Dotations LFP : combien l’OM peut gagner selon son classement final ?
Dotations LFP : combien l’OM peut gagner selon son classement final ?
Un enjeu discret mais réel pour l’OM
Alors que la 34e journée de Ligue 1 ne changera rien pour le PSG, déjà sacré, ni pour Montpellier, déjà relégué, elle présente encore un intérêt pour l’Olympique de Marseille… sur le plan financier. Deuxième au classement avant l’ultime rencontre, le club phocéen peut sécuriser une dotation plus importante de la part de la LFP.
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La différence entre la 2e et la 3e place se chiffre à environ 631.000 euros. Une somme loin d’être décisive à l’échelle du budget de l’OM — estimé à 285 millions d’euros pour l’exercice 2024-2025 — mais qui entre dans une logique d’optimisation budgétaire. Dans un football de plus en plus réglementé sur le plan financier, chaque variable compte.
Dotation LFP : comment ça marche
La LFP redistribue deux enveloppes à l’issue de chaque saison : une première de 38,7 millions d’euros selon le classement actuel, et une seconde de 7,7 millions répartie selon les résultats cumulés des cinq dernières années. Cette mécanique récompense la régularité comme les performances ponctuelles.
À ce jour, l’OM est assuré d’empocher :
- 3 681 008 € pour sa 2e place actuelle dans la première enveloppe
- 1 136 000 € via la seconde enveloppe liée aux performances sur cinq saisons
Soit un total de 4,817 millions d’euros. Une éventuelle 3e place, en cas de dépassement par l’AS Monaco, réduirait ce total à 4,186 millions. Une baisse d’environ 13 %, non négligeable quand on considère que ces revenus ne demandent aucun effort supplémentaire, si ce n’est de garder son rang sur la dernière journée.
Un coup de pouce avant le mercato
Pour le tandem Pablo Longoria – Mehdi Benatia, cette manne servira potentiellement à alimenter la trésorerie estivale, dans un marché des transferts où le moindre levier économique peut débloquer un dossier. L’OM devra jongler avec plusieurs objectifs : consolider les cadres (comme Ismaël Bennacer, Pierre-Emile Højbjerg ou Mason Greenwood), tout en renforçant certains secteurs identifiés comme prioritaires.
À défaut de bouleverser les équilibres, ces 600.000 euros peuvent couvrir un salaire annuel moyen dans l’effectif, ou financer une opération ciblée (recrutement, prolongation, formation). Une marge de sécurité bienvenue.
Des fins de saison souvent bien gérées
L’OM a souvent montré sa capacité à soigner ses fins de championnat. En 2007, le club avait terminé fort pour accrocher une 2e place synonyme de retour en Ligue des Champions. Plus récemment, il avait coiffé Rennes et Monaco en 2022 pour s’assurer la même position. Cette saison, le scénario est moins tendu, mais l’enjeu reste concret, même s’il ne fera pas les gros titres.
Dans un football où chaque euro compte, surtout dans les bilans réglementés et les projections à moyen terme, optimiser son classement reste une stratégie valable. Ce dimanche, l’OM aura donc une motivation supplémentaire pour finir en beauté : valider sportivement une saison solide et engranger quelques centaines de milliers d’euros de plus, sans effort additionnel.

