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OM – Retard à l'allumage !

OM – Retard à l'allumage !

On ne va pas se mentir : ce début de saison n’a rien d’idéal. L’OM donne l’impression d’avoir du mal à enclencher la première, comme un moteur qui tarde à chauffer. Avec seulement 3 points sur 9 possibles, l’équipe se retrouve déjà sous le feu des critiques. Mais au-delà du résultat brut, il faut regarder la situation dans son ensemble. Le mercato n’est pas encore terminé, plusieurs recrues sont attendues, et deux joueurs censés être importants, Medina et Paixão, manquent déjà à l’appel. Ce que l’on voit aujourd’hui n’est pas le visage définitif de l’OM version 2025-2026. Il y a de quoi s’agacer, évidemment, mais il y a aussi de quoi relativiser. La saison ne se joue pas en trois journées, elle se construit sur la durée.

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Une équipe en chantier permanent

Le constat est clair : l’OM joue sans ses armes complètes. À Lyon, ce n’était pas un problème d’envie, ni même de courage. L’équipe a tenu longtemps à dix contre onze avant de céder en toute fin de match sur un but contre son camp cruel de Balerdi. Mais le vrai problème est ailleurs. En défense, Facundo Medina, recruté pour solidifier l’axe, n’a pas encore pu s’exprimer, entre suspension et blessure. Sur les côtés, les ajustements sont encore en cours. Et devant, Igor Paixão, annoncé comme une des armes offensives majeures de l’été, est lui aussi à l’arrêt. Autrement dit, le onze que l’on voit depuis deux semaines n’est qu’une version provisoire, bricolée, loin de l’idée que Roberto De Zerbi veut imposer sur la durée.

Ce n’est pas pour excuser les résultats, mais pour rappeler un fait simple : on ne construit pas une saison en août. L’OM doit encore intégrer ses recrues, trouver des repères collectifs, installer des automatismes. Tant que ce travail n’est pas accompli, il y aura des ratés. Lyon en a profité, Rennes aussi, et Marseille se retrouve à regarder le classement avec un sentiment d’inachevé. Mais cette impression est logique : l’équipe est encore en chantier.

Entre colère et lucidité

Les supporters ont évidemment le droit de rager. Commencer la saison par deux défaites en trois matches, ce n’est pas ce qu’on attend d’un club qui affiche l’ambition de jouer le haut de tableau. On aurait voulu voir un OM plus tranchant, plus abouti, capable de transformer l’enthousiasme de la préparation en points concrets. Mais il faut aussi garder la tête froide. Le championnat est une montagne russe, pas un sprint sur une ligne droite. Chaque saison connaît ses turbulences, ses creux, ses passages compliqués. Le problème, c’est que cette fois, ils arrivent dès le début, ce qui donne l’impression d’un retard à l’allumage.

L’histoire récente montre surtout que l’OM n’avance jamais en ligne droite. Il y a toujours des secousses, des périodes de flottement, avant de retrouver un élan. Ce club vit dans l’intensité, parfois même dans l’excès, et c’est aussi ce qui en fait sa force : savoir transformer la turbulence en énergie. Alors oui, on peut regretter les points déjà perdus, mais on peut aussi se dire qu’ils ne pèsent pas lourd quand il reste encore 31 matches à jouer.

Des raisons d’y croire

Pourquoi garder confiance ? Parce que le mercato n’est pas terminé. Dans les prochains jours, plusieurs recrues sont attendues, et elles doivent changer la donne. Emerson Palmieri dans le couloir, Arthur Vermeeren pour dynamiser le milieu, Nayef Aguerd pour renforcer l’axe défensif… autant de noms qui, ajoutés aux forces déjà en place, donneront un tout autre visage à cette équipe. Quand tout le monde sera opérationnel, l’OM devrait avoir fière allure.

Il y a bien sûr la patte de Roberto De Zerbi. L’entraîneur italien ne panique pas, il sait que les débuts peuvent être brouillons et mise sur la progression dans le temps. Mais son approche divise. Certains apprécient cette volonté de construire patiemment, d’autres en ont déjà assez d’un jeu jugé trop stérile, sans panache, loin de l’esprit "Droit au but". Entre patience et impatience, De Zerbi marche sur un fil : il doit transformer son discours en résultats visibles, et vite.

Rien n’est encore écrit

Oui, il y a un retard à l’allumage. Mais ce n’est pas une panne moteur définitive. L’OM a connu un début de saison frustrant, avec un mercato encore incomplet et des blessures qui compliquent tout. Ce serait malhonnête de dire que tout va bien, mais ce serait tout aussi faux de dire que tout est foutu. La vérité est entre les deux. L'OM doit serrer les dents, accepter de traverser cette période de flottement, et croire en son potentiel. Car avec les renforts annoncés, les retours de blessure et la stabilité qui viendra, cette équipe peut encore tout changer.

Les supporters attendent, comme toujours, d’être enflammés. Et l’OM a les moyens d’allumer l’étincelle, même si le moteur a tardé à démarrer.

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