OM – Aubameyang, Greenwood, De Zerbi : toutes les confidences de Longoria à Marca
OM – Aubameyang, Greenwood, De Zerbi : toutes les confidences de Longoria à Marca
Après un long entretien à La Provence et un passage dans la matinale de France Inter, Pablo Longoria se raconte à l'occasion d'une interview dans Marca, journal madrilène de référence. Que faut-il retenir ?
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L’OM, une passion retrouvée
Après son départ douloureux de Valence, en compagnie de Mateu Alemany et Marcelino, Longoria cherchait un club capable de lui redonner la flamme. L’Olympique de Marseille s’est imposé comme une évidence grâce à son identité forte et à l’énergie de la ville. "Je voulais retrouver de la passion, ici elle déborde", explique-t-il. Pour lui, l’OM a su retrouver une stabilité sportive et institutionnelle, avec une progression notable de l’effectif au fil des saisons. Dans l'effectif actuel, il évoque Mason Greenwood, capable de passes que personne ne devine. Et explique qu'il n'y a finalement pas eu d'offres sur la table pour l'international anglais, que le club voulait conserver. Pour Pierre-Emerick Aubameyang, Longoria se laisse aller à une confidence : au moment de statuer pour son départ à l'été 2024, le joueur était en pleurs dans son bureau.
Le défi européen et le rêve de titres
À l’heure de retrouver le Real Madrid en Ligue des champions, le président marseillais savoure ce retour au premier plan. "Le football, c’est du rêve et de l’illusion" souligne-t-il, convaincu que son équipe peut rivaliser. Il sait pourtant la concurrence nationale féroce avec le PSG, dont les moyens financiers écrasent le reste du championnat. Mais il garde l’espoir de décrocher un trophée: "Si d’autres l’ont fait, pourquoi pas nous ?"
Des repères entre Zidane et De Zerbi
À l’évocation de Zinedine Zidane, enfant de Marseille, Longoria ne cache pas son admiration. "C’est un exemple et une fierté pour la ville" confie-t-il, regrettant simplement que le champion du monde n’ait jamais porté la tunique olympienne. Au quotidien, le président s’appuie sur Roberto De Zerbi, entraîneur qu’il décrit comme un "coach d’auteur" capable d’imposer une méthodologie claire et inspirante au groupe phocéen. Longoria évoque également Florentino Perez, avec qui il a pu déjeuner et échanger comme le veut le protocole de la Ligue des champions. Un rêve pour le président qui peut se comprendre : ce n'était alors qu'un jeune adolescent lorsque Perez était arrivé à la présidence du Real Madrid en 2000 avec un projet ambitieux, porté sur le recrutement de Luis Figo et financé par la vente des terrains d'entraînement.

