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OM : Trésor vs Bosquier, l’affaire explosive qui a secoué l’OM

OM : Trésor vs Bosquier, l’affaire explosive qui a secoué l’OM

Un duel défensif au sommet

Dans l’histoire riche de l’Olympique de Marseille, certaines tensions internes ont marqué les esprits aussi durablement que les victoires. L’une des plus marquantes est sans doute l’affaire Bosquier-Trésor, relatée dans le podcast officiel de l’OM dans le cadre des célébrations des 125 ans du club.

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Tout commence en août 1973. Joseph Bonnel, nouvel entraîneur de l’OM, hérite d’un problème que ses prédécesseurs n’ont jamais vraiment su régler : l’incompatibilité manifeste entre Bernard Bosquier et Marius Trésor, deux défenseurs internationaux de haut niveau. Un casse-tête que même Mario Zatelli, pourtant chevronné, avait dû gérer avec beaucoup de diplomatie et de patience lors des derniers mois de la saison 1972-1973.

Le nœud du conflit ? La place de libéro. Trésor, déjà installé à ce poste en équipe de France, souhaitait en faire de même à l’OM. Mais Bosquiet occupait déjà ce rôle. Zatelli avait momentanément convaincu Trésor d’occuper un poste de latéral, mais l’arrivée de Bonnel allait rebattre les cartes. Trésor refusait catégoriquement de continuer dans cette position. Le jeune entraîneur, à peine nommé, devait trancher.

Le choix de Bonnel et ses conséquences

Son choix se porte sur Marius Trésor, alors âgé de 23 ans, contre un Bosquier de 31 ans. Un écart d’âge déterminant, auquel s’ajoute l’évidence d’un potentiel supérieur pour Trésor. La décision ne passe pas inaperçue. Bosquiet multiplie les déclarations dans la presse, tandis que Trésor adopte une posture plus silencieuse mais tout aussi tendue.

Les résultats sportifs ne plaident pas en faveur de la conciliation. À Nîmes, l’OM encaisse quatre buts. Bonnel tente alors une ultime association entre les deux hommes face à Nice : défaite 3-1. C’est la fin du duo. Bosquiet est écarté au profit d’un axe Trésor-Zvunka, qui apportera d’ailleurs stabilité et succès pendant six saisons.

Mais l’affaire ne s’arrête pas là. Poussé par le président Gallian, Bosquier est replacé au milieu défensif, un choix que Bonnel désapprouve. Entre blessures, mauvais résultats et interférences présidentielles, la situation dégénère rapidement. Les griefs de Bosquier s’ajoutent à un climat délétère.

Une affaire qui secoue tout le club

Pressé par les événements, Gallian décide alors de recruter l’entraîneur chilien Fernando Riera et propose à Bonnel un rôle d’adjoint. Ce dernier refuse catégoriquement. Son passage sur le banc marseillais s’achève au bout de seulement 100 jours, miné par une affaire qui illustre à quel point les dynamiques de vestiaire peuvent parfois faire basculer un club.

Avec du recul, cette affaire témoigne de la complexité de gérer des talents au sommet dans un environnement aussi passionné que celui de l’OM. Elle aura au moins permis l’émergence de Marius Trésor comme patron de la défense olympienne, mais au prix d’un véritable séisme interne.

Bernard Bosquier, dit "Bobosse", avait raconté cet épisode lors d'un de ses nombreux passages sur le plateau du Talk Show du Phocéen, dont les plus fidèles d'entre vous se souviennent sûrement.

Un épisode à retrouver dans son intégralité dans le podcast officiel de l’OM : "L’affaire Bosquier-Trésor | #OM125".

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