OM : Pas de strass, mais du fond – merci McCourt !
OM : Pas de strass, mais du fond – merci McCourt !
Quand d'autres clubs sombrent…
Bordeaux, ex‑tenor du championnat, est aujourd’hui en perdition. Depuis le passage de Gérard Lopez, le club a été relégué sportivement en Ligue 2, puis rétrogradé administrativement en National 2, perdant son statut professionnel et fermant son centre de formation. Du côté de Lyon, l’arrivée de John Textor s’est transformée en véritable cauchemar : crises à répétition, départs en cascade, sanctions, et une relégation en Ligue 2 qui plane comme une épée de Damoclès. Dans ce désordre ambiant, l'OM reste à flot. Et ce n'est pas un hasard.
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McCourt, la constance comme doctrine
Dans un entretien au Journal du Dimanche, Frank McCourt a été tranchant : « Le club n'est pas à vendre et il ne faut laisser place à aucune confusion là-dessus. » Depuis 2016, il a injecté 750 millions de dollars dans l'OM. Pas pour faire du trading, pas pour empiler les dettes, mais pour construire. Sans jamais déroger à une stratégie claire : un projet culturel, sportif, durable. Il insiste : « L’OM n’est pas un actif financier, mais un projet de famille. »
Une gouvernance solide, une ambition mesurée
Avec Pablo Longoria à la présidence, Medhi Benatia au sportif et Roberto De Zerbi sur le banc, McCourt a dessiné une organisation cohérente. Il l’a dit clairement : « Mon objectif, c’est de mettre Pablo, Medhi et leurs équipes dans les meilleures conditions pour prendre les bonnes décisions. » Pas de star-système, mais une stratégie. Et des actes : Adrien Rabiot, Mason Greenwood ou Amine Gouiri sont autant de paris réfléchis.
Vision à long terme et réforme systémique
Frank McCourt ne se contente pas de gérer l'OM. Il veut aussi transformer le football français. Cette semaine, à Paris, il a rencontré des responsables de la FFF, du ministère des Sports et de LFP Media. Son projet ? Une "Premier League à la française" avec une gouvernance indépendante pilotée par les clubs. Il le dit sans ambages : « Ceux qui investissent doivent diriger. » Il plaide pour une rupture avec la gestion opaque et rigide actuelle.
Un message clair, une ligne rouge
McCourt se dit ouvert à de nouveaux investisseurs, mais fixe une condition nette : « Seulement s’ils partagent nos valeurs et que Marseille ne soit pas à vendre. » Il refuse le court-termisme, les aventures opportunistes, les deals flous. Loin de l’instabilité des projets imposés de l’extérieur, il prône une continuité. Et cette cohérence, aujourd’hui, est précieuse.
Alors oui, merci Frank
Ce n’est pas une déclaration d'amour, mais une reconnaissance. Dans un foot où les propriétaires passent, s’embrasent et brûlent tout, McCourt incarne la méthode. Il n’est ni flamboyant ni providentiel, mais il est là. Et c’est déjà beaucoup. Merci Frank, pour la stabilité, la vision, la patience. Et maintenant, cap sur les trophées !

