jonathan Rowe et Amine Gouiri. Voici la liste complète des nommés : Jonathan Rowe, Zuriko Davitashvili, João Neves, Georges Mikautadze, Khvicha Kvaratskhelia, Désiré Doué, Amine Gouiri et Anass Zaroury.Vous pouvez dès à présent voter pour l’un des deux Marseillais encore en lice ci-dessous. Gouiri et Rowe attendus au rendez-vous Si Amine Gouiri a déjà reçu le trophée Just Fontaine, qui récompense le plus beau but de la saison, l’international algérien est également nommé pour une autre distinction : celle du but de la saison, avec son incroyable réalisation face à Brest. Ce jour-là, lors de la victoire écrasante de l’OM (4-1) le 27 avril dernier, l’attaquant a inscrit un retourné acrobatique somptueux, après un contrôle parfait de la poitrine. Une action qui a fait chavirer le stade Vélodrome et marqué les esprits. Par ailleurs, Gouiri avait signé un triplé ce soir-là. Une performance XXL qui confirme que les dirigeants marseillais ont eu raison de le recruter lors du mercato hivernal. De son côté, Jonathan Rowe a bénéficié de beaucoup moins de temps de jeu. Roberto De Zerbi, l'entraîneur olympien, l’avait sous la main, mais l’a utilisé avec parcimonie. Mis à part en deuxième partie de saison, l’ailier anglais a peiné à s’imposer durablement dans le onze marseillais, notamment en raison d’une forte concurrence à son poste. Malgré cela, il a le mérite d’être nommé pour le même trophée que son coéquipier. Pour rappel, Rowe s’est illustré avec un but décisif face à Lyon lors du match aller, conclu par une victoire de l’OM (3-2) dans les derniers instants. Parti de la gauche, il avait repiqué dans l’axe, éliminé deux défenseurs ainsi que le gardien adverse, avant de conclure avec sang-froid. Un geste de grande classe, qui lui vaut aujourd’hui cette reconnaissance bien méritée.

Greenwood : "De Zerbi, un des meilleurs entraîneurs au monde"

Greenwood : "De Zerbi, un des meilleurs entraîneurs au monde" Qu’est-ce que tu as le plus appris de Roberto De Zerbi cette saison ? jeu casino Retraits – Le montant minimum pour un retrait sur Jeu Casino est généralement de 20 €. Mason Greenwood : "Il est très exigeant, et c’est très important. Pour moi, c’est l’un des meilleurs entraîneurs au monde, et c’est d’ailleurs l’une des raisons pour lesquelles je suis venu ici. Il sait créer une vraie relation avec ses joueurs pour les mettre dans les meilleures conditions. Il y a un style de jeu basé sur la possession, où il faut être patient, mais parfois aussi accélérer le rythme. C’est vrai qu’on a affronté beaucoup d’équipes qui jouent à cinq derrière, donc on a dû apprendre à gérer ces situations. Tout ça m’a vraiment aidé à mieux utiliser mes qualités sur le terrain." Quand on fait le bilan de la saison, tu l’as dit, tu es content de ta première année à l’OM. Sur quels aspects penses-tu pouvoir encore progresser ici, à Marseille ? Mason Greenwood : "Je pense que je dois être plus constant. C’est difficile de très bien jouer à chaque match, mais l’objectif, c’est de maintenir un bon niveau de performance régulièrement et d’enchaîner les matchs solides sur toute une saison."

OM : De Zerbi snobe Al-Hilal, l’OM avant tout !

OM : De Zerbi snobe Al-Hilal, l’OM avant tout ! Dans sa quête d’un nouvel entraîneur pour remplacer Jorge Jesus, Al-Hilal explore plusieurs pistes européennes prestigieuses. Parmi elles, Roberto De Zerbi, actuellement sur le banc de l’Olympique de Marseille, figurait sur la short-list des dirigeants saoudiens. Selon L’Équipe, cette option a rapidement été écartée par l’intéressé lui-même. Support client de Casino Vert ❤️ : un service disponible 24h/24 – Chez Casino Vert, le joueur n’est jamais seul. Un problème technique ? Une question sur un bonus ? Une vérification de compte à effectuer ? Qu’il soit deux Roberto De Zerbi n'a que l'OM en tête  Approché ces dernières semaines, De Zerbi n’a pas donné suite. Ni les conditions salariales extrêmement avantageuses, ni le prestige grandissant du club de Riyad n’ont suffi à éveiller l’intérêt du technicien italien. Engagé à l’OM depuis l'été dernier, l’ancien coach de Brighton reste fermement tourné vers son projet marseillais. Cette décision confirme une nouvelle fois l’attachement de De Zerbi à sa mission sur la Canebière, où il entend bâtir une équipe compétitive à long terme, malgré les turbulences cette saison. Le technicien ne souhaite pas céder aux sirènes du Moyen-Orient, préférant poursuivre son travail en Ligue 1 et en Europe, avec l’ambition de faire progresser son groupe. Al-Hilal se tourne vers Marco Silva  Du côté d’Al-Hilal, Marco Silva, actuellement à Fulham, apparaît désormais comme le favori pour prendre les rênes du club saoudien. Le nom de Simone Inzaghi a également circulé, mais là encore, les conditions de départ semblent complexes. En refusant une offre aussi séduisante sur le plan financier, Roberto De Zerbi envoie un message fort : il est à Marseille pour construire, pas pour transiter.

OM : Luis Henrique, l’éternel paradoxe brésilien

OM : Luis Henrique, l’éternel paradoxe brésilien L’embrasement de l’automne Quand la saison 2024-2025 débute, personne ne sait vraiment à quoi s’attendre avec Luis Henrique. Mais Roberto De Zerbi, nouvel homme fort du banc marseillais, lui offre une vraie chance dans un 4-2-3-1 résolument offensif. Positionné axe gauche derrière l’attaquant, l’ailier montre un visage transfiguré : prises d’initiative, percussions, frappes osées, appels tranchants… il devient soudain ce joueur que l’on croyait avoir perdu au fond du banc ou dans ses doutes. casino 2000 Retraits – Le montant minimum de retrait est généralement de 20€, mais cela peut varier selon la méthode de paiement choisie. Contre Brest, il signe un doublé somptueux, dribbles chaloupés et célébration rageuse à la clé. Face à Lens, il fait tourner en bourrique la défense nordiste. Il y a cette période, en octobre-novembre, où tout semble cliquer. Même repositionné piston droit – un choix audacieux de De Zerbi – il reste percutant, voire décisif. Contre Lyon, il délivre le Vélodrome d’une frappe enroulée dans le petit filet à la 85e. Ce soir-là, on se dit : "Ça y est. Il est enfin là". Son compteur affiche alors 6 buts et 5 passes décisives en championnat. Mais surtout, il rayonne. Il ose. Il sourit. Le grand silence de l’hiver Puis, sans crier gare, le rideau tombe. La lumière vacille. Et Luis Henrique disparaît. Ce n’est pas une blessure. Pas un choix tactique. Juste… une absence. Sur le terrain, il est là, mais comme un fantôme. Il touche moins de ballons. N’ose plus dribbler. Joue à la sécurité, en retrait. Son couloir devient une impasse. À Nice, à Monaco, à Reims, il traverse les matchs sans les marquer. Même son regard change. On ne voit plus la joie. Plus cette insouciance brésilienne qui, même dans l’adversité, respire le foot. Il y a cette action contre le PSG, en février : il reçoit le ballon seul à droite, peut provoquer, peut centrer… mais stoppe net, revient en arrière, et perd la balle. Les supporters olympiens n'ont pas de haine. Juste de la frustration. De l’incompréhension. Comment un joueur capable de tant peut-il s’éteindre aussi brutalement ? Pourquoi ce repli, cette autocensure ? La question brûle les lèvres. Même De Zerbi, en conférence, reste évasif : "Luis est un joueur sensible. Il doit croire plus en lui."     Une affaire de tête, plus que de pied La vérité, c’est peut-être là. Dans la tête. Parce que techniquement, Luis Henrique n’a jamais été en défaut. Il a du ballon, c’est indéniable. Ce qu’il lui manque, c’est ce feu intérieur, cette audace permanente que réclame le football de haut niveau. Ce courage d’échouer, pour mieux réussir ensuite. Son entourage parle d’un garçon discret, introverti, pas toujours à l’aise avec la pression. La comparaison avec ses coéquipiers plus démonstratifs – Gouiri, Greenwood – est cruelle. Lui n’a pas ce charisme naturel. Et dans une ville comme Marseille, où le public sent tout, où l’on joue avec le cœur avant les pieds, ça pèse. Les doutes reviennent. Et Luis Henrique, au lieu de réagir, se referme. Et maintenant ? Il ne reste plus qu’un détail, mais c’est un détail qui pèse lourd : l’accord de l’OM. Pour le reste, c’est bouclé. Luis Henrique a dit oui à l’Inter Milan. Le gamin timide de João Pessoa s’apprête à traverser les Alpes, direction San Siro, où l’attend un nouveau chapitre, une nouvelle promesse. À Marseille, ce départ laisse un goût amer. Parce qu’on l’a vu briller. Parce qu’on sentait que quelque chose pouvait enfin se construire. Mais la patience a ses limites, et le football n’attend pas. L’OM, de son côté, réfléchit encore. Faut-il accepter l’offre ? Faut-il retenir un joueur qui, lui, a déjà l’esprit ailleurs ? Difficile à dire. Ce transfert, s’il se concrétise, résonne comme une drôle de fin. Pas vraiment un échec, pas vraiment une réussite. Juste une histoire inachevée. Un potentiel entrevu, jamais totalement confirmé. Un joueur qu’on a voulu aimer, qu’on a parfois défendu contre vents et marées, et qui s’en va sans qu’on ait pu vraiment trancher : crack ou mirage ? Luis Henrique, c’était ce joueur qui pouvait enflammer le Vélodrome d’un crochet ou d’un centre millimétré. Celui qui nous a donné autant de frissons que de frustrations. Et s’il s’en va, ce ne sera pas avec de la rancune, mais avec ce pincement typiquement marseillais, celui qu’on garde pour les histoires qu’on aurait voulu plus belles. Bonne route, minot. Et fais-nous mentir.

OM : Jocelyn Angloma raconte les coulisses de la finale 1993

OM : Jocelyn Angloma raconte les coulisses de la finale 1993 À quelques jours de la finale de la Ligue des Champions entre le PSG et l’Inter Milan, les souvenirs des anciens resurgissent. Invité de l’émission Rothen s’enflamme sur RMC, Jocelyn Angloma, membre de l’historique équipe de l’OM victorieuse en 1993, a livré quelques anecdotes savoureuses sur la préparation de ce match légendaire face à l’AC Milan. casino enghien app – Vous souhaitez jouer au casino depuis votre mobile et profiter d’une offre exceptionnelle ? Comment télécharger l’application Casino Enghien ? Est-ce facile à Loin du sérieux militaire que l’on pourrait attendre d’une équipe sur le point de jouer le match de sa vie, Angloma se souvient d’une ambiance presque trop relâchée : "On était une bande de voyous ! La veille, on rigolait, on aurait dit qu’on allait jouer un match amical." Une décontraction totale, pourtant contrebalancée par l’expérience acquise deux ans plus tôt, lors de la finale perdue face à l’Étoile Rouge de Belgrade. "On avait ce vécu. Le jour J, on savait se concentrer sur l’essentiel", a-t-il assuré. Pour illustrer cette légèreté étonnante, Pascal Olmeta a raconté que Fabien Barthez dormait dans le bus menant les joueurs au stade olympique de Munich. Une preuve, selon lui, que l’OM abordait cette finale avec une confiance sereine. Autre invité de l’émission, Ludovic Giuly, vainqueur avec le Barça en 2006, a rappelé l’importance du mental dans ce genre de rendez-vous. "Si tu maîtrises tes émotions, tu es prêt." Selon lui, le PSG a les cartes en main pour enfin soulever la coupe aux grandes oreilles. Mais l’histoire rappelle que le relâchement apparent peut parfois cacher une redoutable détermination.

Lille 1-1 OM : comment apprendre à apprécier un match nul

Lille 1-1 OM : comment apprendre à apprécier un match nul En allant chercher un point à Lille (1-1), l'OM a obtenu d'abord un résultat comptable. Mais ce match nul a une saveur étrange, paradoxale. Difficile de s’en satisfaire pleinement tant la victoire semblait promise aux Marseillais à un quart d’heure de la fin. Et pourtant, vingt-quatre heures plus tôt, une grande partie des supporters aurait volontiers signé pour ce même partage des points sur la pelouse du LOSC. Bitcoin Dice – A Strategic and Transparent Way to Gamble with Crypto – Not just another crypto game — Bitcoin dice reshaped online betting by offering simplicity, fairness, and transparency all on the blockchain. While other Alignés en 4-3-3, les hommes de Roberto De Zerbi ont imposé leur style, contenants les velléités lilloises. En première période, peu d’occasions mais beaucoup de rigueur. La défense olympienne, bien en place, a éteint la paire Jonathan David-Chuba Akpom, pendant que le duo Rabiot-Greenwood tentait d’animer la transition. La seule alerte est venue d’une projection de Murillo, bien lancé dans la surface par Greenwood. Dès les premières minutes du second acte, les Olympiens trouvaient plus d’espaces et affichaient une maîtrise collective de plus en plus affirmée. Le but de Gouiri venait récompenser cette montée en puissance. À ce moment-là, tout semblait sous contrôle. Lille n’avait pas tiré au but, n’avait jamais trouvé la faille, et l’OM, sans dominer outrageusement, tenait solidement son avantage. Jusqu’à cette 74e minute et une relance mal assurée. Sur une remise anodine aux six mètres, Rulli tergiverse, Fernandez-Pardo presse, David remise, et Lille égalise. Le seul vrai tir cadré du LOSC, sur une action que les Dogues n’ont même pas construite. Le coup est rude. Ce but encaissé, symptomatique des errements marseillais cette saison, n’a pourtant pas tout gâché. L’OM ne s’est pas effondré, ne s’est pas mis à dégager dans la panique, ne s’est pas recroquevillé. Mieux : ce sont les Phocéens qui ont eu la maîtrise des dernières minutes, campant dans la moitié de terrain adverse, cherchant un second but avec l’énergie du désespoir mais sans précipitation excessive. Et c’est peut-être cela qu’il faut retenir. Ce point pris dans un match où l’équipe n’a pas souffert. Ce nul que Marseille, d’ordinaire si friable dans ce type de rendez-vous, aurait souvent transformé en défaite dans le passé. L’exemple de 2018 face à Lyon reste dans toutes les mémoires : une rencontre maîtrisée, perdue sur un détail. Là, l’histoire s’est écrite autrement. Le paradoxe est là : ce match nul frustre car il aurait dû être une victoire, mais il rassure car il témoigne d’une évolution dans le mental, dans la gestion. Roberto De Zerbi, partisan d’un jeu exigeant et audacieux, voit son équipe progresser, apprendre. Sur le plan comptable, ce nul permet à l’OM de repasser devant Monaco, et de rester en embuscade pour la deuxième place. Rien n’est joué, mais le plus dur est peut-être derrière, en tout cas sur le papier. Dans une Ligue 1 où six équipes se tiennent en quelques points, les Marseillais ont tenu bon. Et c’est aussi pour cela que ce point pris dans le Nord vaut peut-être plus qu’il n’y paraît.

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